"D comme Débrouille , Sebastian Perez à Cuba", un film de Sebastien Perez, le 19/10 à 15H10 sur Canal +

Innovations spontanées, inventions quotidiennes, réparations improvisées… Le système D est profondément ancré dans la vie des Cubains.

Déjà dans les années 60, pour résister au blocus imposé par les Etats-Unis, le commandant Ernesto Guevara créait « L’Association Nationale des Innovateurs et des Rationalisateurs », la ANIR. C’est la « désobéissance technologique ». Pour les Cubains la machine n’existe pas, elle est la somme de plusieurs possibilités. Une machine à laver c’est un moteur, des barres en métal, des tuyaux, des installations électriques et bien d’autres choses. Comme les chirurgiens qui ouvrent des corps et les perçoivent comme un ensemble d’organes, les Cubains savent démonter, réinventer, reproduire, réparer tout ce qui se présente à eux.

Dans ce documentaire, Sebastian fait le tour du pays à la rencontre de ces « socialistes à visage débrouille ». Les pêcheurs et leurs radeaux en polystyrène, Omar le recycleur de bouteilles de bière, le roi des meccanos qui donne une deuxième jeunesse aux vieilles américaines, l’homme qui répare les pneus avec des préservatifs et même le meilleur chirurgien de La Havane qui fabrique lui même ses appareils endoscopiques. A la veille d’une nouvelle ère, la perle des Antilles chaloupe encore dans son monde bien à elle…

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz au Brésil », le 04/05 à 15h10 sur Canal+

Réalisé par Jean-Marc Sanchez

Portée par le mouvement moderne et la devise du pays « ORDEM E PROGRESSO » l’architecture brésilienne a connu son âge d’or dans les années 60.

Le génie de l’architecture brésilienne reposait sur une vision progressiste et innovante de la société. Le béton, « la pierre liquide » comme l’appelle l’immense architecte Paulo Mendes da Rocha, a été l’instrument de cet idéal social.

Malgré ce passé prestigieux, le Brésil (7° puissance économique mondiale), connait les mêmes problèmes que les autres nations émergentes comme la Chine ou l’Inde : une croissance forte, une classe moyenne qui peine à émerger, une pauvreté endémique et une crise de la gouvernance publique en terme d’habitat.

Au Brésil, la ville se vit, se (re)construit et se projette dans un état d’urgence. En voyageant de Rio de Janeiro à Sao Paulo, c’est cette « fièvre » urbaine et les espoirs suscités par la croissance qu’Erik Mootz, notre explorateur-architecte est allé explorer.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez en Grèce », le 23/03 à 15h10 sur Canal+

Sebastian Perez Pezzani nous invite à voyager en Grèce et à rencontrer ceux qui vivent au quotidien grâce au système D.

Six ans après une grave crise financière, les grecs ont appris que pour gagner leur vie, il ne fallait rien attendre des autres. La Grèce est un formidable laboratoire de la débrouille au cœur de l’Europe. On y troque, on y crée des monnaies virtuelles, on s’y entraide et on y crée.

Parmi eux, Michalis produit son énergie à partir de l’eau contenue dans les fruits et en utilisant l’air. Kostas fabrique dans son studio plus de dix sortes de bières qu’il vend dans les restaurants de sa ville. De la Crète à Athènes en passant par l’île d’Eubée, rencontre avec ceux qui résistent à la crise grâce à leur ingéniosité.

Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Cameroun, le 01/12 à 15h sur Canal+

Un documentaire de 52′ réalisé par Sebastian Perez Pezzani

En 2008, les émeutes de la faim font plus d’une centaine de morts au Cameroun. Tout cela parce que le prix du blé a augmenté. Le blé, un produit de première nécessité que le pays est obligé d’importer.

Cinq ans plus tard, la jeunesse camerounaise a compris qu’il fallait faire contre mauvaise fortune système D. Quand on ne peut pas se payer quelque chose, il faut le produire soi-même avec ce que l’on a à portée de main.

Sebastian Perez fait le tour du pays à la rencontre des rois de la débrouille. Entre Dorothy qui fabrique des pâtes au manioc, Valentin qui élabore des meubles en cornes de bœuf, Fabrice qui a inventé la machine à déplumer les poulets, et l’incroyable machine à éplucher les patates, c’est un regard différent et amusant que Sebastian porte sur ce pays qui compte parmi les plus pauvres du monde.

Les Nouveaux Explorateurs : David Walters en Corée du Sud, le 17/11 à 15h10 sur Canal+

Pour sa troisième exploration musicale, David nous emmène au pays de Psy, le chanteur au plus de un milliard de vues sur YouTube, à l’heure où la K-pop (musique pop coréenne) s’invite dans presque tous les pays du Monde. Une déferlante qui ne doit rien au hasard, ni au rythme chaloupé de cette musique certes entêtante, mais bien à une véritable volonté politique de ce petit pays de 49 millions d’habitants, qui a fait de sa musique (et plus largement de sa culture) une arme d’exportation massive.

