« Peur sur la ligne, quinze ans après », de Wandrille Lanos, le 14/05 à 14h00 dans Envoyé Spécial – La suite, sur France 2

Un ticket non validé, un pavé dans une vitre, une insulte, un coup de poing… C’était le quotidien de ces chauffeurs de bus, filmés en 1996, à Paris ou à Lyon sur des lignes « sensibles ». Pour certains, c’était le raz le bol : ils n’en pouvaient plus de subir incivilités ou violences.

15 ans plus tard, nous les avons retrouvé. Ils nous racontent comment leur métier a évolué. Quels moyens les compagnies de transport ont-elles mis en place pour épauler leurs conducteurs ? Comment luttent-elles aujourd’hui contre la fraude ? Les moyens développés il y a 15 ans sont-ils toujours d’actualité ?

A l’époque, le malaise perceptible des conducteurs était croissant, et les entreprises de transport public semblaient avoir des difficultés à y remédier…

15 ans après, malgré les solutions proposées, les conducteurs restent toujours en première ligne. »

« Le magot de la méduse », un film de Philippe Lagnier, le 13/05 à 20h35 dans Thalassa sur France 3

C’est une créature gélatineuse, qui pour les Occidentaux, n’a rien d’appétissant ni même de comestible. Et pourtant, elle se retrouve dans l’assiette de centaines de millions de consommateurs : en Orient, elle se déguste bouillie, frite ou en salade.

Cet être composé d’eau à 95%, c’est la méduse.

En Thaïlande, elle fait le bonheur des pêcheurs qui chaque année guettent son arrivée sur les côtes du pays. Une épuisette, une vieille barque à moteur: ils n’ont besoin de rien de plus.

Elle est pour eux la promesse de revenus faciles. Mais la méduse est aussi un produit d’exportation à la mode: des usines impeccables transforment -au millimètre près- ces bulbes marins en nouilles caoutchouteuses pour le consommateur japonais.

Forts de ce succès, des entrepreneurs thaïs pleins de projets rêvent même de conquérir l’Europe…

LE MAGOT DE LA MEDUSE Durée : 17’07’’
Réalisateur : Philippe Lagnier
Diffusion dans THALASSA le 13/05 à 20h35 sur France 3

Au sommaire de l’effet papillon du 7 mai 2011

Tuer des innocents, un jeu et pas seulement virtuel ! Entre janvier et mai 2010, 5 GI’s ont assassinés des civils afghans dans la région de Kandahar juste, je cite, « pour s’amuser ». Ils maquillaient leurs meurtres, en les faisant passer pour de la légitime défense. Pire encore, ils posaient devant les cadavres, avant de les mutiler pour en conserver des bouts, comme trophée. TUER N’EST PAS JOUER, c’est un sujet de Bruno Gex.

Et une devinette : comment l’Inde peut-elle abriter le tiers des affamés de la planète en étant le 2ème producteur de riz au monde ? La réponse tient en un mot : corruption ! Le gouvernement a mis en place un programme censé nourrir les plus pauvres. En réalité, il engraisse les fonctionnaires et tous leurs intermédiaires qui revendent au marché noir 80% de l’aide humanitaire. COMMENT FAIRE DU BLE AVEC DU RIZ, c’est un sujet d’Axelle De Salve et d’Alexandre Bassano.

L’uranium n’a jamais été aussi rentable. Et peu importe que son extraction pollue les sous-sols pour des siècles. En 5 ans, le cours du minerai a été multiplié par 10… Une manne financière que la République Tchèque exploite à fond avec la seule mine encore en activité en Europe, avant d’en rouvrir de nouvelles. Le péril nucléaire a fait long feu : le business prime. FUKUSHIMA MON AMOUR, c’est un sujet de Thomas ZRIBI.

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Au sommaire de l’Effet Papillon du 30 avril

Mauvais traitements, insalubrité, surpeuplement : au Brésil, le système carcéral est au bord de l’implosion. Le taux d’occupation excède les 300%, ça vous donne une idée de l’enfer ! Sans compter que la prison pour les plus jeunes est devenue l‘école du crime n°1.

