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Ne manquez pas 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +!

Entre Moscou et ses communautés, c’est « je t’aime, moi non plus »… Au sommaire de cette émission :

– Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel
– Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel
– Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche
– Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche
– Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert
Diffusion le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Prenez votre ticket ! 1€70 à Moscou, présenté par Victor Robert, le 27/04 à 20h50 sur Planète +

Les Afghans à Moscou : « Kaboul Kitchen », de Pierrick Morel

La communauté afghane de Moscou a une particularité. Elle est regroupée sur un seul et même site, appelé Sébastopol. Une ancienne barre d’immeubles d’habitation, dans le plus pur style stalinien. A l’intérieur, un immense bazar qui emploie 8.000 personnes et plus de 1.000 entreprises. Un site totalement autogéré avec son école, sa boulangerie et même sa propre mosquée. Autre particularité : les dirigeants de Sébastopol sont tous d’anciens dirigeants de province afghans, d’anciens universitaires ou d’anciens présentateurs de la télévision d’état. Mais tous ces hommes ont collaboré avec les soviétiques, lors de l’invasion de l’Afghanistan par l’armée rouge en 1979.

Quand les chars russes ont quitté le pays en 1989, ces hommes et leurs familles ont été bannis du pays et même aujourd’hui ne peuvent pas envisager de rentrer à Kaboul.

Les Tadjiks à Moscou : « Tête de Tadjiks » de Pierrick Morel

Le Tadjikistan est une ancienne république soviétique d’Asie centrale, libérée du joug de Moscou en 1991. Depuis, ce pays montagneux et rural s’est lentement enfoncé dans la misère. A tel point que selon la banque mondiale, le Tadjikistan est le 1er pays au monde, dépendant de l’argent envoyé par sa diaspora.
En Russie, les Tadjiks sont en bas de l’échelle sociale. Ils sont dévolus aux travaux les plus difficiles. Les Russes de ne les aiment pas à tel point que le mot Tadjik est entré dans le langage courant et est devenu une insulte. Pourtant, cette communauté garde le sourire, tant les conditions de vie qu’ils ont quittées sont difficiles….

Les Africains à Moscou : « Le Rouge et le Noir », de Mickael Beurdouche

Être Noir à Moscou relève du défi. Ils sont Sénégalais, Nigérians ou Camerounais et sont venus faire leurs études au sein d’une faculté prestigieuse, appelée « Université de l’amitié entre les peuples ». Pourtant, à Moscou, ils ne sont pas les bienvenus et font même épisodiquement l’objet de chasses à l’homme. Pour la plupart d’entre eux, ils repartiront en Afrique dès la fin de leur cursus. Mais certains ont fait le choix de rester et même d’y fonder une famille. Mais comme disait Coluche, pour eux « ça sera très dur »…

Les Géorgiens à Moscou : « Action, réaction, Réconciliation ? », un sujet de Mickael Beurdouche

En Russie, les Géorgiens sont appréciés. Staline, le petit père des peuples était Géorgien. Ils sont notamment connus pour l’excellence de leur cuisine, dont la légende raconte qu’elle fabrique des centenaires. Les meilleures tables de Moscou sont géorgiennes. Depuis la chute de l’URSS en 1991, plusieurs incidents ont émaillé les relations compliquées qu’entretiennent la Russie et la Géorgie jusqu’à ce jour du 7 aout 2008 et cette guerre éclair menée par Moscou sur le sol géorgien. L’enjeu : deux régions séparatistes de Géorgie : l’Ossetie du Sud et l’Abkhasie. Ce conflit a considérablement changé la donne quant aux regards que les Russes portent sur les Géorgiens. A tel point que la diaspora géorgienne de Moscou s’est sentie et se sent encore aujourd’hui pointée du doigt par la société russe.

Interview de Veronika Dorman, correspondante du journal  » Libération » à Moscou.

1€70 à Moscou
Rédacteur en chef : Pierre-Olivier Labbé
Présenté par Victor Robert

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 23 octobre 2011

Pour beaucoup de syriens, le Liban est devenu une terre d’asile, et la base arrière de la contestation. Civils, déserteurs, activistes: ils sont de plus en plus nombreux à franchir la frontière et à trouver refuge au pays du Cèdre…Seulement aujourd’hui, le Liban est gouverné par le Hezbollah, un allié historique de Damas… Autant dire, un voisin qui ne vous veut pas forcément du bien. DANS LA GUEULE DU LOUP, c’est un sujet de Hugo VAN OFFEL.

RE-CON-CI-LIA-TION, c’est le mot d’ordre en Côte d’ivoire… Un an après la crise électorale qui a fait plus de 3000 morts, le président Allassane OUATTARA a mis en place une commission chargée de restaurer la paix. Pas simple dans un pays en proie à une guerre larvée depuis 10 ans, et qui enterre à peine ses morts? Sur le terrain, l’heure est moins à la reconstruction qu’aux règlements de comptes. ENTRE BASTON ET PARDON, c’est un sujet de Maureen GRISOT.

Attention, le sport peut gravement nuire à la santé! Aux États-Unis, on ne compte plus les cas de commotions cérébrales chez les footballeurs américains… Leur nombre explose de semaine en semaine… sans compter les suicides chez les joueurs: 16, rien que ces 5 dernières années. Le plus récent, celui de Dave Duerson, ex-star de la NFL, date de février 2011…L’athlète a laissé une lettre demandant que son cerveau soit autopsié, pour prouver que les coups encaissés sont néfastes…75 joueurs à la retraite ont d’ailleurs décidé de porter plainte, cet été, contre la NFL…Bref, à l’issue de cette coupe du monde de rugby, il n’est pas inutile de rappeler que les sports violents ne sont pas anodins pour le corps humain…Ça vaut bien cette piqure de rappel. LÉSIONS FATALES, c’est un sujet de Claire WALBERGUE et Philippe LEVASSEUR.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

Pour retrouver l’Effet Papillon sur Facebook > c’est par ici !