C’est au son du clairon et au sein de… l’Armée que David débute son voyage, aux alentours de Séoul. Une étape importante pour bien comprendre ce pays coupé en deux, en guerre avec son voisin du nord depuis 60 ans. C’est pourquoi en Corée, le service militaire est obligatoire et dure 2 ans. Pour l’accueillir, quoi d’autre que le bataillon des musiciens ? Et pour l’initier : un conscrit pas comme les autres, une star de K-pop !

A ses côtés, David fait ses gammes à l’orchestre de l’Armée, l’un des orchestres classiques les plus réputés du pays, puis il revêt le costume traditionnel de Daechwita, une musique militaire traditionnelle jouée lors des cérémonies officielles.

Car l’Armée ne se contente pas de défendre un pays en guerre : elle défend également le riche patrimoine culturel coréen.

À Séoul, David rencontre ensuite une troupe de danseuses Nord Coréennes, le Pongyang Art Group. Des artistes qui ont fui la dictature pour trouver refuge dans le monde libre, de l’autre côté de la frontière. Toutes ont fait un très long voyage, et laissé derrières elles un pan de leur vie, et surtout leurs familles.

Le Pyongyang Art Group est pour elles plus qu’une troupe : une nouvelle famille, un moyen de gagner leur vie, mais aussi un pont entre deux cultures. Deux cultures unifiées du temps où le nord et le sud ne faisaient qu’un pays, mais aujourd’hui si différentes. Pour Kim, la chorégraphe du groupe, la troupe de danse est ainsi un moyen de rapprocher les habitants du nord de ceux du sud, en prévision du jour tant espéré où la réunification se fera…

Un peu plus loin dans Séoul, David pénètre un univers à mille lieues de celui de ces danseuses : la Def Company est une école de Kpop, mais aussi un label. Dans le domaine de la musique comme dans celui de l’industrie, la Corée a su imposer en à peine 30 ans un savoir-faire redoutable. Ainsi ce petit pays inonde-t-il aujourd’hui le monde entier de ses artistes pensés, calibrés et vendus… comme des produits de consommation.

David débute sa visite par les studios où il rencontre un jeune groupe emblématique de cette vague, créé de toute pièce il y a un an. Les GODDESS rassemblent 4 filles âgées de 16 à 23 ans dont la Def Company a pris les carrières mais aussi les vies en main. Ces adolescentes n’ont par exemple pas le droit de sortir avec des garçons. Après un petit bœuf avec les GODDESS, David s’essaie aux cours de danse que propose l’école. Car la Def Company c’est aussi un conservatoire des temps modernes, dont le but est de préparer des hordes de jeunes aux castings hebdomadaires des labels de Kpop. Ils sont des centaines à venir plusieurs heures par jour, 7 jours sur 7, dans le but de devenir, peut-être, un jour, les futurs GODDESS.

La société coréenne est ultra-compétitive, et ‘travailler dur’ est une notion que l’on apprend très jeune. Ce n’est pas pour rien que les interprètes classiques coréens sont régulièrement en tête des palmarès des grands concours internationaux.

Dans ce pays où la musique classique est un moyen d’élévation sociale, presque tous les enfants apprennent d’un instrument dès leur plus jeune âge, mais seuls les plus persistants atteignent les sommets. Michelle peut en témoigner : à 6 ans elle n’en est pas à son premier concert de violon, et elle enchaîne les concours. David passe une journée auprès de cette enfant prodige et de sa maman – et coach, afin de découvrir les clefs de la réussite à la coréenne : rigueur et discipline.

C’est dans la campagne coréenne, au sud de la capitale, que David termine son périple. Il n’était pas question de quitter le pays sans s’initier au Taekkyon, un art martial coréen à mains nues vieux de presque 2000 ans qui a la particularité de ressembler à de la danse et de se pratiquer en musique. L’occasion pour David de jouer un peu de gong, et de prendre quelques coups…

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Ukraine » – Le 13/10 à 15h sur Canal+

Ce sont les laissés pour compte de l’Europe et son dernier rempart avant la Russie. Anciens satellites de la grande URSS, ils ont du mal à trouver leur identité depuis sa chute et oscillent entre relents nationalistes et nostalgie de l’ère soviétique. Diego Buñuel nous fait découvrir une partie de cette Europe oubliée à travers le plus vaste des pays qui la composent : l’Ukraine.

C’est à Odessa, où s’est déroulée en 1905 la mutinerie du cuirassé Potemkine, que Diego débute son road trip. Le plus grand port d’Ukraine est aujourd’hui le lieu de passage obligé de tous les trafics en provenance d’Europe de l’Est (armes, drogues, etc).