Pourtant, certains arrivent à s’en sortir… par le foot. Marquer des buts pour se faire la malle, au pays de Ronaldhino, c’est un programme de réinsertion qui a de l’avenir. CRAMPONNEZ-VOUS, c’est un sujet de Mathilde BONNASSIEUX et Frédérique ZINGARO.

Leurs villages n’apparaissent nulle part sur les cartes, et n’ont aucune existence légale. Pourtant, les bédouins du Néguev vivent dans le désert israélien depuis des générations… avec ou sans titre de propriété. Et justement, faute de permis de construire, les autorités rasent leurs maisons plusieurs fois par mois, et plusieurs fois par mois, les bédouins reconstruisent leurs logements. Et cela fait des années que ça dure. DEMOLITION MEN, c’est un sujet de Thomas ZRIBI.

Plus de dix morts et des milliers de réfugiés pour 4 kilomètres carrés de broussailles et un temple Khmer en ruines, c’est le bilan de la guéguerre que se livrent thaïlandais et cambodgiens, depuis 3 mois. Mais derrière ce litige vieux de 10 siècles, se cache un autre enjeu, qui se résume en un mot : le pouvoir. Les royalistes thaïlandais profitent de la situation pour tenter de renverser le gouvernement avant les élections, prévues en juillet. Accuser les autorités de brader la souveraineté de leur pays, c’est donner au roi la légitimité de nommer dès maintenant un nouveau gouvernement sans passer par les urnes. QUAND LES CHEMISES JAUNES VOIENT ROUGES, c’est un sujet de Carol ISOUX.

Et comme toujours, le planétarium et l’avant-poste présentés par Matthieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc.

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Au sommaire de l’Effet Papillon du 23 avril

Un militant pacifiste assassiné par des proches d’Al Quaïda, ça fait du buzz… Les salafistes ont gagné : leur crime a fait le tour de la planète. Avec l’objectif affiché de saper l’autorité du Hamas. Il faut dire que les islamistes, accusés d’être trop mous vis à vis d’Israël, ont de plus en plus de mal à contenir les factions les plus extrêmes. Il y a quelques mois, Papillon s’était rendu dans la bande de Gaza… et avait suivi ces barbus qui se transforment en shérif ! HAMAS, POLICE D’ETAT, c’est un sujet de Hugo Van OFFEL.

Le sujet qui va suivre est d’une rare violence, une violence que subissent chaque jour les femmes au Guatemala. Selon les chiffres officiels, près de 685 femmes y ont été assassinées en 2010. Dans ce pays d’Amérique centrale, les femmes sont des cibles de prédilection. Victimes de violences conjugales ou de règlement de compte entre gangs, les femmes sont des quantités négligeables. 36 ans de guerre civile, ça laisse des traces, surtout en matière d’impunité. FEMMES, JE VOUS HAIS , c’est un sujet de Thierry PASQUET. Et il est recommandé d’éloigner vos enfants!…

D’ailleurs, le « fémicide » guatémaltais a fait une victime française: Florence Denèfle, enseignante au lycée français de Guatemala city. Il y a maintenat un an, elle a été enlevée et assassinée. Un meurtre, qui comme souvent au Guatemala, reste impuni. Sa famille et des associations se battent pour retrouver le coupable et ont créé un site pour honorer sa mémoire

Une femme de 72 ans brûlée vive au kérosène, c’est hélas presque un fait-divers ordinaire au Ghana. Dans ce pays émergent, la chasse aux sorcières est courante, mais cette fois, l’opinion public a réagit ! Car ici, toute femme suspectée de sorcellerie est tuée, lynchée ou bannie à vie. Des milliers de sorcières présumées sont ainsi obligées de se retrancher dans des camps, loin de leurs familles et des persécutions. MA SORCIERE MAL AIMEE, c’est un sujet de Stéphane VILLENEUVE.

Et comme toujours, le planétarium et l’avant-poste présentés par Matthieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc

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Au sommaire de l’Effet Papillon du 16 avril 2011

Le président CALDERON avait fait de la lutte contre les trafiquants, une priorité nationale. 4 ans après, le Mexique est un gigantesque cimetière.La guerre de territoire entre cartels rivaux a fait de ce pays l’un des fronts les plus meurtriers de la planète.

