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"Passeport pour le crime : Miami" avec Carole Rousseau, réalisé par Bertrand Jeanneau, le 13/12 à 22h30 sur 13ème Rue

Armes à feu, gangs, drogues… Carole Rousseau vous fait découvrir les dessous de la plus cosmopolite des mégalopoles américaines

A Miami, il fait bon vivre toute l’année. Le Gulf Stream offre à ce bout de Floride un climat doux et ensoleillé. Les étudiants de tout le pays adorent y faire leur « spring break », les retraités viennent s’y réfugier par centaines de milliers, et les plus grands paquebots de la planète y font escale dans leur tour des Caraïbes.

Voilà pour la carte postale. Mais derrière les plages de sable fin, les fêtes endiablées, les yachts et les îles pour milliardaires, il y a les règlements de compte entre gangs, les balles perdues, les arrestations de dealers, la toxicomanie, etc.

C’est dans ce Miami-là que Carole Rousseau va plonger : notre animatrice, pour qui les polices françaises n’ont plus de secret, accompagnera les flics de Miami dans leur lutte contre le crime organisé. Avec eux, elle s‘aventurera dans Liberty city, le quartier le plus pauvre et le plus violent de la ville. Elle embarquera avec le SWAT de Miami Dade, le GIGN version américaine, lors d’arrestations de dealers, ou s’essaiera au maniement des fusils automatiques. Les meilleurs journalistes du Miami Herald lui feront découvrir les derniers faits divers et les procès les plus retentissants.

Carole Rousseau arpentera les quartiers les plus luxueux, mais aussi les ghettos les plus pauvres de Miami, où les homicides par balles perdues sont presque communs. Elle partagera le quotidien de ceux qui viennent en aide aux exclus : délinquants sexuels réfugiés dans un entrepôt désaffecté, familles de victimes des gangs, etc. Elle rencontrera enfin quelques bons samaritains qui luttent à leur manière contre le crime et la violence.

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« Passeport pour le crime : Rio de Janeiro » avec Patrick Poivre D’Arvor, le 21/03 à 22h15 sur 13ème Rue

Une production CAPA réalisée par Lionel Langlade

C’est la capitale de la samba, du carnaval et des plages… Mais au dos de la carte postale, Rio de Janeiro s’écrit en lettres de sang. Crime, drogue et corruption : Patrick Poivre D’Arvor nous emmène dans les bas-fonds de Rio, et dans ses quartiers chics. Une immersion qui fait couler l’adrénaline, alors que le compte à rebours du Mondial 2014 a commencé.

La star du 20 heures, qui renoue-là avec ses premières amours de grand reporter, suit le travail de la police, et plonge dans le quotidien des favelas. Il accompagne les journalistes de faits divers, partage le quotidien d’un juge protégé 24h/24, et rencontre l’avocate des narcos, une figure du barreau aussi glamour que sulfureuse.

Figure emblématique de la télévision française, Patrick Poivre D’Arvor a présenté le journal de 20h pendant près de 30 ans et totalisé près de 10 000 journaux télévisés. Outre sa présence prochaine sur 13ème Rue, il est actuellement sur LCP dans « Place aux idées » et sur France 5 dans « Une maison, un artiste ».

Au sommaire de l’Effet Papillon du 28/09 à 13h40 sur CANAL+

« ITINÉRAIRE D’UNE JEUNE FILLE DÉRANGÉE » – Un sujet de Laurent Hamida

Comment bascule-t-on de jeune fille bien sous tous rapport à icône du djihad international ? Rien en apparence ne prédestinait la discrète Samantha LEWTHWAITE à quitter la vie douillette d’une anglaise anonyme, pour le sang et les armes des camps d’entrainement militaire en Somalie, chez les ultras du terrorisme, les chebabs. Encore moins à devenir un mythe. Qu’elle qu’ait été son implication dans le massacre de Nairobi, son nom surgit dès qu’un attentat vise des intérêts occidentaux en Afrique de l’Est. Papillon s’est rendu à Aylesbury, petite ville paisible du nord-ouest de l’Angleterre, là où tout a commencé.

Un nouveau mandat d’arrêt international a été lancé contre Samantha LEWTHWAITE, connue aussi sous le nom de Nathalie WEBB. La jeune femme voyageait jusqu’ici avec un faux passeport sud-africain

« JE TE LIKE, UN PEU, BEAUCOUP, POUR DE FAUX » – Un sujet de Julien Fouchet

Vous rêvez de devenir la star des réseaux sociaux et doper vos likes et vos fans ? Rien de plus facile : des entreprises fabriquent, à vil prix, de faux fans, et même de faux profils. A ce titre, on peut se demander s’il y a bien 1 million 600 personnes qui soutiennent sur Facebook le bijoutier de Nice, ou si ce plébiscite n’a pas un peu été « gonflé » justement par ces « usines à like » dont la plupart sont basées à Dhaka, au Bangladesh. Évidemment, nous sommes allés y jeter un oeil.

