Collection ENQUETES CRIMINELLES : « La mort dans les yeux », un film de Laurent Follea, le 16/05 à 20h40 sur W9

En 2009, les corps de Guy Bordenave et Luc Amblard sont retrouvés sur les bords de la Loire. Les deux hommes avaient été enterrés vivants trois mois auparavant. « Enquêtes Criminelles » revient sur cette affaire hors-normes, qui avait énormément choqué à l’époque.

Nous sommes le 10 mars 2009 à Couy dans le Cher. Ce matin-là, la gendarmerie locale reçoit l’appel de Marie-Laure Bordenave. Extrêmement inquiète, elle explique que cela fait trois jours qu’elle n’a plus aucune nouvelle de son frère, Guy Bordenave, et du compagnon de celui-ci, LucAmblard.

Les gendarmes se rendent alors immédiatement au domicile des deux hommes. À l’intérieur, à plusieurs endroits, ils découvrent des traces ressemblant à du sang. Plus étrange, la Mercedes du couple est toujours là, et Luc, diabétique, a oublié son insuline. Une chose est sûre : le couple n’est pas parti volontairement. Alors, qui aurait pu vouloir du mal à ce couple en apparence si tranquille.

S’agirait-il d’un crime homophobe ? Étrange, les deux hommes semblaient bien intégrés dans le village… Le couple gérait une société de spectacles…
En voulait-on à leur argent ? S’étaient-il fait des ennemis ? S’agit-il d’une vengeance ? D’acte de jalousie ? Là non plus, les policiers ne trouvent rien…

Quelques jours plus tard, c’est un événement a priori anodin qui va faire basculer l’enquête : Marie-Laure Bordenave, la soeur de l’un des deux disparus, revoit son ex petit-ami, Claude Juillet. Et surprise, il laisse échapper devant elle des cartes bleues. En y regardant de plus près, Marie-Laure découvre qu’il s’agit en fait des cartes bancaires de son frère !

La police est prévenue et Claude Juillet est alors arrêté. Placé en garde-à-vue, il nie totalement être impliqué dans la disparition de Guy Bordenave et de Luc Amblard. Malgré une enquête de plusieurs semaines les enquêteurs ne trouvent rien. Claude Juillet a-t-il simplement subtilisé les cartes des deux disparus ? Sans preuve matérielle, l’homme doit être relâché. L’enquête en est au point mort et les policiers n’ont toujours pas retrouvé le couple. Mais des témoignages vont donner à l’affaire un élan inespéré et révéler un crime d’une grande cruauté : Guy Bordenave et Luc Amblard ont en fait été enterrés vivants, sur les bords de la Loire.

Guy et Luc ont été enterrés vivants, ils se sont vus mourir l’un en face de l’autre…

Collection Enquêtes Criminelles : « Meurtre sans cadavre : l’affaire Pichon », un documentaire de Julien Adam diffusé le 12 mars à 20h35 sur W9

Novembre 2007. Maud Tellier, 30 ans, et son compagnon Olivier Benoit, 28 ans, se rendent à la gendarmerie de Senones dans les Vosges. Face au gendarme de garde, ils font cet incroyable aveu « nous avons tué notre voisin : Robert Pichon » !

Selon leurs dires, près de deux mois plus tôt, le jeune couple et Robert Pichon sont allés chercher du bois. Une fois sur place, le jeune homme, ancien toxicomane, se rend compte qu’il a oublié de prendre son Subutex, un produit de substitution. Il repart alors en ville en laissant seuls Maud et Robert. A les entendre, très vite, le sexagénaire aurait tenté d’agresser sexuellement Maud. En se défendant, elle lui aurait assené plusieurs coups de manche de hache. Quand Olivier est revenu, Robert était mort.

Les deux complices auraient alors fait disparaître le corps en le brûlant et en versant ses cendres dans un canal à Epinal. De retour chez eux, à Moyenmoutier, ils ont expliqué aux voisins que le retraité était parti se reposer à Cannes, dans un appartement qu’il possède. L’alibi était quasi parfait.

Seulement, lorsque les experts de la gendarmerie investissent la scène de crime supposée, ils ne trouvent rien ! Aucune preuve matérielle pouvant confirmer le meurtre ! Les gendarmes sont face à une énigme : Robert Pichon est-il vraiment mort ? Et si ce n’est pas le cas, pourquoi les deux amants se seraient-ils dénoncés ?

