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« Caméléon : Clandestin au Mexique » le 28/06 à 22h30 sur 13ème Rue.

Pour le troisième épisode de Caméléon direction le Mexique. Sebastian Perez Pezzani se met dans la peau d’un clandestin sur le chemin des USA.

Au Mexique, on voyage en bus ou en avion. Le train c’est pour les marchandises… et les clandestins. Ce train, les migrants latinos l’appellent la Bestia (la bête), Train du Diable ou Train de la mort. Au choix…

Pour Sebastian le voyage commence à Hermosillo, à la sortie de la dernière gare de triage avant les Etats Unis.
Il s’achèvera une semaine plus tard, au pied du mur de barbelés qui sépare les deux pays, dans un no man’s land contrôlé par l’organisation criminelle la plus violente du Mexique, le cartel de Sinaloa.

Pendant une semaine, il partage le quotidien de deux migrants rencontrés à bord du fameux train du Diable : Juan et Julio. Les deux hommes sont des survivants. Ils se sont connus sur le train du Diable. Ils ont eu peur, eu soif, eu froid ensemble. Entre eux, maintenant, c’est à la vie à la mort.

« Caméléon : clandestin au Mexique », le 28/06 à 22h30 sur 13ème Rue. Réagissez en direct sur les réseaux sociaux avec #Caméléon

« Caméléon : Prisonnier à Palmasola » le 14/06 à 22h30 sur 13ème Rue

Pour le premier épisode de la série Caméléon, Sebastian Perez Pezzani s’immerge dans la ville-prison de Palmasola, en Bolivie.

Le pénitencier compte plus de 5000 détenus pour … 1000 places ! Accueilli par un des responsables de la prison, le caméléon va vite comprendre que ses gardes du corps, eux mêmes prisonniers, l’accompagnent avant tout pour le surveiller.

Quand il réussi à faire diversion, Sebastian Perez Pezzani découvre enfin la vraie vie dans la prison. Palmasola, un univers hors-la-loi, où les règles sont fixées par les détenus. Machettes, couteaux, bâtons… les armes circulent. Quant aux prostituées, elles passent leurs journées à l’intérieur des murs, où elles gagnent mieux qu’au dehors.

« Caméléon : Prisonnier à Palmasola », le 14/06 à 22h30 sur 13ème Rue. Réagissez en direct sur les réseaux sociaux avec #Caméléon

Crédits photos : Reza Nourmamode

« Caméléon », la nouvelle série documentaire de Sebastian Perez Pezzani pour 13ème Rue.

Sebastian Perez Pezzani est un caméléon. Il passe partout, surtout là où il vaut mieux ne pas traîner ses guêtres…

La nouvelle série documentaire « Caméléon », composée de 6 épisodes, sera diffusée à partir du mois de Juin 2016 sur 13ème Rue. Entre immersions et expériences, cette série nous plonge dans des univers hors norme, souvent infréquentables et toujours à risque.

Pour le premier épisode, Sebastian s’envole en direction de la Bolivie, où il va s’immerger dans la prison-ville de Palmasola.

Hispano-franco-anglo-arabophone, Sebastian Perez Pezzani a sillonné les bas fonds de l’Amérique en tant que réalisateur pour « Tracks » de la chaîne Arte. Il lâche le terrain pour devenir monteur (Dimanche plus, Ne dites pas à ma mère…) puis directeur artistique pour « L’Effet Papillon ».

Retour sur le terrain, mais cette fois, devant la caméra : il devient l’un des « Nouveaux Explorateurs » de Canal +. Sa spécialité : la débrouille aux quatre coins du monde. Rwanda, Colombie, Roumanie… des pays compliqués où Sebastian s’aventure avec malice pour notre plus grand plaisir.

Pour Caméléon, Sebastian s’arme de son empathie et de son sens de l’humour pour se plonger dans des univers encore plus sombres et plus durs.

