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Au sommaire de L’Effet Papillon du 23/02 à 13h40 sur CANAL +

La commedia del Beppe, un sujet de Nicolas Tonev et Emmanuel Bach

Qu’est ce qu’il y a comme secousses en ce moment en Italie… Des séismes heureusement sans gravité, le pape qui s’en va, Berlusconi qui revient et un OVNI au milieu de tout ça qui pourrait bien perturber sérieusement les élections de ce week-end car l’ancien comique Beppe Grillo ne fait plus rire ses adversaires.

Adversaires de Thaïs, un sujet de David Muntaner

Retour sur le plateau de L’Effet Papillon… Ne dîtes pas que la Thaïlande est en guerre ça ferait peur aux touristes et chuter les ventes de tongs… Faisons simple : au sud du pays, quatre provinces frontalières de la Malaisie sont le théâtre d’une guérilla violente entre malaisiens musulmans et bouddhistes thaïlandais. Et ces derniers jours la guerre a repris de plus belle.

Favela Chic, un sujet de Hugo Van Offel

JMJ en 2013, Coupe du monde de foot en 2014, Jeux olympiques en 2016, au Brésil il faut que ça brille même dans les favelas… Après le coup de balai des forces spéciales de l’armée et l’installation de policiers à chaque coin de rue, le bobo brésilien a fait son apparition dans les quartiers suivis de quelques étrangers qui flairent le bon plan d’investissement.

Et comme chaque semaine, retrouvez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON
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« PASSEPORT POUR LE CRIME » BOGOTA, un documentaire de Stéphane Jacques et Christophe Hondelatte le 30/01 à 20h45 sur 13ème Rue

« PASSEPORT POUR LE CRIME » BOGOTA, un documentaire en immersion de 90 minutes réalisé par Stéphane Jacques avec Christophe Hondelatte

Bogota, son nom fait encore trembler. Les années Escobar résonne toujours dans cette mégapole de 8 millions d’habitants. Ses rues sont hantées par une horde de zombies, ces fantômes toxicomanes et sans abri. Et la guérilla est à ses portes.

Christophe Hondelatte fait le portrait de la capitale de la Colombie par sa face sombre. Le spécialiste des faits divers a remis son cuir pour une immersion inédite dans les entrailles d’une société passionnante et criminogène…

Sur place, il suit dans leur travail des « faits-diversiers » locaux, journalistes tout-terrain, capables d’ouvrir toutes les portes. De la prison à la morgue, des coupe-gorges aux beaux quartiers, Christophe Hondelatte se frotte au quotidien morbide et sulfureux de Bogota.

Il patrouille avec les unités d’élite, remonte à la source de la drogue dans les quartiers chauds, rencontre des paysans qui vivent de la marijuana et de la cocaïne, s’entraîne pour échapper aux kidnappings et se fait même tirer dessus !

En Colombie, les cendres de la guerre civile sont encore chaudes, et les affaires d’otages dans toutes les têtes. Le pays continue de produire la moitié de la cocaïne mondiale. Mais les mentalités sont en train de changer. Bogota tente de tourner la page et de réprimer ses vieux démons. Le déploiement des forces de l’ordre dans les rues de la capitale est spectaculaire. C’est le dogme de la sécurité à tout prix, avec ses coups tordus et ses victimes collatérales.

Christophe Hondelatte se rend sur les scènes de crime, et fait parler coupables et victimes. Pour comprendre ce que les faits divers nous disent de la société colombienne, Christophe Hondelatte multiplie les rencontres, du dealer au médecin légiste, des prostituées au flic de quartier…

Son enquête est aussi un carnet de voyage écrit à la première personne. Une ballade à hauts risques au pays des narcos et des paramilitaires.

« Hugo Chavez, le grand mensonge », un film de Caroline du Saint à voir le 8/10 à 23h05 sur CANAL +

Il fait meilleur vivre à Baghdad qu’au Venezuela. A Caracas, une personne meurt par balles toutes les deux heures. On compte de 15 à 20 000 morts violentes chaque année, soit 4 fois plus qu’en Irak, et autant que le Mexique… le tout dans un pays pourtant épargné par les gangs et le narcotrafic.

Des chiffres qui ont quadruplé, depuis l’arrivée au pouvoir en 1999 d’un certain Hugo Chavez, candidat à sa propre succession lors de la prochaine élection présidentielle, le 7 octobre 2012.
Comment en une dizaine d’années, un pays a-t’il pu basculer dans une telle violence ? Comment les inégalités, la misère, ont-elles pu croître à ce point, dans un pays riche, assis sur une des principales mannes pétrolières du continent ? Quelle est la responsabilité d’Hugo Chavez dans cette dégradation ?

Alors que la campagne électorale bat son plein, nous avons voulu décortiquer le système Chavez… Montrer et dire ce qui n’a pas été dit, au-delà des images habituelles, de la censure des médias et de ses excentricités télévisuelles.

Nous allons montrer la face cachée du Che Venezuelien: comment le dernier révolutionnaire du continent après Fidel Castro a privatisé le pays, capté les richesses pour ses proches, le livrant aux milices et à la guérilla, permettant aux armes de se répandre, soumettant les populations à la loi du plus fort.

Le Venezuela, patrie socialiste, est devenue la caricature la plus aboutie de l’ultra libéralisme, sans foi ni loi.

Au sommaire de « l’Eté Papillon » le 16 août, à 20h15 sur CANAL +

ARGENT SALE A TOUS LES ETAGES, de Nicolas TONEV

Rediffusion du 26/02/2011 et 23/07/2011

Aquila, à 1H de Rome, va t-elle devenir le Pompéi du 3ème millénaire ? Près de 2 ans après le séisme, la cité des Abruzzes est un champ de ruine. Rien ou presque n’a bougé, au point que les sinistrés se demandent aujourd’hui si ce joyau ne renaîtra jamais de ces cendres. 14 milliards d’euros sont nécessaires à sa reconstruction. Un marché colossal, que la mafia a immédiatement infiltré.

DEMOBILISEZ-VOUS, de Caroline du SAINT

Rediffusion du 11/03/2012

En Colombie, cela fait 60 ans maintenant que le gouvernement lutte contre les FARC, la plus ancienne guérilla marxiste d’Amérique Latine. Avec prés de10.000 combattants prêts à servir, ce groupe armé a perdu en 10 ans, la moitié de ces effectifs. Une hémorragie qu’encouragent les autorités, par tous les moyens possibles. Et notamment en jouant sur l’affect. Les sapins et les boules de Noël adressées, en décembre dernier, aux guérilleros pour les inciter à déserter ont porté leurs fruits. Plusieurs centaines d’entre eux sont rentrés chez eux, mais pas forcément dans le rang.

Pour la saison estivale, «L’Effet Papillon » se transforme pour devenir « L’Eté papillon » mais propose toujours des enquêtes minutieuses sur des sujets décalés.

Du 16 juillet au 24 août, découvrez et redécouvrez chaque jour à 20h15, 2 sujets parmi les plus fous, les plus étonnants et les plus audacieux que les journalistes de CAPA sont allés dénicher aux quatre coins du monde !

Le site officiel de l’Effet papillon sur CANAL+

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