Une équipe anti-fraude a été mise en place chez Facebook pour lutter contre cette pratique. Les comptes gonflés artificiellement sont automatiquement fermés. Donc, attention à ne pas trop vous vanter !

« MAUVAIS HELLÈNES » – Un sujet de Charles Sopi avec Seddik Chettab

Avec un record de 17 millions de visiteurs et des recettes touristiques évaluées à 11 milliards d’euros en 2013, la Grèce a toutes les raisons d’aimer les étrangers. Or si, en période de banqueroute, beaucoup soignent les touristes, d’autres chassent les sans-papiers. Depuis que le parti néo-nazi Aube Dorée est entré au Parlement, les nostalgiques des Colonels se sentent pousser la Svastika… et distribuent coups de poings et coups de couteau, presque en toute impunité. Le dernier a atteint mortellement un artiste de hip-hop, la semaine dernière, dans une embuscade qui a soulevé le pays.

Et les manifestations antifascistes se multiplient. Mercredi, plus de 10.000 personnes sont descendues dans la rue pour défendre la démocratie… Un défilé qui a dégénéré en affrontement. Pas de victimes, mais de la colère

ENQUETES CRIMINELLES : « L’Etrange témoin du crime », un film de Dimitri Grimblat, le 20/03 à 20h50 sur W9

22 décembre 1997, sept heures du matin. Un instructeur d’auto-école découvre un corps ensanglanté en contrebas d’une route départementale à côté de Lunel (Hérault). Le ou les tueurs se sont véritablement acharnés sur lui. Il a reçu 108 coups de couteaux !

La victime est un jeune homme, Azzouz, 22 ans, connu pour être un petit revendeur de drogue. À première vue, il s’agit d’un règlement de compte lié au trafic de stupéfiants. Rapidement, les enquêteurs se focalisent sur deux suspects, les grossistes d’Azzouz : Abderrahim El Jabri et Abdelkader Azzimani. Les deux hommes nient mais reconnaissent avoir livré à la victime 5kg de résine de cannabis peu avant le meurtre.

Dans la foulée, un témoin oculaire les confond et, même s’il se trompe sur l’heure du crime, pour les gendarmes, l’affaire est entendue. El Jabri et Azzimani sont mis en examen. Ils n’ont pas d’alibi et leur passé, leur mauvaise réputation, en ont fait des coupables parfaits. Seulement personne n’imagine que cette affaire, à priori résolue, va connaître un incroyable rebondissement…

« ENGRENAGE INFERNAL : Rescapées d’un tueur en série », un documentaire de Coralie Chardonnet le 20/03 à 20h45 sur Planète+ Justice

Marie-Josée Gauze, victime de Patrick Tissier, et Sylvia Peromingo, victime d’Alain Pénin, ont toutes deux survécu à une agression qui aurait pu leur coûter la vie. Leurs agresseurs ont démontré par la suite qu’ils étaient capables du pire. Véritables miraculées, elles n’en sont pas moins traumatisées à vie et ont choisi de raconter l’horreur qu’elles ont vécue.

Un film de Coralie Chardonnet
Diffusion le 20 mars à 20h45 sur Planète + Justice

« Passeport pour le crime : Manille », un documentaire de Richard Puech avec Patrick Cohen le 20/03 à 20h45 sur 13ème Rue

C’est une mégapole de 12 millions d’habitants, peut-être 15, personne ne sait vraiment. La capitale pétaradante et anarchique des Philippines, au fond de l’océan Pacifique, une ville étouffée par la moiteur tropicale, une pollution suffocante et gangrenée par la pauvreté. Pour les touristes, Manille est une escale, une simple plate-forme vers les plages de rêve de l’archipel des Philippines au 7107 îles. Pour les journalistes, c’est une destination sulfureuse, à la réputation entachée par le crime, la corruption et la prostitution.

Pour l’agence Capa et la chaîne 13ème Rue, le journaliste Patrick Cohen a quitté les studios de radio pour le terrain. Il est allé explorer le côté obscur de Manille, ces quartiers livrés à eux-mêmes où l’argent de la drogue et le bruit des armes font la loi.

Il s’est plongé dans les bidonvilles de Manille, où vivent 40% des habitants. Certains ont poussé sur des tas d’ordures, que les familles recyclent pour quelques pesos. Pour les enfants, pas ou peu d’école. Petits et grands trafics offrent un débouché plus immédiat aux enfants des rues, quand ils échappent aux rafles sauvages de services sociaux débordés.

