« Pompes funèbres, l’obscur marché de la mort », un film de Sylvain Pierron dans LES INFILTRES le 1/03 à 22h50 sur France 2

Quatrième enquête de la saison 3 : le marché des pompes funèbres

Pour ce quatrième numéro de la saison, Les Infiltrés ont intégré le marché de la mort : celui des pompes funèbres. Entre tarifs extravagants et pratiques douteuses, certains professionnels n’hésitent pas à profiter de la vulnérabilité des familles endeuillées pour gonfler leur bénéfice.

Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres, une expression particulièrement adaptée aux Pompes Funèbres.

Avec environ 550.000 morts par an, le chiffre d’affaires du secteur est estimé à deux milliards d’euros. Et la facture n’a cessé d’augmenter pour les familles endeuillées, + 35% en 10 ans. La courbe des décès, stable aujourd’hui, devrait décoller d’ici les années 2030 : avec la disparition de la génération du baby boom, on comptera alors plus de 700 000 morts par an. Le marché est promis à un bel avenir.

En attendant, malgré les lois et règlements qui régissent le secteur, les infiltrés ont découvert que les tarifs pouvaient être extravagants, que les familles pouvaient être victimes de pratiques douteuses. Appliquant la loi du silence, le secteur des Pompes Funèbres ne s’est toujours pas débarrassé de cette mauvaise image.

Au delà de la dérive des prix, l’équipe des Infiltrés a découvert des pratiques scandaleuses et indignes connues par beaucoup de professionnels : des malversations financières, des affaires sordides, des fraudes, des escroqueries, alors que les familles qui viennent de perdre un proche sont particulièrement vulnérables.

Face au scandale, certains professionnels n’hésitent pas à briser l’omerta et à se battre pour que les défunts et leurs familles soient respectés, en prenant parfois le risque de perdre leur travail.

Pendant plusieurs mois, un de nos journalistes a infiltré ce milieu secret, qui préfère toujours rester dans l’ombre. Car la mort, sujet intime et tabou dans notre société, permet à certains professionnels d’abuser des familles endeuillées sans qu’elles ne s’en rendent compte, ou sans qu’elles n’osent se plaindre…

A PROPOS DES INFILTRES

Choisir de montrer ce qui est souvent resté caché, non dit ou secret. Sans parti pris, ni point de vue partisan, le magazine « LES INFILTRÉS » a l’ambition, à travers un film puis un débat, de traiter certains dysfonctionnements de notre société.

Sans jamais s’attaquer personnellement à des individus, ni porter atteinte à leur intimité, mais avec la volonté de démonter les failles d’un système, d’une institution, d’une entreprise, les enquêtes des journalistes infiltrés vont permettre de découvrir une réalité parfois préoccupante.

Parce que chaque film des infiltrés sera le fruit d’un tournage à un moment donné dans un lieu donné, le débat animé par Marie Drucker permettra de répondre d’abord aux questions directes soulevées par le film puis d’élargir plus globalement à la question de société qui en découle.

« Laboratoires pharmaceutiques, un lobby en pleine santé », un film de Sophie Bonnet dans LES INFILTRES le 22/02 à 22h50 sur France 2

Pour ce troisième numéro de la saison, les Infiltrés se sont glissés au cœur même de l’industrie pharmaceutique au fonctionnement bien particulier. Une industrie florissante qui a néanmoins abrité plusieurs scandales comme celui du médiator.

Les laboratoires pharmaceutiques, un monde très discret, habituellement fermé aux médias.

L’équipe des infiltrés est parvenue à pénétrer cette industrie, souvent décrite comme l’un des plus puissants lobbys au monde. En France l’industrie pharmaceutique réalise près de 50 milliards de chiffre d’affaires par an, dont 45% réalisé à l’exportation, et compte plus de 110.000 emplois.
Avec l’affaire médiator, le public a découvert les méthodes parfois troubles de certains laboratoires : conflits d’intérêt des experts chargés de donner leur avis aux autorités sur un médicament, effets secondaires passés sous silence, études cliniques « arrangées », et lobby sur les pouvoirs publics pour éviter toute réforme trop contraignante pour l’industrie pharmaceutique.

Aujourd’hui cette industrie reste très productive : 150 nouveaux médicaments arrivent sur le marché français chaque année, la plupart pour des pathologies très rentables où le patient va prendre un médicament tous les jours, toute sa vie : le diabète, le cholestérol, ou l’hypertension par exemple… Pourtant ces « nouveaux » médicaments sont rarement innovants, et leurs effets indésirables pas toujours connus.

Alors après le scandale médiator, comment les laboratoires pharmaceutiques lancent-ils un médicament ? Quelles précautions prennent-ils ? Comment parviennent-ils à maintenir leur chiffre d’affaires alors que les pouvoirs publics tentent de réduire les dépenses de santé, particulièrement celle des médicaments ?