Les 50.000 militaires déployés, pour appuyer la police, sont complètement dépassés, – 116 morts le mois dernier rien. A Torréon, point de passage stratégique de la drogue vers les Etats-Unis, les flics municipaux trop corrompus ont été remplacés à 90%. Aujourd’hui, ils ont à leur tête, un ancien militaire à poigne, qui a la réputation d’être aussi dangereux que ceux qu’il combat. NETTOYAGE AZTEQUE, c’est un sujet de Stéphane VILLENEUVE.

Accuser des journalistes d’appartenir à un réseau terroriste qu’ils n’ont eu de cesse de dénoncer ? C’est acrobatique, et pourtant c’est ce qu’a fait le gouvernement turc qui a jeté en prison deux cadors de l’investigation, réputés pour leur sérieux ! Et c’est justement ça le problème. Les 2 inculpés enquêtaient sur des sujets sensibles… Et en Turquie, mieux vaut s’abstenir de s’attaquer au pouvoir, faute de quoi, c’est la taule. 61 journalistes sont actuellement sous les verrous, 4000 autres sont poursuivis. DEFENSE DE CRITIQUER, c’est un sujet de Olivier Ponthus.

En Chine, on rase quasiment gratis ! En ce moment, les paysans sont le gibier favori des autorités qui les expulsent pour récupérer leurs terres. Expansion économique oblige, Pékin bétonne à tout va, et indemnise au plus bas. Sans se soucier des résidents, et son cortège de drames humains. Des drames qu’un internaute a répertoriés sur Google Map, et sobrement intitulés «la carte du sang ». BOUGE DE LA, c’est un sujet de Aviva FRIED et Christèle JAIME. Et ce n’est pas pour tout public !

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Au sommaire de l’Effet Papillon du 9 avril 2011

Pompier, garde du corps, ceinture noir de karaté : Boïko BORISSOV, le premier ministre bulgare, est un homme entraîné à se sortir de toutes les situations. Ou presque. Mais il va devoir faire preuve de beaucoup d’imagination pour se tirer du bourbier dans lequel il s’est mis. Très friand d’écoutes illégales, le chef du gouvernement a été pris à son propre jeu. Et aussi, en flagrant délit de corruption. Ce qui fait un peu désordre quand on a fait, de la lutte contre le crime organisé, son cheval de bataille. Et l’affaire ne s’arrête pas là : elle est digne d’un polar à la sauce bulgare. PREMIER MINISTRE, PREMIER SERVI, c’est un sujet de Hugo VAN OFFEL.

L’ONU l’avait classé, il y a 4 ans, en tête des pays où l’on vit le mieux ! L’Islande et ses 330.000 habitants sont aujourd’hui sous perfusion du FMI… et doivent 3,5 milliards d’euros au Pays-Bas et à la Grande-Bretagne, après le krach de 2008. Surendettés, les islandais doivent dire aujourd’hui s’ils sont prêts ou non à débourser environ 100 euros par mois pendant 8 ans pour rembourser cette somme. Il y a 1 an, le pays avait répondu non à 93%, mais aujourd’hui, la donne a changé… et les sondages donnent le oui gagnant. TRAVAILLER PLUS POUR GAGNER MOINS, c’est un sujet de Bruno GEX.

Des films à la gloire des martyrs palestiniens, c’est la nouvelle arme du Hamas. L’Organisation islamiste investit maintenant dans le cinéma de propagande, pour encenser la lutte armée, et diffuser ses idées. Gaza n’est plus seulement le bastion de la résistance, mais un décor de film pour cinéastes encartés. Les autres réalisateurs ont le droit de la fermer, le Hamas de toute façon les censure systématiquement. A Gaza, seule la production 100% islamiquement correcte et idéologiquement orientée a droit de cité. GAZAWOOD, c’est un sujet de Caroline du SAINT.

Et comme toujours, le planétarium et l’avant-poste présentés par Matthieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc.

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Au sommaire de l’émission 1€70, vendredi 29/04 à 20h40 sur Planète

Victor Robert est à Madrid pour nous faire découvrir grâce à son ticket de métro, 4 communautés. Elles ont choisi la capitale espagnole pour prendre un nouveau départ. En route, c’est pas tout près Madrid surtout en métro!

