« Hugues de la Plaza : L’impossible suicide d’un français au Etats-Unis », le 30/09 à 20h45 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

San Francisco, dans la nuit du 2 au 3 juin 2007, Hugues de la Plaza, un jeune Français exilé en Californie est retrouvé mort chez lui : trois blessures à l’arme blanche lui ont été fatales.

Si les causes du décès ne font aucun doute, les conclusions de la police américaine sont plus que surprenantes : les enquêteurs concluent à… un suicide ! Invraisemblable pour les proches et les parents de Hugues qui face à de nombreuses incohérences comprennent petit à petit qu’il s’agit bien d’un meurtre… Ils vont alors décider de mener leur propre contre-enquête.

Que s’est-il vraiment passé cette nuit-là ? Qui pouvait en vouloir à ce jeune homme a priori apprécié de tous ? Et pourquoi les policiers américains ont-ils bâclé leur enquête ?

Un film de Benjamin Audibert et Mickaël Royer produit par Studio CAPA.
Diffusion le mercredi 30/09 à 20h45 sur W9 dans « Enquêtes Criminelles » animé par Nathalie Renoux.

« 21 jours… à l’école », un sujet incarné par Alexandra Alévêque pour Infrarouge, le 08/09 à 22h50 sur France 2

En tant qu’adultes, parents ou non, nous avons le souvenir de nos instituteurs, terme désuet désormais disparu et pourtant, la fonction est bel et bien la même. Les profs ont un rôle primordial dans notre société : l’éducation des générations à venir.

Il y a en France plus de 6,7 millions d’écoliers. La collection 21 Jours s’est demandée qui sont les professeurs des écoles en 2015.

La base de l’enseignement en CP passe par l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du calcul. Mais apprend-on aujourd’hui comme il y a 20 ou 30 ans ? Que se passe t-il réellement dans une salle de classe, quand les parents restent cantonnés au portail et que la porte se ferme, quand le professeur se retrouve seul devant 20 à 30 enfants ?

Pour 21 Jours et France 2, Alexandra Alévêque a secondé Annabelle, une professeur des écoles au Mans, auprès d’une classe de 20 élèves de CP. Pendant 21 jours, elle a observé, elle a enseigné et la tâche est rude, elle a fait réciter des poésies, a inculqué les notions de double et moitié à des enfants de 6 ans dubitatifs face à cette maîtresse peu expérimentée.

Elle a soigné les bobos dans la cour de récréation, est allée découvrir les animaux de la ferme avec les enfants, mais surtout, elle a mesuré la difficulté d’être prof. Que faire des programmes officiels, en permanence remaniés, comment enseigner à des élèves réunis dans la même classe mais avec des niveaux radicalement différents ?

Comment apprend-on à apprendre ? Pour le savoir, Alexandra Alévêque s’est rendu dans un ESPE (Ecole Supérieure du professorat et de l’Education), organisme remplaçant les anciens IUFM.

Durant ces 21 jours, Alexandra a partagé le quotidien de l’école Michel-Ange du Mans, un établissement du sud de la ville, regroupant 176 élèves de primaire.

Elle a principalement travaillé avec Annabelle, 35 ans, professeur de CP, une instit à poigne et éperdument éprise de son travail. Alexandra a appris auprès d’elle l’autorité, un passage obligé face à 20 enfants, mais elle a aussi découvert la patience et la pédagogie, nécessaires pour un bon apprentissage.

Durant son séjour au Mans, elle a également partagé les expériences d’Amélie, la jeune directrice de l’école, ainsi que de tous les autres profs de l’école. Entre coups de gueule et amour des enfants, les enseignants se sont ouverts à elle, devenant des humains à part entière et plus des fonctionnaires anonymes.

Et bien sûr, Alexandra Alévêque a observé les enfants, elle a souvent souri auprès de Mehdi, Lina, Grace, Neslie, Mattew, Nawel, Lou Ann et tous les autres.

Une série documentaire incarnée par Alexandra Alévêque | Réalisée par Stéphane Jacques | Produit par Guylaine Loquet | Une production CAPA Presse | Avec la participation de France Télévisions | Unité de programmes documentaires : Fabrice Puchault, Barbara Hurel et Anne Roucan

​La case Infrarouge invite les téléspectateurs à réagir et commenter les documentaires en direct sur Twitter via le hashtag #infrarouge

« Passeport pour le crime à Buenos Aires » avec Benjamin Castaldi, le 30/08 à 20h45 sur 13ème Rue

Ici, on dit que les Mexicains descendent des Aztèques, les Péruviens des Incas et les Argentins… des bateaux. Voici Buenos Aires, la plus européenne des capitales d’Amérique du sud où vivent 13 millions d’habitants –le tiers de la population du pays- .