Pour être au cœur des stratégies de lancement d’un médicament, deux équipes de journalistes ont travaillé en parallèle. La première a infiltré un laboratoire et la seconde a enquêté sur le terrain auprès des médecins et des visiteurs médicaux.
Une enquête en infiltration qui permet de découvrir l’influence des visiteurs médicaux sur certains médecins, et comment de nouveaux médicaments qui n’apportent rien par rapport à ceux existants, tout en présentant des effets indésirables importants, prennent une place importante sur le marché grâce à des stratégies marketing sophistiquées, tout en étant beaucoup plus cher que les médicaments habituellement prescrits.

A PROPOS DES INFILTRES

Choisir de montrer ce qui est souvent resté caché, non dit ou secret. Sans parti pris, ni point de vue partisan, le magazine « LES INFILTRÉS » a l’ambition, à travers un film puis un débat, de traiter certains dysfonctionnements de notre société.

Sans jamais s’attaquer personnellement à des individus, ni porter atteinte à leur intimité, mais avec la volonté de démonter les failles d’un système, d’une institution, d’une entreprise, les enquêtes des journalistes infiltrés vont permettre de découvrir une réalité parfois préoccupante.

Parce que chaque film des infiltrés sera le fruit d’un tournage à un moment donné dans un lieu donné, le débat animé par Marie Drucker permettra de répondre d’abord aux questions directes soulevées par le film puis d’élargir plus globalement à la question de société qui en découle.

« Trafic d’animaux, les mafias internationales », un film de Pierre Morel dans LES INFILTRES, le 15/02 à 22h50 sur France 2

Pour ce deuxième numéro de la saison, les Infiltrés ont patiemment remonté pendant plusieurs mois les pistes empruntées par les trafiquants d’animaux domestiques ou exotiques… Conditions sanitaires déplorables, importations illégales, le commerce d’animaux fait l’objet de nombreuses dérives.

En France, l’équipe des Infiltrés a découvert un trafic de chiots aussi sinistre que lucratif.
Chaque année, pour répondre à ce marché, on estime qu’il faut environ 600 000 nouveaux chiens. 25 % proviendraient d’un élevage déclaré. D’où viennent les autres, près de 450 000 ?
Élevages, petites annonces, salons animaliers, les circuits de distribution sont multiples, l’étendue des transactions difficile à contrôler. Le marché dépasserait plusieurs centaines de millions d’euros. Mais derrière certaines offres se cachent de véritables fraudes.

En se faisant passer pour des clients, pour des négociants ou des trafiquants, les Infiltrés ont réussi à remonter jusqu’à la source d’approvisionnement en Slovaquie.
Il ya également des animaux exotiques, des espèces protégées menacées d’extinction, qui rentrent clandestinement en Europe pour satisfaire de nombreux clients… L’enquête menée par les journalistes les a amenés jusqu’en Hollande, République Démocratique du Congo, Turquie, Belgique, où ils ont approché les mafias internationales. Les Infiltrés ont voulu savoir comment s’organisent les trafiquants d’animaux sauvages. Les traités internationaux, la surveillance aux frontières et les certificats d’exportations sensés contrôlés les échanges, sont des obstacles bien dérisoires pour enrayer le trafic des animaux en voie de disparition. Un trafic de plusieurs milliards de dollars qui serait en progression ces dernières années.

A PROPOS DES INFILTRES

Choisir de montrer ce qui est souvent resté caché, non dit ou secret.
Sans parti pris, ni point de vue partisan, le magazine « LES INFILTRÉS » a l’ambition, à travers un film puis un débat, de traiter certains dysfonctionnements de notre société.

Sans jamais s’attaquer personnellement à des individus, ni porter atteinte à leur intimité, mais avec la volonté de démonter les failles d’un système, d’une institution, d’une entreprise, les enquêtes des journalistes infiltrés vont permettre de découvrir une réalité parfois préoccupante.

Parce que chaque film des infiltrés sera le fruit d’un tournage à un moment donné dans un lieu donné, le débat animé par Marie Drucker permettra de répondre d’abord aux questions directes soulevées par le film puis d’élargir plus globalement à la question de société qui en découle.

« Les Infiltrés : Pôle Emploi, mission impossible », vendredi 01/02 à 22h50 sur France 2

Les infiltrés reviennent sur France2 avec quatre numéros. Comme à chaque fois les équipes de CAPA ont saisi une réalité qu’on ne voit pas habituellement, surtout lorsqu’on se présente comme un journaliste.

A travers les infiltrations réalisées sur plusieurs mois, et dont certaines ont commencé il y a plus d’un an, les infiltrés ont saisi avec leur caméra cachée ce que souvent les institutions, les lobbys, ne veulent pas montrer.