« Une vie hypothéquée » un sujet de Mickael Beurdouche
En Espagne, des dizaine de milliers d’équatoriens sont victimes des hypothèques dites poubelles. Des prêts immobiliers accordés à des conditions de remboursement honteuses. C’est le cas de Kléber arrivé en Espagne en 2000. Comme tout les équatoriens, il a fui la dollarisation de la monnaie de son pays au début des années 2000 et une imprtante perte de pouvoir d’achat. Pendant des années, il a profité du rêve espagnol et de sa folle croissance s’offrant comme de nombreux compatriotes un appartement.

Aujourd’hui la crise le frappe de plein fouet. Depuis 2 ans, il est au chômage, et travaille « au black » pour survivre. Il ne peut plus payer son hypothèque, et s’attend du jour au lendemain a être expulsé. Pire, une loi espagnole, l’oblige a payer la totalité de son bien même si celui ci est saisi : c’est la double peine.

Du coup la communauté s’organise. Aida une compatriote équatorienne indigène milite contre les banques avec son association, la CONADEE. Cette indienne fait figure de Don Quichotte contre les moulins espagnols et les arnaques bancaires.

« J’y suis, j’y reste » un sujet de Pierrick Morel
Avec plus d’un million de représentants, les Roumains forment aujourd’hui la plus importante diaspora d’Espagne.
Arrivés en plein boom économique à la fin des années 90 pour travailler sur les chantiers, ils font aujourd’hui les frais de la crise immobilière… Beaucoup ont pensé rentrer au pays, mais la précarité en Espagne n’a rien à voir avec celle qui sévit en Roumanie. Alors les Roumains de Madrid s’accrochent, d’autant qu’ils se sentent globalement appréciés par les espagnols.

Réputés bons travailleurs, certains tirent encore leur épingle du jeu. C’est le cas de Ioan; jeune entrepreneur de 30 ans. Sa société de ravalement de façades fait toujours affaire. Look djeun’s et BMW, il parcourt les chantiers « pas peu fier » de fournir du travail aux membres de sa communauté. Ioan est également avant centre de l’équipe de football de la « casa roumania » (la maison de roumains), une association communautaire où l’on transmet la culture roumaine aux bambins nés en Espagne.

Face à Ioan, Cezar 51 ans, fait figure de vieux sage. Cet ancien fonctionnaire de l’ère Ceaucescu est surtout venu ici par idéal démocratique. Aujourd’hui il vivote en travaillant sur les chantiers. Mais sa raison de vivre, c’est sa petite association. Dans la commune de Coslada en banlieue de Madrid, il exhorte ses compatriotes a s’ouvrir à la vie sociale espagnole.

« Bienvenue dans l’Iber espace », un sujet de Pierrick Morel
Pour un Sénégalais, traverser la Méditerranée et mettre un pied en Espagne, c’est débarquer sur une autre planète. Mamadou Kaly Sow en sait quelque chose. Cet éducateur joue les grands frères pour une ONG qui oeuvre à l’insertion des mineurs sénégalais à Madrid. Tous ont été traumatisés par leur traversée de la Méditerranée sur des embarcations de fortunes. Mamadou est un pilier de sa communauté. Il la retrouve une fois par an massée dans une maison de banlieue pour célébrer le Grand Magal, la plus importante fête musulmane sénégalaise. Il connait également le quartier Lavapiès comme sa poche où se retrouvent quotidiennement les Sénégalais de la ville.

Très peu qualifiés dans un pays en crise, certains misent sur leur fibre artistique pour gagner leur vie. C’est le cas de BAS, peintre inclassable inspiré par le foisonnement culturel madrilène.

« J’ai la guitare qui me démange », un sujet de Mickael Beurdouche
Un proverbe Gitan dit « Tu sais différencier un Gitan d’un Andalou ? Moi pas… ». Depuis plus de 500 ans, les gitans vivent en Espagne, c’est LE pays d’Europe où il sont le mieux intégrés. Cela est certainement dû au flamenco, cette musique gitane que les espagnols adorent et reconnue au « patrimoine de l’Humanité » par l’Unesco en novembre dernier.

Les Gitans en sont très fiers. Particulièrement Diego, un Cantador, un chanteur de Flamenco.