Collection Enquêtes Criminelles : « Affaire Maillant: les meilleurs ennemis », un doc de Dimitri Grimblat diffusé mercredi 8 février à 20h35 sur W9

Nous sommes en août 1991, au bois de la Souche, près d’Epinal dans les Vosges.

Alors qu’il promène son chien, un gendarme découvre le corps d’une jeune femme derrière un arbre. Après analyses les gendarmes découvrent qu’il s’agit de Valérie Bechtel, une jeune femme de 19 ans habitant chez ses parents à Thaon les Vosges. Les analyses révèlent également que la jeune victime est morte par strangulation.

Rapidement, Yann Bello, l’ex-petit copain de la victime va se confier. Il accuse du meurtre son meilleur ami, et lui aussi ex-petit copain de Valérie Bechtel, Raphaël Maillant. Il explique qu’ils se sont rendus le soir du meurtre chez Valérie pour tenter de voler le magnétoscope de ses parents mais que tout aurait dérapé…

En 1997, sur les seuls aveux de Bello les deux hommes se retrouvent aux assises d’Epinal. Ce sera donc parole contre parole. Au terme des débats, Raphaël Maillant, reconnu coupable du meurtre de Valérie Bechtel, est condamné à 17 ans de prison. Yann Bello, quant à lui, est condamné à deux ans pour vol de magnétoscope, et recel de cadavre.
Pourtant vingt ans après la mort de Valérie, l’affaire va peut-être rebondir…

Collection Enquêtes Criminelles Affaire Maillant : Les meilleurs ennemis
un documentaire de Dimitri Grimblat
Produit par CAPA Presse

Collection Enquêtes Criminelles « Affaire Ségalat : un coupable trop parfait ? », un documentaire de Bertrand Jeanneau, le 31/10 à 20h35 sur W9

9 janvier 2010 – 21h22. Le poste de secours de Vaux-sur-Morges reçoit un appel d’un certain Laurent Ségalat, un célèbre généticien français. Il dit avoir trouvé sa belle-mère, Catherine Ségalat, gisant dans une mare de sang en allant lui rendre visite. Il aurait tenté de la réanimer. En vain.

Lorsque les secours arrivent sur place, ils sont étonnés. Laurent Ségalat a déplacé le corps, nettoyé la mare de sang et changé sa chemise couverte de sang. Aurait-il voulu maquiller un meurtre ou s’agit-il d’un simple accident ?

Les conclusions du premier médecin-légiste sont sans équivoque : selon lui, Catherine Ségalat a été victime d’un meurtre : elle ne serait pas tombée dans l’escalier mais elle aurait reçu un violent coup derrière la tête. Les explications de Laurent Ségalat peinent à convaincre les enquêteurs. La preuve, il est aussitôt mis en détention.

Problème : aucune preuve formelle n’accable Laurent Ségalat : il n’y a ni arme du crime, ni mobile. D’autant qu’aux yeux de tous, Laurent Ségalat est un homme pacifiste qui s’entendait très bien avec sa belle-mère…

Une contre-expertise d’un deuxième médecin-légiste viendra même confirmer la thèse de l’accident. Pourtant, la justice suisse refuse de libérer le généticien français dans l’attente de son procès.

Quels sont les arguments de chaque partie ? Qui est vraiment Laurent Ségalat ? A en croire les principaux protagonistes, que s’est-il réellement passé ce jour-là ?

Collection Enquêtes Criminelles
Affaire Ségalat : un coupable trop parfait ?

Un documentaire réalisé par Bertrand Jeanneau
Produit par capa Presse
Diffusé le 31/10/11 à 20h35 sur W9

© photo Emmanuelle Marchadour

ENQUETES CRIMINELLES : « Le quatuor diabolique », un film de Jean-Marc Froissard le 17/10 à 20h35 sur W9

Le 5 février 2000, deux cousins qui achèvent leur partie de chasse dans le bois d’Eragny-sur-Oise voient leur chien attiré dans un fossé. Les deux hommes découvrent le corps calciné d’un homme couché face contre terre.

La victime s’appelle Joël Deprez, un déménageur de 38 ans, père de famille sans histoire, surnommé « Bourvil » pour son côté bonhomme.

L’autopsie révèle que Joël Deprez a été carbonisé vivant. Et des traces de Lexomil sont découvertes dans son estomac.

