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« Passeport pour le crime : Rio de Janeiro » avec Patrick Poivre D’Arvor, le 21/03 à 22h15 sur 13ème Rue

Une production CAPA réalisée par Lionel Langlade

C’est la capitale de la samba, du carnaval et des plages… Mais au dos de la carte postale, Rio de Janeiro s’écrit en lettres de sang. Crime, drogue et corruption : Patrick Poivre D’Arvor nous emmène dans les bas-fonds de Rio, et dans ses quartiers chics. Une immersion qui fait couler l’adrénaline, alors que le compte à rebours du Mondial 2014 a commencé.

La star du 20 heures, qui renoue-là avec ses premières amours de grand reporter, suit le travail de la police, et plonge dans le quotidien des favelas. Il accompagne les journalistes de faits divers, partage le quotidien d’un juge protégé 24h/24, et rencontre l’avocate des narcos, une figure du barreau aussi glamour que sulfureuse.

Figure emblématique de la télévision française, Patrick Poivre D’Arvor a présenté le journal de 20h pendant près de 30 ans et totalisé près de 10 000 journaux télévisés. Outre sa présence prochaine sur 13ème Rue, il est actuellement sur LCP dans « Place aux idées » et sur France 5 dans « Une maison, un artiste ».

« Passeport pour le crime : Abidjan », un film de Lionel Langlade avec Christophe Hondelatte, le 27/09 à 22h15 sur 13ème Rue

On l’appelait la perle de l’Afrique. C’était une capitale florissante, avec ses gratte-ciels, sa bourgeoisie d’affaires et ses quartiers colorés. Abidjan : 7 millions d’habitants, et une richesse que le monde entier s’arrache : le cacao. Une guerre civile et quelques milliers de morts plus tard, Abidjan n’est que l’ombre d’elle même. Une mégapole rongée par la corruption et gangrénée par la violence…

Christophe Hondelatte a repris son Passeport pour le Crime, et c’est en Côte d’Ivoire qu’il débarque cette fois. Parce que l’Afrique de l’Ouest est sur les routes de la drogue, entre la Colombie et l’Europe, la drogue circule en grandes quantités à Abidjan. Christophe Hondelatte est avec les stups sur plusieurs grosses opérations de repérage et destruction de fumoirs clandestins.

Mais la police n’a pas toujours les moyens d’agir : Christophe Hondelatte constate que les enquêtes se perdent dans les sables, faute de carburant pour les voitures… Il est avec les journalistes de faits divers de Soir Info, le grand quotidien d’Abidjan. Avec eux, ils suit les faits divers qui émaillent l’actualité : le corps d’un bébé est retrouvé dans un sac de riz, sur un terrain vague : meurtre maniaque, ou drame de la jalousie, entre épouse régulière et maitresse attitrée ?

Christophe Hondelatte se rend en prison, et constate la promiscuité extrême qui règne entre les murs. Il est reçu avec tous les honneurs par le Commandant Wattao, ex-seigneur de guerre réintégré dans la police. Un colosse à la réputation sulfureuse : l’homme roule en Ferrari et ne se sépare jamais de son pistolet plaqué or.

Difficile d’être une femme, quand les anciens combattants désœuvrés sont tentés de faire parler les armes. La prostitution s’étale partout et Christophe Hondelatte prend la mesure des violences sexuelles qui frappent la société ivoirienne. À l’école par exemple, les viols sont monnaie courante, même au collège. Difficile de briser la loi du silence, et pourtant, chose rare, Christophe Hondelatte assistera à l’arrestation et au procès d’un directeur d’école violeur.

Abidjan est aussi la capitale des brouteurs : ces escrocs d’Internet qui rivalisent d’astuce pour soutirer de l’argent à distance. Leurs victimes sont souvent françaises, et Christophe Hondelatte suit le travail des policiers chargés de la cyber-criminalité. Il parvient aussi à rencontrer ces criminels du clavier, qui sont réputés dans toute la ville pour souvent claquer en une seule soirée le fruit de leurs arnaques.

Le sang coule , le long de la lagune, et les ivoiriens ont une spécialité, qui résiste aux criminologues : les meurtres rituels. La magie noire fait des ravages, et Christophe Hondelatte en est le témoin. Il y a cet enfant, éviscéré par son assassin, qui pour éloigner le mauvais œil a aussi bu son sang. Il y a aussi les sorciers gendarmes, qui font la chasse aux brebis galeuses dans leurs rangs et combattent les mauvais sorciers…

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Buñuel en Amérique Centrale », le 15/07 à 13h05 sur CANAL+

« Les Nouveaux Explorateurs : Diego Bunuel en Amérique Centrale » (rediffusion du 27/01/2013)

C’est une région du monde ravagée par les gangs, les narcotrafiquants et bien sûr la violence. Enclavés entre la Colombie (au sud) et le Mexique (au nord), les sept pays d’Amérique Centrale caracolent régulièrement en tête du classement des pays les plus violents, et qui ne sont pourtant pas en guerre. En six pays (nous excluons le Bélize) et six sujets, Diego propose une immersion dans ce no man’s land bordé par la mer des Caraïbes et les cocotiers.