Découvrez les documentaires de la série « Caméléon » sur 13ème Rue :

  • 14/06 : Prisonnier à Palmasola
  • 21/06 : Les mines d’or de Paracale
  • 28/06 : Clandestin au Mexique
  • 05/07 : Opération Zébus
  • 12/07 : Villa Miseria
  • 19/07 : Légiste au Salvador

« Caméléon » à partir du mois de Juin 2016 sur 13ème Rue.

Passeport pour le Crime à la Nouvelle Orléans, le 15/03 à 22h30 sur 13ème Rue

Deux traumatismes majeurs ont marqué au fer rouge l’histoire de la Nouvelle Orléans : la ségrégation et l’ouragan Katrina. Ces deux cicatrices indélébiles reviennent en permanence dans ce nouveau Passeport pour le Crime.

A la Nouvelle-Orléans, 1 homme noir sur 14 est derrière les barreaux et 1 sur 7 est en prison, en sursis ou en liberté conditionnelle… Après une légère accalmie au lendemain de Katrina, les homicides sont repartis à la hausse, et la ville est redevenue la plus violente du pays.

Pourtant, la justice est sans pitié : en Louisiane, un voleur de voiture qui récidive une seule fois peut être condamné à une peine de vingt-quatre ans ferme. Conséquence de cette folie carcérale : dans l’État de Louisiane, plus d’un 1 adulte sur 100 est derrière les barreaux. C’est le double de la moyenne nationale et le record mondial du taux d’incarcération… devant l’Iran ou la Chine !

Christophe Hondelatte a eu l’autorisation exceptionnelle d’entrer dans les deux prisons de la ville. L’ancienne était bondée et insalubre. Elle a fermée ses portes à l’été 2015, remplacée par un nouveau complexe ultramoderne. Ici, 800 caméras espionnent les moindres recoins de l’établissement, les surveillants n’ont plus de clef, toutes les serrures sont électroniques. Dans les parloirs –virtuels-, les visiteurs et les détenus ne se touchent pas. L’échange se fait par caméras interposées… Des conditions extrêmement dures qui font regretter aux détenus les murs suintants du vieux bâtiment.

Les candidats à la broyeuse carcérale… c’est dans les quartiers comme celui de St Roch qu’on les trouve. Le taux d’homicides est ici deux fois supérieur au reste de la ville. Dans ce quartier noir, Christophe Hondelatte s’aventure en compagnie des Peace Keapers, des militants de la cause noire, qui critiquent ouvertement la police, la justice et la classe politique –blanches- qui dirigent la ville.

Les Peace Keepers emmènent ensuite notre reporter sur le pont de Danzinger, une scène de crime. Cinq jours après l’ouragan, deux membres d’une même famille sont abattus à l’arme de guerre. Trois autres sont grièvement blessés. Les victimes étaient noires. Elles essayaient de fuir une zone inondée. Les flics étaient blancs. Ils les ont pris pour des pillards. 10 ans après, un troisième procès doit s’ouvrir. Et les coupables sont toujours en liberté…

Une autre tragédie confirme les pulsions racistes de la police de Nouvelle Orléans. Au lendemain de l’ouragan, Henry Glover charge dans une voiture les quelques objets que Katrina n’a pas emporté. Il tombe sous les balles d’un sniper de la police municipale. Pour Passeport pour le Crime, le beau frère de la victime et son avocate reviennent sur les lieux du drame. Leur témoignage est accablant : le policier blanc a froidement assassiné sa cible pour une seule raison : Glover avait la peau noire.

Prisons, faits divers, crimes racistes, jazz et bayou. La Nouvelle Orléans offre à Christophe Hondelatte un cocktail explosif pour un voyage en eaux troubles.

Passeport pour le Crime à la Nouvelle Orléans avec Christophe Hondelatte, réalisé par Jean-Marie Barrère, le 15/03 à 22h30 sur 13ème Rue

« Passeport pour le crime à Buenos Aires » avec Benjamin Castaldi, le 30/08 à 20h45 sur 13ème Rue

Ici, on dit que les Mexicains descendent des Aztèques, les Péruviens des Incas et les Argentins… des bateaux. Voici Buenos Aires, la plus européenne des capitales d’Amérique du sud où vivent 13 millions d’habitants –le tiers de la population du pays- .