Pour lutter contre ces trafics, l’armée a mis en place des patrouilles, qui paraissent bien futiles au vu de l’ampleur du business naviguant sur les eaux de la mer noire.

Diego assiste à l’une de ces patrouilles aux côtés du Commandant Tretyakov et du Lieutenant Makeev.

Première ‘marchandise’ à transiter par ce port gigantesque : des êtres humains au sombre avenir d’esclaves en tous genres. C’est pourquoi la ville regorge d’âmes perdues, et parmi elles de beaucoup d’enfants. Ils seraient 5000 à vivre dans les rues d’Odessa (100 000 à l’échelle du pays) et dormir dans ses canalisations et sous-terrains. Diego accompagne Sergey Kostin, un ancien toxicomane qui est le premier en Ukraine à avoir monté une structure d’accueil pour ces enfants des rues.

Après Odessa, Diego part en direction d’un autre port : Sébastopol, en Crimée, l’une des plus grandes bases navales du temps de l’Union soviétique. De ce passé ancré dans la guerre froide, il reste encore quelques reliques, et notamment des dauphins soldats formés pour faire sauter des navires ennemis ou encore tuer des nageurs de combat. Diego rencontre le Docteur Gorbaciova, l’ancienne responsable vétérinaire pour les 200 dauphins de la division armes biologiques de la marine soviétique. Aujourd’hui ne reste que 3 de ces dauphins – les autres ayant été vendus à l’Iran – et la base navale a été reconvertie en centre de delphinothérapie à destination des enfants, qui viennent se faire soigner par les mammifères marins. Une thérapie qui n’est pas scientifiquement reconnue mais a ses adeptes, que Diego rencontre.

Comment parcourir l’Ukraine sans faire une halte par Tchernobyl, et plus particulièrement Prypiat ?
La ville est un passage obligé depuis la catastrophe nucléaire de 1986. Sur place, tout est resté tel quel, et un tourisme morbide s’y est même développé. Ce n’est pas en tant que touriste mais accompagné de pompiers que Diego revient sur les lieux de cette tragédie contemporaine. Des pompiers sous équipés qui luttent contre les incendies dans cette zone interdite couverte pour moitié de forêt. Si elle prenait feu, ce serait une nouvelle catastrophe nucléaire pour toute l’Europe.

Prochaine étape pour Diego : Lviv. Cette jolie ville très touristique est le bastion du nationalisme Ukrainien et son héro, Stefan Bandera, un homme controversé. Pendant la deuxième guerre mondiale il s’allie avec les nazis contre l’occupation soviétique et dans la foulée ses hommes participent à des pogroms contre l’importante population juive de Lviv. Un épisode de l’Histoire dont s’est emparé Andriy Khourov pour faire des affaires.

Cet entrepreneur possède 16 restaurants à thèmes de goût plus ou moins douteux, dont une taverne-bunker dans laquelle on fait la chasse aux Russes et s’entraine à la mitraillette sur des portraits de Lénine, et un restaurant juif où les menus n’ont pas de tarif car on y paie à la hauteur de ses talents de négociateur…

C’est enfin à Kiev que Diego conclut son aventure, avec la rencontre d’un prêtre orthodoxe… peu orthodoxe. Chaque semaine, en plus de son service du dimanche, il donne une messe pour les homosexuels qu’il tient cachée en banlieue, au 9ème étage d’un hôpital en travaux. Il faut dire que l’homosexualité, après avoir été longtemps réprimée sous l’ère communiste, est très mal vue dans ce pays aux relents dictatoriaux, et même en passe de redevenir illégale.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez aux Etats-Unis », le 27/08 à 13h05 sur Canal+

« les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez aux Etats-Unis » – Rediffusion du 11/11/2012

Des chercheurs d’or en Alaska avec leurs radeaux de fortune aux habitants de Detroit, la ville où le rêve américain est devenu un cauchemar, en passant par le désert texan, Sebastian Perez est parti rencontrer les rois du Système D. Ceux qui s’adaptent à toutes les situations dans l’esprit des pionniers fondateurs.

Cinq ans après le début de la crise financière, une grande partie de la société américaine s’est déjà adaptée. La plupart de ceux qui ont tout perdu ont trouvé des solutions de survie dans la solidarité et la débrouille. D’autres, par militantisme et conviction, sont en train d’imaginer une nouvelle société. Un American Dream plus juste et plus solidaire.

LE SYSTÈME D aux Etats-Unis avec Sebastian Perez, c’est un voyage à la rencontre de ceux qui s’inventent un avenir grâce à la débrouille. Tous ces atypiques qui refusent de baisser les bras, avec le sourire.