C’est au Panama que Diego débute son voyage. Le pays est la porte d’entrée de toute cargaison de drogue qui tente de faire son chemin vers le Mexique, puis les États-Unis. Autant dire que les brigades anti-drogue Panaméennes ont du pain sur la planche… et la pression ! Ainsi, en cas de saisie de drogue et pour être sûr que rien ne filtre, les autorités brûlent la totalité de la prise, sur place. Diego suit l’une des ces brigades et assiste à cette pratique… inattendue.

Diego s’envole ensuite pour le Salvador où la pauvreté et le narco trafique ont fait le lit de la guerre des gangs, les maras, qui mine le pays depuis la fin de la guerre civile, soit le début des années 90. Les photos de ces mareros tatoués des pieds à la tête ont fait le tour du monde et plus personne n’ignore les noms de MS13 ou de Mara18, les deux principaux gangs, qui ont annoncé une trêve il y a quelques mois. Diego se rend dans le Barrio 18 à la rencontre d’un père pas très catholique qui fréquente les gangsters. Mais pour la bonne cause : le Padre Rodriguez-Lopez aide les mareros en effaçant leurs tatouages, étape préliminaire à toute réintégration de la vie sociale.

Direction le Honduras, pays le plus violent de la région et 4ème pays le plus inégalitaire au monde. Les Maras y recrutent des passeurs de drogue dès l’âge de 6 ans et au collège 10% des élèves sont déjà membres actifs d’un gang alors que près de la moitié seraient en sympathie avec l’un d’eux… Les autorités essaient de prendre le problème à la source en envoyant des policiers faire le tour des écoles primaires afin de tenter de convaincre les petits Honduriens de rester dans le droit chemin.

Au Guatemala aussi la mort fait partie du quotidien, surtout si l’on est une femme. On n’hésite pas à parler de Fémicide dans ce pays qui a vu mourir 5000 à 6000 femmes de mort violente depuis 2000, pour la simple raison qu’elles sont des femmes.

La mort est donc devenu un business comme un autre, et les croques-morts se font la guerre, à qui arrivera le premier sur le lieu du crime pour récupérer le cadavre. C’est au côté de l’un de ces caraqueros que Diego découvrira les astuces du métier.

Le Nicaragua est le plus grand pays d’Amérique Centrale et la 5ème destination de Diego. Ravagé par la pauvreté qui ôte tout espoir à une jeunesse massive (plus de la moitié de la population a moins de 18 ans), le Nicaragua a trouvé un allié inattendu en… l’Iran. Contre quelques hôpitaux et autres infrastructures, le Nicaragua offre son soutien diplomatique et logistique au dictateur Ahmadinejad. Dernière coopération en date : l’Iran vient d’installer une base d’entraînement au nord du pays, utilisée par le Hezbollah pour entrainer ses hommes. Le Président du Costa Rica s’est même publiquement récemment inquiété de l’influence grandissante de l’Iran chez son voisin.C’est justement au Costa Rica que Diego achève son voyage au bout de l’enfer. Un havre de paix pour finir sur une touche positive. Le pays est de loin le plus épargné par la violence de la région, et pourtant il ne dispose plus d’armée depuis 1948.

« Passeport pour le crime : Manille », un documentaire de Richard Puech avec Patrick Cohen le 20/03 à 20h45 sur 13ème Rue

C’est une mégapole de 12 millions d’habitants, peut-être 15, personne ne sait vraiment. La capitale pétaradante et anarchique des Philippines, au fond de l’océan Pacifique, une ville étouffée par la moiteur tropicale, une pollution suffocante et gangrenée par la pauvreté. Pour les touristes, Manille est une escale, une simple plate-forme vers les plages de rêve de l’archipel des Philippines au 7107 îles. Pour les journalistes, c’est une destination sulfureuse, à la réputation entachée par le crime, la corruption et la prostitution.

Pour l’agence Capa et la chaîne 13ème Rue, le journaliste Patrick Cohen a quitté les studios de radio pour le terrain. Il est allé explorer le côté obscur de Manille, ces quartiers livrés à eux-mêmes où l’argent de la drogue et le bruit des armes font la loi.