Avec l’un des taux de criminalité les plus faibles du continent, Buenos Aires a longtemps fait pâlir d’envie Medellin, Mexico, Caracas… toutes ravagées par la violence. Mais depuis quelques années, la ville rattrape son retard et sombre inexorablement : la délinquance urbaine explose et désespère les Porteños, les habitants de la capitale.

Au printemps 2014, une vague de lynchages des petits délinquants pris en flagrant délit a gagné tout le pays. Et les autorités, longtemps restées sourdes, ont réagi. Le Gouverneur de la province de Buenos Aires a décrété l’état d’urgence pour un an.

Benjamin Castaldi n’avait jamais mis les pieds à Buenos Aires, mais la ville lui était familière car c’est ici qu’a grandi son père, l’acteur Jean Pierre Castaldi. C’est donc avec une grande émotion que l’animateur retrouve l’adresse où son père s’amusait à défier le vide, en grimpant sur la corniche de son immeuble, sans filet …

Mais très vite, Benjamin va découvrir une ville sous tension, où policiers et magistrats véreux freinent les efforts de réforme et de justice… Où la drogue des pauvres, le Paco, se répand comme la peste. Où les bidonvilles grandissent à vue d’œil, dans la périphérie, mais aussi au cœur des beaux quartiers… Une ville où l’ombre des narcotrafiquants est palpable. Partout…

Le voyage de Benjamin Castaldi commence dans le club Independiente, l’équipe de foot argentine la plus célèbre après le Boca Junior de Maradona. Ici, plus qu’ailleurs la violence ravage les stades. Les chiffres font froid dans le dos : 45 morts et une centaine de blessés pour les 4 dernières années. Une moyenne de 11 morts par an !

Benjamin Castaldi rencontrera également des citoyens militants qui n’ont plus confiance ni dans leur Etat ni dans leur police. Pour dénoncer le laxisme des autorités, ils ont dressé par eux même la carte des crimes perpétrés dans la capitale. D’autres, pour lutter contre les narcotrafiquants, occupent les pistes d’atterrissage sauvages qui jalonnent le pays.

Le « Padré Pépé », lutte lui aussi, à sa manière, contre la drogue. En multipliant les chapelles et les prêches musclés, il tente de reprendre le territoire occupé par les narcotrafiquants.

Au cours d’une brève escapade dans la pampa, l’immense plaine qui s’étend à l’ouest de Buenos Aires, notre reporter partagera avec un avocat d’affaires les plaisirs du polo et de l’assado (attention , ici, ne parlez jamais de barbecue, l’argentin est susceptible). Au passage, Benjamin découvrira comment la haute bourgeoisie locale doit se protéger. Ici, caméras de surveillance, vigiles et panic room sont de rigueur.

Le voyage prendra fin dans les sous-sols de l’Esma, l’école de mécanique de la Marine que les militaires ont transformé en centre de torture pendant les années de dictature. Une autre violence, d’Etat celle-là, que le pays ne parvient pas à digérer. Un bébé volé, adopté par l’un des bourreaux qui ont assassiné sa mère, reviendra sur cette période sombre de l’Histoire argentine.

Bienvenue à Buenos Aires, avec en poche, un passeport pour le crime.

Un film de 90 minutes réalisé par Thierry Pasquet | Une production CAPA Presse pour 13eme Rue

« Immersion immédiate : Carole Rousseau à l’école de la deuxième chance » réalisé par Lionel Langlade, le 09/06 à 22h25 sur 13ème Rue

Après la Brigade des mineurs de Paris où Carole Rousseau a vécu une expérience bouleversante, l’animatrice part en immersion dans l’un des 18 centres de l’Etablissement Public d’Insertion de la Défense, à Mezieux, à 20km à l’ouest de Lyon. Dans ce centre de réinsertion, où la discipline est quasi-militaire, une deuxième chance est offerte aux jeunes adultes ayant décroché de l’école, en passe de sombrer dans la marginalité.