Avec l’un des taux de criminalité les plus faibles du continent, Buenos Aires a longtemps fait pâlir d’envie Medellin, Mexico, Caracas… toutes ravagées par la violence. Mais depuis quelques années, la ville rattrape son retard et sombre inexorablement : la délinquance urbaine explose et désespère les Porteños, les habitants de la capitale.

Au printemps 2014, une vague de lynchages des petits délinquants pris en flagrant délit a gagné tout le pays. Et les autorités, longtemps restées sourdes, ont réagi. Le Gouverneur de la province de Buenos Aires a décrété l’état d’urgence pour un an.

Benjamin Castaldi n’avait jamais mis les pieds à Buenos Aires, mais la ville lui était familière car c’est ici qu’a grandi son père, l’acteur Jean Pierre Castaldi. C’est donc avec une grande émotion que l’animateur retrouve l’adresse où son père s’amusait à défier le vide, en grimpant sur la corniche de son immeuble, sans filet …

Mais très vite, Benjamin va découvrir une ville sous tension, où policiers et magistrats véreux freinent les efforts de réforme et de justice… Où la drogue des pauvres, le Paco, se répand comme la peste. Où les bidonvilles grandissent à vue d’œil, dans la périphérie, mais aussi au cœur des beaux quartiers… Une ville où l’ombre des narcotrafiquants est palpable. Partout…

Le voyage de Benjamin Castaldi commence dans le club Independiente, l’équipe de foot argentine la plus célèbre après le Boca Junior de Maradona. Ici, plus qu’ailleurs la violence ravage les stades. Les chiffres font froid dans le dos : 45 morts et une centaine de blessés pour les 4 dernières années. Une moyenne de 11 morts par an !

Benjamin Castaldi rencontrera également des citoyens militants qui n’ont plus confiance ni dans leur Etat ni dans leur police. Pour dénoncer le laxisme des autorités, ils ont dressé par eux même la carte des crimes perpétrés dans la capitale. D’autres, pour lutter contre les narcotrafiquants, occupent les pistes d’atterrissage sauvages qui jalonnent le pays.

Le « Padré Pépé », lutte lui aussi, à sa manière, contre la drogue. En multipliant les chapelles et les prêches musclés, il tente de reprendre le territoire occupé par les narcotrafiquants.

Au cours d’une brève escapade dans la pampa, l’immense plaine qui s’étend à l’ouest de Buenos Aires, notre reporter partagera avec un avocat d’affaires les plaisirs du polo et de l’assado (attention , ici, ne parlez jamais de barbecue, l’argentin est susceptible). Au passage, Benjamin découvrira comment la haute bourgeoisie locale doit se protéger. Ici, caméras de surveillance, vigiles et panic room sont de rigueur.

Le voyage prendra fin dans les sous-sols de l’Esma, l’école de mécanique de la Marine que les militaires ont transformé en centre de torture pendant les années de dictature. Une autre violence, d’Etat celle-là, que le pays ne parvient pas à digérer. Un bébé volé, adopté par l’un des bourreaux qui ont assassiné sa mère, reviendra sur cette période sombre de l’Histoire argentine.

Bienvenue à Buenos Aires, avec en poche, un passeport pour le crime.

Un film de 90 minutes réalisé par Thierry Pasquet | Une production CAPA Presse pour 13eme Rue

« 21 jours… à la colo », un sujet incarné par Alexandra Alévêque pour Infrarouge, le 30/06 à 22h40 sur France 2

Qui sont les ados d’aujourd’hui, qui grandissent avec la crise, les réseaux sociaux et les selfies ? Quel regard portent-ils sur eux-mêmes, sur la société où ils vivent, sur le monde des adultes ? Quels sont les rêves et les tourments de cet âge qu’on dit « bête », souvent sans le connaître ?

Comment fonctionnent les gamins en collectivité ? Quelle est l’ambiance, l’atmosphère, dans une colonie de vacances aujourd’hui ? Comment bien s’occuper d’eux quand on n’est jamais parti en colonie de vacances et qu’on est animatrice pour la première fois de sa vie ?