Nathalie, la femme de Joël est entendue : elle explique que son mari a disparu dix jours auparavant. Elle dresse un portrait au vitriol de Joël : un homme violent, alcoolique. Ce comportement agressif l’a poussée dans les bras d’un autre homme et elle demande le divorce.

Les policiers découvrent qu’au domicile de Joël vivent non seulement l’amant de Nathalie, mais aussi son ex-femme et l’homme avec lequel elle s’est remise, William…

Joël est-il mort parce que sa femme voulait se séparer de lui ? Est-elle mêlée à cette mort ? Et qui est cet homme avec lequel elle voulait refaire sa vie ? Et cet autre couple ? Pourquoi se sont-ils tous installés dans l’appartement de Joël et Nathalie ?

Les policiers n’auront de cesse de se poser cette question : que s’est-il passé dans ce petit F4 de Franconville ?

COLLECTION  »ENQUETES CRIMINELLES » : LE QUATUOR DIABOLIQUE
Diffusion le 17 octobre à 20h35 sur W9
Documentaire – 52′
Réalisé par Jean-Marc Froissart
Produit par Capa Presse

Enquêtes criminelles : « Meurtre en plein ciel », un documentaire de Mickael Beurdouche, le 21/09 à 20h40 sur W9

Le 18 novembre 2006 à Zwartberg, un aérodrome au nord de la Belgique, quatre amis s’envolent à bord d’un petit avion… Tous sont des parachutistes confirmés, ils ont l’habitude d’effectuer des sauts ensemble.

11h50, le petit Cessna atteint 4700 mètres d’altitude. Le pilote donne le feu vert : tous s’élancent. Ensemble ils doivent former dans les airs une figure : une étoile. Après quelques secondes, les amis parachutistes se séparent.

Arrivés à 1000 mètres d’altitude, chacun déplie sa toile. Seulement, il y a un problème : Els Van Doren, 38 ans, ne réussit pas à ouvrir son parachute. Elle tente aussitôt la procédure d’urgence et actionne la toile de secours. Mais là non plus, elle ne s’ouvre pas.

La jeune femme fonce vers le sol à chacun ouvre son parachute, mais celui de Els Von Doren ne semble pas fonctionner. La parachutiste tombe maintenant à plus de 85 mètres par seconde… Moins de dix secondes plus tard, elle s’écrase au sol.

Quelques minutes plus tard, les secours arrivent sur le lieu de la chute. Il n’y a plus rien à faire : Els Van Doren est morte sur le coup.

En revanche, les premières constatations sont sans appel : le parachute d’Els Van Doren a été saboté. Les policiers se posent alors une seule question : qui pouvait en vouloir à cette mère de famille sans histoire ?

Retour sur cette affaire inédite qui durant près de quatre ans a ténu le Belgique entière en haleine… avec des reconstitutions inédites, tournées en plein ciel avec Mike Brooke, recordman du monde de vitesse en chute libre…

Enquêtes criminelles : « Présumé coupable : l’affaire Richard Roman », un documentaire de Dimitri Grimblat, le 07/09 à 20h40 sur W9

26 juillet 1988 à la Motte-du-Caire, un petit village des Alpes de Haute-Provence. Céline Jourdan, une fillette de 7 ans, est en train de jouer sur la place centrale, juste devant le café que tient son père. A la nuit tombée, ce dernier n’aperçoit plus sa fille. Il se précipite, la cherche partout mais ne la trouve pas : Céline a disparu.

C’est le lendemain, vers 15h, que le corps de la petite fille est retrouvé. Le spectacle est atroce : selon les constations du médecin légiste, la fillette a été violée, torturée, étranglée, et achevée à coups de pierres.

Arrêtés dans les 48 heures, après de longues heures de garde à vue, deux hommes, finissent par avouer : ils ont violé puis tué Céline ! Il s’agit de Richard Roman et de Didier Gentil, deux marginaux qui sont arrivés dans le village quelques mois plus tôt…

L’affaire pourrait s’arrêter là et pourtant, ce n’est que le début d’un incroyable feuilleton médiatico-judiciaire… Deux jours après, Richard Roman accuse en effet la gendarmerie de l’avoir forcé à avouer sous la menace… Il nie totalement les faits, il n’a ni violé ni tué Céline…

Les journaux se déchaînent alors et n’hésitent pas à condamner les deux hommes avant même leur procès, oubliant la notion de présomption d’innocence… Pour tous, c’est la colère et le désir de vengeance qui dominent. Des pétitions circulent même pour demander le rétablissement de la peine de mort !