Unique critère de sélection : la volonté de s’en sortir. Réveil au clairon à 6h, levée des drapeaux au son de la Marseillaise, même uniforme pour tous, extinction des feux à 23h, les jeunes sont exposés à une discipline digne d’une caserne de l’Armée de terre. 6 mois (10 pour certains), c’est le temps qu’ils ont pour apprendre les rudiments de la vie en communauté et trouver un emploi. Au programme : maths, français, entretiens d’embauche, permis de conduire.

Carole Rousseau prend ses quartiers à l’internat et partage le quotidien de ces jeunes venus tenter leur chance. Elle va particulièrement suivre Erikson et Marina, qui, ici depuis 6 mois, se battent pour surmonter leurs difficultés.

Notre reporter va également suivre les enseignants, les encadrants, les psychologues ainsi que le directeur, ancien officier de l’Armée de terre, qui préparent les jeunes à avoir confiance en soi et à se battre pour se faire une place dans la société. Carole Rousseau partage leurs épreuves et moments de joie et va tenter de comprendre les motivations de chacun.

Le mardi 16 juin à 22h30, retrouvez Benjamin Castaldi en stage de survie commando en Guyane pour le dernier numéro d’Immersion Immédiate.

« Immersion immédiate : Benjamin Castaldi avec les chasseurs alpins » réalisé par Guillaume Viart, diffusé le 02/06 à 22h30 sur 13ème Rue

A l’occasion de ce nouveau documentaire, Benjamin Castaldi s’envole pour la haute montagne, au sein d’une troupe d’élite de l’armée française : les chasseurs alpins.

Cette unité de l’Armée de terre compte une vingtaine d’hommes apprenant les rudiments du combat en montagne enneigée et accidentée. Quand on fait la guerre dans les cimes, il faut savoir se déplacer, stationner, tirer avec skis, raquettes ou crampons aux pieds et évoluer dans un univers hostile.

Pendant quelques jours, Benjamin Castaldi participe à un stage tactique avec des sous-officiers chasseurs alpins dans un lieu de résistance où s’est écrite l’Histoire de France : le plateau de Glières, en Haute Savoie.

Avec ces militaires spécialistes du combat en conditions extrêmes, âgés de 18 à 24 ans, l’animateur apprend à se battre sur des skis, à survivre à une avalanche ainsi qu’à reprendre un col à l’ennemi. Il apprend même à fabriquer son propre igloo, et dort au pied du Mont Blanc.

Benjamin Castaldi va aller au bout de ses forces pour cette immersion extrêmement physique qui représente l’un des épisodes les plus difficiles, selon l’animateur. En compagnie des commandos des neiges, l’animateur va vivre une immersion exceptionnelle.

La mardi 9 juin à 22h30, retrouvez Carole Rousseau en immersion à l’école de la deuxième chance.

« Immersion immédiate : Benjamin Castaldi avec les pompiers de l’extrême » réalisé par Guillaume Viart, diffusé le 19/05 à 22h25 sur 13ème Rue

A l’occasion de ce troisième numéro, Benjamin Castaldi part en immersion chez les pompiers du Groupe d’Intervention en Milieu Périlleux.

Ce sont eux qui entrent en jeu là où les pompiers classiques sont mis en échec. A Paris, ils sont 18. Plus âgés et plus expérimentés que les 8500 sapeurs-pompiers de la capitale, ils sont là pour se frayer un chemin dans les lieux inaccessibles.

Benjamin Castaldi va passer quatre jours et quatre nuits avec eux et suivre leur quotidien. La brigade lui apprend les gestes qui sauvent et les réflexes qui permettent d’aller vite, dans les endroits les plus hostiles.

L’animateur apprend également à faire du rappel et à vaincre ses peurs pour monter au sommet d’une grue de 55 mètres ou encore plonger dans un puit de 36 mètres de profondeur.