Pour 21 Jours et France 2, Alexandra Alévêque a choisi de se faire embaucher comme animatrice d’une colonie de vacances qui accueille à Anglet, au pays Basque, des collégiens des Bouches-du-Rhône. D’ordinaire, son métier de journaliste la porte à s’intéresser au sort des adultes, mais Alexandra souhaitait depuis longtemps se pencher sur ces ados d’aujourd’hui, cette génération de demain auquel la télévision donne rarement la parole.

Pendant 21 jours, elle a vécu dans la peau d’une animatrice, au rythme de la colo. Elle a partagé sa chambre avec Chloé, 25 ans, qui anime des colos depuis qu’elle a 18 ans pour 250 euros la semaine. Elle a été coachée dans ce nouveau métier par Quentin, 33 ans, directeur de la colo et prof de sport dans un collège. Elle a vécu avec ces jeunes animateurs qui font ce job par passion.

Surtout, Alexandra s’est immergée parmi une centaine d’adolescents, tous originaires de Marseille ou des Bouches-du-Rhône, qui ont obtenu ce séjour grâce à leurs résultats scolaires ou leur bon comportement. Avec ces ados, elle s’est faite tour à tour adulte référant, grande sœur, complice, confidente… Et tous lui parlent et se racontent avec une franchise, une candeur, une gravité aussi, aussi étonnantes que rafraîchissantes. Et quand Alexandra leur demande s’ils savent pourquoi nous nous intéressons à eux, ils répondent sans hésiter : « parce qu’on est le futur ! »

« 21 Jours » une série documentaire incarnée par Alexandra Alévêque | Réalisée par Richard Puech | Produit par Guylaine Loquet | Une production CAPA Presse avec la participation de France Télévisions | Unité de programmes documentaires : Fabrice Puchault, Barbara Hurel et Anne Roucan

La case Infrarouge invite les téléspectateurs à réagir et commenter les documentaires en direct sur twitter via le hashtag #infrarouge

« Passeport pour le crime à Naples » avec Ariane Massenet, le 28/06 à 20h45 sur 13ème Rue

C’est la capitale du sud de l’Italie. Une ville au passé glorieux qui a sombré dans la décadence et le crime organisé. Appels d’offres truqués, trafic de drogue, trafic de déchets, contrefaçon… A Naples, la Camorra, la mafia locale, a infiltré tous les rouages de la société. Chaque année, les règlements de compte entre camoristes font des dizaines de morts…

Ariane Massenet va à la rencontre de ceux qui ont déclaré la guerre à la Camorra : procureurs, policiers, journalistes, éducateurs, curés… ils ont le courage de dénoncer les crimes, les malversations, les chantages. Au péril de leur vie.

Nous reviendrons à Scampia, là où a été tourné Gomorra. Dans cette banlieue nord de Naples, la mafia règne en maître : elle distribue l’héroïne et la cocaïne, elle est même le premier employeur d’une jeunesse ravagée par un chômage chronique… Ici, les policiers jouent leur vie au quotidien, comme les éducateurs qui luttent pour dissuader les adolescents de sombrer dans la délinquance.

Dans la plus vieille prison de la ville, Poggioreale, les clans mafieux font la loi, comme à l’extérieur. Nous suivrons le quotidien d’un gardien, un métier à haut risque. L’association Libera, qui organise des manifestations contre la Camorra, nous permettra de rencontrer la veuve d’un maire tombé sous la balle d’un tueur à gage.

Nous découvrirons ces terres agricoles confisquées aux mafieux et redistribuées aux paysans ; nous foulerons les Terres de Feu, ces champs où la mafia a enfoui en secret des tonnes de déchets toxiques. Au mépris de la santé des habitants.

Le Procureur de Naples nous plongera au cœur des affaires. Dans son viseur, l’un des clans les plus dangereux de Naples.

Nous assisterons dans la cathédrale, à la messe en l’honneur de la Vierge. L’occasion, pour le prêtre d’il Duomo, de prêcher courageusement contre le crime organisé. Bienvenue à Naples, avec en poche, un passeport pour le crime.

« Passeport pour le crime à Naples » avec Ariane Massenet, un film réalisé par Denis Einaudi pour 13ème Rue.