« D comme Débrouille aux Etats-Unis », un film de Sebastian Perez à redécouvrir le 27/08 à 13h05 sur CANAL +

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz en Nouvelle-Zélande », le 26/08 à 13h05 sur Canal +

« Les Nouveaux Explorateurs : Erik Mootz en Nouvelle-Zélande » – Rediffusion du 03/03/2013

Au pays du rugby, modes de vie et habitat révèlent l’art de vivre au vert.

Depuis 2007, la série « Les Nouveaux Explorateurs » présente les différentes façons de vivre aux quatre coins du monde. Pour ce numéro, l’architecte Erik Mootz est allé au sud-ouest de l’océan Pacifique, en Nouvelle-Zélande. Il traverse en camping-car ce pays grand comme la moitié de la France, où vivent 4 millions d’individus dans un cadre géographique exceptionnel.

Après une escale à Hobbiton, village des Hobbits construit par Peter Jackson pour le tournage du « Seigneur des Anneaux » et de « The Hobbit », l’architecte visite plusieurs maisons de rêve au design épuré, de style Frank Lloyd Wright. Certaines sont situées en ville comme celle d’Auckland ; d’autres en pleine nature telle la Turn Point Lodge.

Nous rencontrons aussi Matt, employé de l’industrie du cinéma néo-zélandais. Ce nomade vit depuis vingt-deux ans dans un van tagué de paysages. Brian, Néerlandais, a lui tout quitté pour installer sa famille dans le cadre paradisiaque des Malborough Sounds.

Nous passons pas Kandallah, ce village inspiré de l’architecture vernaculaire des îles grecques et de l’univers de « Star Trek », édifié par l’architecte Ian Athfield. A Great Barrier Island, Erik Mootz découvre le « bach », cabanon « construit sur un terrain qui ne vous appartient pas, à partir de matériaux récupérés », dans lequel vivent des gens à la manière de Robinson Crusoé. Du plus rustique au plus design alimenté par un système de batterie solaire, le « bach » incarne ce mode de vie d’autosuffisance que les Néo-Zélandais appellent « les trois B » : bach, bière, barbecue.

Pour finir, Erik Mootz se rend à Christchurch, capitale de l’île du Sud, dont le centre-ville a été détruit à 80% par un séisme en février 2011. Il nous présente les nouveaux bâtiments comme le centre commercial construit en containers recyclables, ou la cathédrale éphémère triangulaire à charpente en tubes de carton, réalisée en quatre mois par l’architecte Shigeru Ban !

« Les Nouveaux Explorateurs : David Walters en Inde », le 09/08 à 13h05 sur Canal+

« Les Nouveaux Explorateurs – David Walters en Inde » – Rediffusion du 07/04/2013

Pour sa deuxième exploration musicale, David nous emmène en Inde, un pays où la musique est sacrée et considérée comme étant à l’origine du monde.

C’est en effet par le son que le dieu Brahmâ a créé l’univers, selon la mythologie indienne. Un fantasme pour tout musicien… Qu’elle soit destinée aux temples ou au divertissement, enseignée dans le Nord ou pratiquée dans le Sud, la musique en Inde est à l’image de la société : opaque, complexe et soumise à de nombreux codes – que la jeune génération prend un malin plaisir à bousculer.

En Inde, depuis la nuit des temps, il y a d’un côté ceux qui font de la musique pour les temples et les dieux, et de l’autre ceux qui font de la musique divertissante. C’est au côté de ces derniers que David débute son exploration.

À quelques stations de métro du cœur de Delhi s’étend l’un des plus grands bidonvilles de la capitale : Kathputli Colony. David Walters y est accueilli par une caste de marionnettistes originaires du Rajasthan.

L’art des marionnettes indiennes est né au VIIIe siècle dans le but de divertir les princes. Aujourd’hui il permet à ces artistes de gagner correctement leur vie : autour de 100 euros par prestation.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda », le 30/07 à 13h05 sur CANAL +

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda » – Rediffusion du 23/09/2012

Si Sebastian Perez est parti explorer le Rwanda, c’est pour nous montrer le nouveau visage du pays aux mille collines.

Près de deux décennies après le génocide, une nouvelle génération de Rwandais combat la résignation et a décidé de se prendre en main pour faire face aux problèmes du quotidien. Pourtant, 60 % de la population y vit avec moins de 1 dollar par jour et a bien du mal à accéder aux besoins les plus élémentaires. Mais il y a dans ce petit pays ceux qui grâce au système D réussissent à survivre et à aider leurs proches.

Ce sont ces gens que Sebastian est allé rencontrer. Ceux qui en récupérant des métaux peuvent fournir de l’électricité à tout un village. Ceux qui fabriquent du charbon de bois avec des déchets organiques et même ceux qui se servent d’un savon lessive pour attraper des poissons- chats.

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez au Rwanda », à redécouvrir le 30/07 à 13h05 sur Canal+.