Patrick Cohen a également suivi dans leur action les brigades anti-drogues. Armes lourdes et méthodes musclées, ces super-flics ne lésinent pas sur les moyens dans leur lutte contre le shabu, la drogue de synthèse à la mode.

Mais toute la police n’est pas unie contre la criminalité. La corruption, comme à tous les étages de la société, y fait aussi des ravages. Comment expliquer sinon l’impunité des puissants ou la prospérité des bordels de Manille ? La prostitution, omniprésente et à peine déguisée, est théoriquement illégale aux Philippines…

Des enfants des rues aux millionnaires ultra-protégés, Patrick Cohen navigue dans toutes les couches de la société. Il est avec les businessmen chinois, qui craignent le kidnapping, une industrie du crime qui rapporte gros. Il suit dans leurs combats ces journalistes et avocats qui se dressent contre la corruption, au péril de leur vie.

Violente, colorée, chaotique et pourtant souriante : Manille a mille facettes. Pour Patrick Cohen, c’est à la fois un dépaysement humain et un défi journalistique. Pour comprendre en profondeur cette capitale lointaine et fascinante, la voix des matinales de France Inter a un atout : son passeport pour le crime.

ENQUETES CRIMINELLES : « Le tueur au visage grêlé », un film de Alexis De La Fontaine, le 06/03 à 20h50 sur W9

C’est le dossier criminel le plus ancien traité par la brigade criminelle de Paris. Depuis 27 ans, la police judiciaire recherche un homme qu’elle soupçonne d’être l’auteur de six crimes commis entre 1986 et 1994 : trois viols sur enfants, et trois assassinats. Il pourrait également être impliqué dans une dizaine d’autres affaires criminelles.

Alors pourquoi est-il insaisissable ? Les policiers ont pourtant en leur possession un tas d’indices : les empreintes digitales, l’ADN du tueur, un portrait-robot et surtout une caractéristique physique de l’assassin bien particulière : la peau de son visage est grêlée. Pourtant, l’homme court toujours et n’a jamais été appréhendé…

« Enquêtes Criminelles » rouvre les dossiers de tous ses crimes, retrouve les témoins, et reconstitue les faits.

Qui est ce prédateur qui agit avec une sauvagerie inouïe ? Quel est son mode opératoire ? Connaît-il ses victimes ou agit-il par hasard ?

L’homme est-il l’un des plus grands tueurs en série que la France ait connu ?

« Le tueur au visage grêlé », un film de Alexis De La Fontaine
Le mercredi 6 mars à 20h50 sur W9.
Émission déconseillée aux moins de 10 ans.

ENQUETES CRIMINELLES : « Sans mobile apparent : l’affaire Caroline Nolibé » un film d’Anne-Laure Larget le 06/02 à 20h50, sur W9

Le 31 juillet 1991 vers 11h du soir, Caroline Nolibé, 18 ans, est poignardée à mort devant la grille de la maison familiale à Clairac dans le Lot et Garonne.

Ses gémissements alertent son père, Claude Nolibé, qui la découvre agonisante. Mais ce qui pourrait ressembler à un crime de rôdeur ou de prédateur va se transformer en un terrible drame familial, car à l’arrivée des secours, l’attitude du père de Caroline dérange. L’homme est couvert de sang, il est très confus, et a étrangement tardé à appeler les pompiers…

La machine judiciaire s’enclenche. Gendarmes et procureur vont se forger une conviction : c’est Claude Nolibé qui a poignardé en plein cœur Caroline. Soupçonné à tort d’être un père incestueux, Claude Nolibé aurait tué sa fille par passion ou pour éviter le scandale. Toute l’enquête est alors dirigée vers lui. Il est mis en examen et écroué pour assassinat. Du fond de sa cellule, il crie de toutes ses forces son innocence.

Cependant, après 45 jours de détention, l’accusé est remis en liberté pour absence de preuve, mais c’est trop tard : à Clairac et dans la région, la rumeur l’a définitivement condamné.
L’affaire rebondit en 2001 de la manière la plus inespérée. Une femme de ménage, du foyer pour handicapés mentaux de Clairac, découvre, sous le matelas d’un pensionnaire, une lettre dans laquelle il est écrit « j’ai tué la fille Nolibé ». 10 ans après le crime, l’enquête repart à zéro !

Un film d’Anne-Laure Larget / W9 / CAPA

Collection ENQUETES CRIMINELLES : « La mort dans les yeux », un film de Laurent Follea, le 16/05 à 20h40 sur W9

En 2009, les corps de Guy Bordenave et Luc Amblard sont retrouvés sur les bords de la Loire. Les deux hommes avaient été enterrés vivants trois mois auparavant. « Enquêtes Criminelles » revient sur cette affaire hors-normes, qui avait énormément choqué à l’époque.