Du scandale d’Outreau au feuilleton DSK, même si elle s’est déroulée il y a plus de vingt ans, « l’affaire Roman » est plus que jamais d’actualité… car elle ne peut que nous faire nous interroger sur le fonctionnement de la justice et des médias…

ENQUÊTES CRIMINELLES : « Le mystère du triple meurtre de l’Esteron », un documentaire de Jean-Marie Barrère, le 13/06 à 20h40 sur W9

18 mars 1999, dans la vallée de l’Esteron, un homme découvre des sacs poubelles contenant des restes humains. Trois corps, dont celui d’une femme, auxquels manquent les mains et les têtes.

Visiblement, le ou les meurtriers a voulu empêcher l’identification… Pourtant, quelques jours plus tard, grâce à la médiatisation de l’affaire, le premier corps est identifié. C’est celui de Jean-Pierre Calligaris.

Connu pour des affaires de stupéfiants en région parisienne, le Corse s’était mis au vert depuis peu, vers Antibes. En remontant cette piste, on découvre l’identité des deux autres corps : il s’agit de Francis Ben Mokthar, truand réputé de la Côte-d’Azur, et de sa compagne italienne Teresa Conte.

Ben Mokthar vivait caché, sous une fausse identité, mais tout le monde savait qu’il se promenait régulièrement avec une glacière contenant jusqu’à 750 000 euros !
S’agit-il d’un règlement de compte mafieux ? Ou simplement d’un crime dont le mobile serait l’argent ?

Rapidement, un premier suspect émerge, il s’agit de Michel Pinneteau, un honnête fromager sexagénaire de Juan Les Pins… Il serait le dernier à avoir vu les victimes vivantes mais quel est son lien avec l’affaire ?

COLLECTION  »ENQUETES CRIMINELLES » LE MYSTERE DU TRIPLE MEURTRE DE L’ESTERON

Documentaire – 52′
Réalisé par Jean-Marie Barrère
Produit par Capa Presse

Collection ENQUETES CRIMINELLES : « L’assassin habite au n°1 », un film de B. Jeanneau, le 16 mars à 20h40 sur W9

Le 17 septembre 2005, Marie-Antonia Jouannet, se rend à Soisy-sur-Seine , en banlieue parisienne, au domicile de sa fille Audrey, 24 ans, qui n’a donné aucun signe de vie depuis maintenant trois jours.

Sur place, dans un premier temps, elle ne trouve rien. Mais le désordre dans l’appartement indique que sa fille a dû partir précipitamment. Il faudra attendre plusieurs heures avant qu’elle ne fasse une macabre découverte en fouillant une nouvelle fois les lieux : Marie-Antonia découvre le corps de sa fille sous le lit. Cette dernière semble avoir été étranglée et sauvagement violée.

S’agit-il d’un crime de rôdeur ? Après tout en face de la résidence se dresse un hôpital psychiatrique accueillant des patients dangereux…
Ou au contraire, l’assassin habite t-il dans la résidence ?

1ère diffusion le mercredi 16 mars 2011 à 20h35 sur W9.

Documentaire – 52′
Réalisé par Bertrand Jeanneau
Produit par Capa Presse

« Le Meurtre de la rentière », réalisé par Jean-Marc Froissart, dans Enquêtes criminelles, le 9 Février 2010 sur W9 à 20h35

10 mars 2002 sur les hauteurs de Nice. Les voisins de Francine Véran-Raspini sont inquiets, cela fait trois jours que cette riche rentière a disparu. On n’a plus de nouvelles non plus de Marc, son fils de 48 ans avec lequel elle vit.

Tout le monde s’inquiète mais les pompiers qui se sont présentés sur place n’ont rien trouvé…

Pourtant, quelques jours plus tard, le gardien d’un parking près de l’aéroport de Nice Côte d’Azur signale à la police qu’une voiture n’a pas bougé de son emplacement depuis plusieurs semaines. Après vérification, les policiers se rendent compte que la voiture appartient à Marc Raspini.

La mère et le fils ont-ils abandonné leur voiture pour prendre l’avion ? Ont-ils décidés de disparaître ? S’agit-il d’une fuite ? Les policiers n’auront de cesse de se poser une question : que sont devenus la riche rentière et son fils ?

COLLECTION  »ENQUETES CRIMINELLES » – LE MEURTRE DE LA RENTIERE
Documentaire – 52′
Réalisé par Jean-Marc Froissart
Produit par Capa Presse