Dans sa famille le Flamenco se transmet de père en fils. Chez lui où dans les Tablao, des petits bars madrilènes, il n’hésite pas à pousser la chansonnette.
Mais intégration ne veut pas dire assimilation. Les Gitans restent en marge des hautes sphères de la société espagnole. C’était le cas de Pilar avant qu’elle ne devienne la première gitane membre d’un gouvernement. Aujourd’hui elle a mis sa vie politique entre parenthèses et se bat au quotidien avec son association et dans sa famille pour enfoncer les dernières portes clauses.

Interview de Jorge Verstrynge qui nous donnera une analyse, la sienne en l’occurrence, de la vie bien compliquée des immigrés d’Espagne et de leur futur incertain pour ne pas dire sombre.

Au sommaire de l’Effet Papillon du 2 avril 2011

Plus de doute possible : la CIA travaille en douce au Pakistan. L’affaire de l’agent DAVIS, qui a empoisonné les relations entre Washington et Islamabad, en est la preuve, une preuve dont ce serait bien passé les États-Unis, avant de reconnaître les faits, du bout des lèvres… Il faut dire que leur honorable correspondant à fait fort à Lahore : 1 flingue, 3 morts, des familles qui crient vengeance, et une immunité très chèrement payée. De quoi catalyser la haine des pakistanais. LE PRIX DU SANG, c’est un sujet de JULIEN FOUCHET.

6 milliards de dollars par an, c’est ce que rapporte aux cartels mexicains l’enlèvement de clandestins centraméricains, en transit au Mexique. Autant dire que la traversée du sud-est mexicain est aussi lucrative pour les narcotrafiquants que périlleuse pour les migrants, depuis qu’ils sont devenus un gibier recherché. Un gibier que le Mexique a finalement décidé de protéger, après un massacre de sans-papiers, particulièrement odieux. ASSISTANCE A PERSONNES EN DANGER, c’est un sujet de Cyprien D’HAESE.

Si le sida diminue en Afrique, stagne en Europe, il explose en Russie. Les autorités ont beau minimiser, et affirmer que le virus ne frappe qu’une frange très marginale de la population, sous-entendu les toxicos, les chiffres sont là ! 1 million de personnes seraient aujourd’hui séropositives, et la pandémie se propage, faute de politique sanitaire adaptée. Les autorités préfèrent promouvoir la fidélité que le préservatif, c’est dire si le sujet est tabou. Les malades, eux, sont traités comme des parias et réduits au système D. SILENCE, ON MEURT, c’est un sujet de NICOLAS TONEV.

Et comme toujours, le planétarium, l’avant-poste et le bonus présentés par Mathieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc.

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Au sommaire de l’Effet Papillon du 26 mars

En Albanie, si vous chercher un job, il faut payer, obtenir un document officiel ? Repayer ! Valider un diplôme ? Oui, mais seulement si vous passez à la caisse. Dans ce pays aux portes de l’Europe, tout se monnaie, y compris au plus haut sommet de l’état. La vidéo en caméra cachée du vice-premier ministre, pris la main dans le sac, a choqué le pays et jeté le peuple dans la rue. Bilan : 4 manifestants tués, et un régime qui se maintient. KLEPTOCRATIE, c’est un sujet de Cyprien D’HAESE.

La Russie serait-elle entrain de se gangstériser ? Certaines régions ont carrément basculé dans l’horreur, victimes de règlements de compte entre pouvoir et parrains locaux. On ne compte plus les faits-divers mafieux qui ensanglantent le pays, et font pencher les russes du côté obscur de la force. Le dernier en date est particulièrement gore. BONS BAISERS DE RUSSIE, c’est un sujet de Nicolas TONEV.

Des p’tits trous, des p’tits trous, toujours des p’tits trous en Colombie. Et pour cause. Tout le monde cherche de l’or, et le pays en regorge. Depuis que les cours du métal précieux flambent, c’est la ruée. Enfants, paysans et milices privées grattent la terre et exploitent des mines sans permis, surtout dans la région de Medellin où l’or rend encore plus addict que la coke.            LE NOUVEAU FAR WEST, c’est un sujet de Raphaël Tresanini et Mathieu MOURAUD

Et comme toujours, le planétarium, l’avant-poste et le bonus présentés par Mathieu Droin, David Castello-Lopes et Gregory Leduc.

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