Crédits photo : Eric Vandeville © CAPA Pictures

« Immersion immédiate : Benjamin Castaldi en stage de survie commando » réalisé par Thierry Pasquet, le 16/06 à 22h25 sur 13ème Rue

A l’occasion de ce dernier numéro d’Immersion Immédiate, Benjamin Castaldi part en immersion en Guyane. C’est au sein du Centre d’Entraînement en Forêt Équatoriale, qui forme chaque année 1800 soldats et qui s’étend sur 900 hectares que l’animateur se rend afin de suivre un stage d’aguerrissement.

Benjamin Castaldi va ainsi passer cinq jours avec les élèves-officiers de l’École Militaire de Coëtquidan. Au programme : levé à 6h, parcours de type commando et exercices, individuels ou collectifs, extrêmement difficiles en pleine forêt ou encore dans la boue. L’animateur participe même à l’épreuve du brancardage consistant à réaliser un brancard à l’aide d’éléments naturels pour y transporter blessé.

Mais ce qui a le plus marqué notre reporter sont les valeurs humaines telles que la cohésion et la solidarité inculquées aux soldats dès leur entrée au centre. Une expérience extrêmement difficile où les conditions physiques et mentales sont mises à rude épreuve.

(Crédits photos : CMM 3°REI / Cch Vinciguerra)

« Immersion immédiate : Carole Rousseau à l’école de la deuxième chance » réalisé par Lionel Langlade, le 09/06 à 22h25 sur 13ème Rue

Après la Brigade des mineurs de Paris où Carole Rousseau a vécu une expérience bouleversante, l’animatrice part en immersion dans l’un des 18 centres de l’Etablissement Public d’Insertion de la Défense, à Mezieux, à 20km à l’ouest de Lyon. Dans ce centre de réinsertion, où la discipline est quasi-militaire, une deuxième chance est offerte aux jeunes adultes ayant décroché de l’école, en passe de sombrer dans la marginalité.

Unique critère de sélection : la volonté de s’en sortir. Réveil au clairon à 6h, levée des drapeaux au son de la Marseillaise, même uniforme pour tous, extinction des feux à 23h, les jeunes sont exposés à une discipline digne d’une caserne de l’Armée de terre. 6 mois (10 pour certains), c’est le temps qu’ils ont pour apprendre les rudiments de la vie en communauté et trouver un emploi. Au programme : maths, français, entretiens d’embauche, permis de conduire.

Carole Rousseau prend ses quartiers à l’internat et partage le quotidien de ces jeunes venus tenter leur chance. Elle va particulièrement suivre Erikson et Marina, qui, ici depuis 6 mois, se battent pour surmonter leurs difficultés.

Notre reporter va également suivre les enseignants, les encadrants, les psychologues ainsi que le directeur, ancien officier de l’Armée de terre, qui préparent les jeunes à avoir confiance en soi et à se battre pour se faire une place dans la société. Carole Rousseau partage leurs épreuves et moments de joie et va tenter de comprendre les motivations de chacun.

Le mardi 16 juin à 22h30, retrouvez Benjamin Castaldi en stage de survie commando en Guyane pour le dernier numéro d’Immersion Immédiate.

« Immersion immédiate : Benjamin Castaldi avec les chasseurs alpins » réalisé par Guillaume Viart, diffusé le 02/06 à 22h30 sur 13ème Rue

A l’occasion de ce nouveau documentaire, Benjamin Castaldi s’envole pour la haute montagne, au sein d’une troupe d’élite de l’armée française : les chasseurs alpins.

Cette unité de l’Armée de terre compte une vingtaine d’hommes apprenant les rudiments du combat en montagne enneigée et accidentée. Quand on fait la guerre dans les cimes, il faut savoir se déplacer, stationner, tirer avec skis, raquettes ou crampons aux pieds et évoluer dans un univers hostile.

Pendant quelques jours, Benjamin Castaldi participe à un stage tactique avec des sous-officiers chasseurs alpins dans un lieu de résistance où s’est écrite l’Histoire de France : le plateau de Glières, en Haute Savoie.

Avec ces militaires spécialistes du combat en conditions extrêmes, âgés de 18 à 24 ans, l’animateur apprend à se battre sur des skis, à survivre à une avalanche ainsi qu’à reprendre un col à l’ennemi. Il apprend même à fabriquer son propre igloo, et dort au pied du Mont Blanc.