Nous sommes le 10 mars 2009 à Couy dans le Cher. Ce matin-là, la gendarmerie locale reçoit l’appel de Marie-Laure Bordenave. Extrêmement inquiète, elle explique que cela fait trois jours qu’elle n’a plus aucune nouvelle de son frère, Guy Bordenave, et du compagnon de celui-ci, LucAmblard.

Les gendarmes se rendent alors immédiatement au domicile des deux hommes. À l’intérieur, à plusieurs endroits, ils découvrent des traces ressemblant à du sang. Plus étrange, la Mercedes du couple est toujours là, et Luc, diabétique, a oublié son insuline. Une chose est sûre : le couple n’est pas parti volontairement. Alors, qui aurait pu vouloir du mal à ce couple en apparence si tranquille.

S’agirait-il d’un crime homophobe ? Étrange, les deux hommes semblaient bien intégrés dans le village… Le couple gérait une société de spectacles…
En voulait-on à leur argent ? S’étaient-il fait des ennemis ? S’agit-il d’une vengeance ? D’acte de jalousie ? Là non plus, les policiers ne trouvent rien…

Quelques jours plus tard, c’est un événement a priori anodin qui va faire basculer l’enquête : Marie-Laure Bordenave, la soeur de l’un des deux disparus, revoit son ex petit-ami, Claude Juillet. Et surprise, il laisse échapper devant elle des cartes bleues. En y regardant de plus près, Marie-Laure découvre qu’il s’agit en fait des cartes bancaires de son frère !

La police est prévenue et Claude Juillet est alors arrêté. Placé en garde-à-vue, il nie totalement être impliqué dans la disparition de Guy Bordenave et de Luc Amblard. Malgré une enquête de plusieurs semaines les enquêteurs ne trouvent rien. Claude Juillet a-t-il simplement subtilisé les cartes des deux disparus ? Sans preuve matérielle, l’homme doit être relâché. L’enquête en est au point mort et les policiers n’ont toujours pas retrouvé le couple. Mais des témoignages vont donner à l’affaire un élan inespéré et révéler un crime d’une grande cruauté : Guy Bordenave et Luc Amblard ont en fait été enterrés vivants, sur les bords de la Loire.

Guy et Luc ont été enterrés vivants, ils se sont vus mourir l’un en face de l’autre…

« PASSEPORT POUR LE CRIME Saint Petersbourg », avec Karine Duchochois, le 4/03 à 22h30 sur 13ème Rue

Saint-Pétersbourg est née d’une folle ambition, celle d’un tsar qui rêvait d’un empire puissant et moderne, ouvert sur l’Europe. Quatre siècles après la pose de la première pierre, elle s’impose comme l’une des plus belles villes d’Europe. Belle, mais dangereuse : la magnificence de ses innombrables palais ne doit pas nous faire oublier que Saint Petersbourg fut longtemps considérée comme la capitale du crime en Russie.

Après avoir fait la une des journaux de faits divers dans le cadre de l’affaire Outreau, et s’être confrontée à la justice française malgré elle il y a déjà 10 ans, Karine Duchochois dresse le portrait de Saint-Pétersbourg à travers sa criminalité. Désormais journaliste sur France Info, Karine Duchochois va partir à la rencontre de ceux qui sont au cœur du crime en Russie.

Pour s’immiscer dans les entrailles de la mégalopole russe, elle sera guidée par des journalistes locaux, rompus à l’exercice : ils connaissent la cité du crime comme leur poche, ses palais et ses arrière-cours sombres, ses petits et ses grands secrets.
Et leurs relations avec la police nous en disent long sur la société russe.

Avec les faits divers, Karine Duchochois a trouvé son passeport… pour comprendre Saint-Pétersbourg.

KARINE DUCHOCHOIS
Suite à l’affaire Outreau dont Karine Duchochois fut l’une des accusés. Elle fut épris de justice et pousser par le désir d’informer ce qui l’amené à écrire un livre « Moi, Karine innocente et cassée ». Ce dernier relate son parcours dès son accusation jusqu’à son combat pour la justice dans une affaire sans précédent.

« PASSEPORT POUR LE CRIME, Dis moi quel fait divers tu lis, je te dirai où tu vis… »
Lors de chaque numéro, une personnalité part dans un pays étranger à la rencontre d’un fait divers local qu’elle va suivre dans son quotidien.

Passeport pour le crime vous montre la face cachée de lieux de vacances qu’on pensait pourtant idylliques. A travers les faits divers et les crimes, c’est toute une société, sa population, son rythme, ses mœurs, ses us et coutumes que l’on tentera de percer à jour.

Passeport pour le crime | Saint Petersbourg
Un film de Lionel Langlade, présenté par Karine Duchochois
Diffusion, le dimanche 4 mars à 22h30
Rediffusion le mercredi 7 mars à 20h45.