Les « infiltrés » chez Pôle emploi :

Cette année les « infiltrés » se sont intéressés à des « systèmes » que tout le monde connaît, mais dont personne ne peut imaginer l’univers kafkaïen. Comme par exemple Pôle Emploi, l’organisme qui gère les chômeurs, qui les aide à retrouver un travail. Un sujet d’actualité s’il en est, au moment ou le nombre de demandeur d’emploi ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui Pôle emploi accompagne plus de 3 millions de personnes, presque un million de plus qu’il y a 4 ans au moment de sa création. Pour faire face à cette vague l’organisme a recruté des agents en CDD d’un an dans le courant de l’année 2012. L’une de nos journalistes a réussi à se faire embaucher dans une agence importante d’une grande ville française. Une embauche presque à la va-vite, sans vraie sélection et avec une formation sur le tas. Et pendant ce temps-là, cette même agence remerciait des agents formés qui finissaient un CDD de deux ans…

Jour après jour cette infiltrée a découvert la réalité du quotidien des conseillers Pôle emploi. Des conseillers en sous-effectifs chroniques, écrasés par la bureaucratie et des directives inapplicables, confrontés à la misère – parfois à la violence – et scandalisé par la politique du chiffre. Elle a découvert comment le système « oubliait des chômeurs » jugés « incasables », et dont aucun conseiller ne suivait le dossier.

Mais ce qu’à découvert également notre journaliste infiltrée, c’est le dévouement fréquent des agents qui n’hésitent pas à trouver des solutions aux demandeurs d’emplois grâce à une bonne dose de système D.

Parallèlement à ce tournage en infiltration une autre équipe de journaliste a durant quatre mois fait des demandes officielles de tournage dans une agence Pôle emploi pour pouvoir rencontrer des agents, discuter de leur condition de travail et les filmer dans leurs activités. Ces demandes à la direction de la communication de Pôle emploi n’ont pas abouti, l’organisme ne souhaitant pas donner d’autorisation de tournage.

Nouvelle saison pour « Les Infiltrés » dès le 1er février avec Marie Drucker, sur France 2

Retour pour la 3e saison du magazine d’investigation, Les Infiltrés présenté par Marie Drucker le vendredi 1er février à 22h50 sur France 2.

Les journalistes de CAPA ont saisi une nouvelle fois une réalité au cœur de différents mouvements, milieux ou entreprises. Des enquêtes chocs et inédites, des reportages, loin des images habituelles.

Première enquête – Pôle emploi : mission impossible

Pour ce premier numéro, Les Infiltrés se sont intéressés à un « système » que tout le monde connaît, mais dont personne ne peut imaginer l’univers kafkaïen : Pôle emploi. Un sujet d’actualité s’il en est, au moment où le nombre de demandeurs d’emploi ne cesse d’augmenter.

Aujourd’hui, Pôle emploi accompagne plus de 3 millions de personnes, presque un million de plus qu’il y a quatre ans au moment de sa création. Pour faire face à cette vague, l’organisme a recruté des agents en CDD d’un an dans le courant de l’année 2012.

L’une de nos journalistes a réussi à intégrer une agence importante d’une grande ville française : une embauche sans vraie sélection et avec une formation sur le tas. Dans le même temps, l’agence remerciait des agents formés qui finissaient un CDD de deux ans…

Jour après jour, cette infiltrée a découvert la réalité du quotidien des conseillers de Pôle emploi, en sous-effectifs chroniques, écrasés par la bureaucratie et des directives inapplicables, parfois à la violence, et scandalisés par la politique du chiffre. Elle a découvert comment le système « oubliait des chômeurs » jugés incasables, et dont aucun conseiller ne suivait le dossier. Et pourtant les agents font régulièrement preuve de dévouement et n’hésitent pas à trouver des solutions aux demandeurs d’emploi grâce à une bonne dose de système D.

Parallèlement à ce tournage en infiltration, une autre équipe de journalistes a, durant quatre mois, fait des demandes officielles de tournage dans une agence Pôle emploi pour pouvoir rencontrer des agents, discuter de leurs conditions de travail et les filmer dans leurs activités. Ces demandes à la direction de la communication de Pôle emploi n’ont pas abouti, l’organisme ne souhaitant pas donner d’autorisation de tournage…

A PROPOS

Tourné en caméra caché, le plus polémique des magazines de France 2, « Les Infiltrés », revient pour une troisième saison à partir du vendredi 1er février, en deuxième partie de soirée.

Le premier numéro du magazine, désormais présenté par Marie Drucker, qui succède à David Pujadas.

Produit par Capa, « Les Infiltrés » a fait son apparition en 2008 sur France 2.

Marie Drucker prendra les commandes de cette troisième saison, succédant à David Pujadas. Elle ne sera pas la seule nouvelle venue dans l’émission. Journaliste à l’agence Capa depuis 1989, Jean-Paul Billault en devient le nouveau rédacteur en chef.