Benjamin Castaldi va aller au bout de ses forces pour cette immersion extrêmement physique qui représente l’un des épisodes les plus difficiles, selon l’animateur. En compagnie des commandos des neiges, l’animateur va vivre une immersion exceptionnelle.

La mardi 9 juin à 22h30, retrouvez Carole Rousseau en immersion à l’école de la deuxième chance.

« Immersion immédiate : Carole Rousseau à la Brigade des Mineurs de Paris » réalisé par Anne Moyat, diffusé le 26/05 à 22h30 sur 13ème Rue

La brigade de protection des mineurs de Paris, c’est le théâtre de l’insoutenable. Ici, c’est à l’enfance qu’on touche, l’ultime tabou…

En leur rendant hommage, le film Polisse en a fait des héros. D’ailleurs une affiche est accrochée au mur de leur salle de repos.

Leur job consiste principalement à déceler le vrai du faux : la chute accidentelle des coups véritables, l’inceste de l’aliénation parentale… Leur quotidien : les bébés secoués, les enfants et les femmes battus, les adolescents harcelés, violés… c’est contre cette violence « ordinaire » que ces flics luttent avec rigueur et obstination.

Pendant une semaine, ils ont accueilli à bras ouverts Carole Rousseau dans leur service, où se succèdent bourreaux et victimes. Carole s’est particulièrement attachée à deux équipes : la première, chargée de la protection de la famille, s’occupe de la violence intra familiale sous toutes ses formes.

Et puis il y a les geeks du 5ème étage : ils passent leur vie devant des écrans, à traquer les pédophiles. Un logiciel leur permet de voir en temps réel sur tout le territoire les téléchargements illégaux effectués par les pédophiles… Et il y en a beaucoup, des milliers, rien qu’en Ile de France. La perquisition à laquelle nous assistons est glaçante. Un vieux garçon ouvre aux policiers. Ses ordinateurs téléchargent à plein régime. En fouillant son domicile, les policiers tombent sur des pièces à convictions accablantes. L’homme dormira au poste.

Au cours de son étrange huis clos à la BPM, Carole va s’intéresser de près aux conditions de travail de ces policiers hors du commun. En passant des journées entières à leur côté, en assistant aux auditions, Carole Rousseau va chercher à comprendre leurs motivations et leurs implications.

Retrouvez Benjamin Castaldi avec les chasseurs alpins mardi 2 juin à 22h30.

« Immersion immédiate : Benjamin Castaldi avec les pompiers de l’extrême » réalisé par Guillaume Viart, diffusé le 19/05 à 22h25 sur 13ème Rue

A l’occasion de ce troisième numéro, Benjamin Castaldi part en immersion chez les pompiers du Groupe d’Intervention en Milieu Périlleux.

Ce sont eux qui entrent en jeu là où les pompiers classiques sont mis en échec. A Paris, ils sont 18. Plus âgés et plus expérimentés que les 8500 sapeurs-pompiers de la capitale, ils sont là pour se frayer un chemin dans les lieux inaccessibles.

Benjamin Castaldi va passer quatre jours et quatre nuits avec eux et suivre leur quotidien. La brigade lui apprend les gestes qui sauvent et les réflexes qui permettent d’aller vite, dans les endroits les plus hostiles.

L’animateur apprend également à faire du rappel et à vaincre ses peurs pour monter au sommet d’une grue de 55 mètres ou encore plonger dans un puit de 36 mètres de profondeur.

Alors que les pompiers du GRIMP interviennent en moyenne tous les trois jours, ils doivent s’entraîner en permanence pour se tenir toujours prêts. Entre deux interventions, ils sont capables, dans la même journée, de gravir la Tour Montparnasse puis de descendre dans les catacombes. Bâtiments à peine sortis de terre, nouveaux ponts, nouvelles grues… Ils traquent sans répit les nouveaux points hauts qui apparaissent dans la capitale.

Ce documentaire alterne séquences d’action à couper le souffle et moments d’émotion. Avec la complicité de Benjamin Castaldi, ces pompiers de l’extrême trouvent les mots pour revenir sur leurs souvenirs les plus émouvants.

Leur parole est rare. Elle n’en a que plus de valeur.

Carole Rousseau nous plongera au cœur du quotidien de la Brigade des Mineurs mardi 26 mai à 22h30.