Alors que les pompiers du GRIMP interviennent en moyenne tous les trois jours, ils doivent s’entraîner en permanence pour se tenir toujours prêts. Entre deux interventions, ils sont capables, dans la même journée, de gravir la Tour Montparnasse puis de descendre dans les catacombes. Bâtiments à peine sortis de terre, nouveaux ponts, nouvelles grues… Ils traquent sans répit les nouveaux points hauts qui apparaissent dans la capitale.

Ce documentaire alterne séquences d’action à couper le souffle et moments d’émotion. Avec la complicité de Benjamin Castaldi, ces pompiers de l’extrême trouvent les mots pour revenir sur leurs souvenirs les plus émouvants.

Leur parole est rare. Elle n’en a que plus de valeur.

Carole Rousseau nous plongera au cœur du quotidien de la Brigade des Mineurs mardi 26 mai à 22h30.

"Passeport Pour le Crime : Tijuana" avec Thierry Marx, un film de Lionel Langlade, le 27/09 sur 13ème Rue

Il n’y a pas de touristes à Tijuana. Située à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, c’est une des villes les plus dangereuses au monde.

Pour 13ème rue, le chef étoilé Thierry Marx explore les faits divers de Tijuana. Il n’est pas un cuisinier comme les autres. Ancien militaire, Il a eu plusieurs vies… bref il a bourlingué.

Ici, l’ultra-violence est la règle, avec deux business qui dominent la ville: la drogue et l’immigration. À Tijuana, la frontière fait vivre les gens… mais elle les fait mourir aussi. Narcos, flics, sans-papiers, prostituées, journalistes ou infirmiers: ces destins dépendent tous du même eldorado, cette riche Californie voisine qu’on peut apercevoir à l’œil nu.

Pour son immersion, Thierry Marx accompagnera des journalistes de faits divers, branchés sur les fréquences de la police. Il ira sur des scènes de crime avec les officiers de la brigade criminelle, ceux que rien ne peut plus étonner. Et il suivra des patrouilles de nuit, avec course-poursuite et arrestation coup de poing. Il entrera en prison. Sécurité maximum, pour mater les gangs. Il visitera des bordels géants, gérés d’une main de fer. Et il verra l’envers du rêve américain, sur le visage des fantômes de l’immigration. Sans-abris, toxicomanes, ils sont restés du mauvais côté de la frontière. Bienvenue à Tijuana, la dernière ville du Far West, avec en poche un passeport pour le crime.

Passeport pour le crime à Tijuana. Un film de 90 mn réalisé par Lionel Langlade. Une production Capa Presse

« Hondelatte part en live… Dans un centre d’addictologie », le 30/05 à 22h55 sur 13ème Rue

Un film de Bernard Cazedepats et Christophe Hondelatte

C’est au centre Louis Sevestre dans la banlieue de Tours, le seul centre public uniquement consacré à l’addictologie, que Christophe Hondelatte se rendra cette semaine. Ici, mille patients sont traités chaque année. La plupart viennent pour des problèmes d’alcool, mais toutes les dépendances addictives peuvent y être traitées : drogues, sexe, jeu… Le traitement dure trois mois. Trois mois durant lesquels ils doivent réapprendre à vivre, à s’occuper et à penser autrement loin de leurs proches.

Une nouvelle fois, Christophe Hondelatte s’est intéressé à ces hommes et à ces femmes qui sont chargés d’encadrer, d’épauler et surtout de soigner ces patients cabossés par la vie. Durant son séjour, il a ainsi cotoyé Jean-François, infirmier depuis 8 ans au centre mais également le docteur Marion Husson, psychiatre addictologue ainsi qu’Anne Fernandez, psychologue.

Ces rencontres lui ont donné la possibilité de discuter avec des malades et de comprendre quelles sont leurs motivations, leurs espoirs pour la suite mais aussi leurs doutes ou leurs craintes.