Il s’est plongé dans les bidonvilles de Manille, où vivent 40% des habitants. Certains ont poussé sur des tas d’ordures, que les familles recyclent pour quelques pesos. Pour les enfants, pas ou peu d’école. Petits et grands trafics offrent un débouché plus immédiat aux enfants des rues, quand ils échappent aux rafles sauvages de services sociaux débordés.

Patrick Cohen a également suivi dans leur action les brigades anti-drogues. Armes lourdes et méthodes musclées, ces super-flics ne lésinent pas sur les moyens dans leur lutte contre le shabu, la drogue de synthèse à la mode.

Mais toute la police n’est pas unie contre la criminalité. La corruption, comme à tous les étages de la société, y fait aussi des ravages. Comment expliquer sinon l’impunité des puissants ou la prospérité des bordels de Manille ? La prostitution, omniprésente et à peine déguisée, est théoriquement illégale aux Philippines…

Des enfants des rues aux millionnaires ultra-protégés, Patrick Cohen navigue dans toutes les couches de la société. Il est avec les businessmen chinois, qui craignent le kidnapping, une industrie du crime qui rapporte gros. Il suit dans leurs combats ces journalistes et avocats qui se dressent contre la corruption, au péril de leur vie.

Violente, colorée, chaotique et pourtant souriante : Manille a mille facettes. Pour Patrick Cohen, c’est à la fois un dépaysement humain et un défi journalistique. Pour comprendre en profondeur cette capitale lointaine et fascinante, la voix des matinales de France Inter a un atout : son passeport pour le crime.

Au sommaire de L’Effet Papillon du 01/12 à 13h40 sur CANAL +

DEMAIN NE MEURT JAMAIS, un sujet de Caroline Du Saint avec Mathieu Horstmann

C’est un peu comme dans les films les vrais méchants ne meurent jamais… C’est ce qui arrive au légendaire trafiquant de drogue Pablo Escobar, l’homme aux 1000 assassinats… Vingt ans après sa mort, il est à nouveau le héros de millions de colombiens dans une sérié télé qui retrace sa vie mouvementée… Destinée à montrer le côté obscur de la force du baron de la coke, la série divise le pays sur celui qui construisit aussi des quartiers z’entiers pour les plus pauvres.

LE CABLE DE SUEZ, un sujet de Hugo Van Offel

Salafistes, chasseurs de vices et promoteurs de la vertu… C’est ainsi qu’ils se définissent et ils viennent d’illustrer leur méthode à Suez la ville d’Egypte où ils se sentent désormais chez eux… Mécontents du comportement d’un jeune étudiant et de sa petite amie, ils l’ont assassiné dans la rue à coups de cuteur… Depuis le fait divers a fait le tour d’un pays déjà divisé et qui, pour les observateurs et les musulmans modérés, se radicalise dangereusement.

UN VERRE ÇA VA ! TROIS VERRES BONJOUR LES TRÉPAS, un sujet de Cyprien d’Haese

C’est un cocktail qui tue… au sens propre du terme : un mélange de méthanol et d’éthanol présenté sous forme de vodka ou de rhum… Résultat en Tchéquie dans une gueule de bois générale, 25 personnes sont mortes victimes de cet alcool frelaté… Et pas de bol les Tchèques sont parmi les premiers consommateurs d’alcool au monde, les français sont aussi dans le tiercé de tête rassurez vous.

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

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Au sommaire de L’Effet Papillon du 20/10 à 13h40 sur CANAL +

LES MALADIES IMAGINAIRES de Thomas Zribi

Il y a des dates comme ça qui nous rappelle que certains combats sont loin d’être terminés. Exemple : cela fait seulement 20 ans que l’homosexualité n’est plus officiellement reconnue comme maladie mentale. Pourtant dans certains pays on tente toujours de « guérir » les homos, comme aux Etats-Unis. Et bien la bonne nouvelle des derniers jours, c’est que la Californie est devenue le premier Etat américain à interdire les « thérapies de rééducation ou de conversion » des mineurs homosexuels dont les seuls résultats réels ont été de pousser des ados au suicide…

ILS SONT FOUS CES AFGHANS  de Laurent Hamida

Dès que vous mettez un pied en Afghanistan, un pays qui est en guerre depuis plus de trente ans, vous comprenez vite que la solution ne viendra pas de l’extérieur mais de l’intérieur. Ca tombe bien depuis quelques semaines, face à l’impuissance, il faut bien le dire, des armées occidentales qui en plus font leurs valises, des villageois afghans ont ouvert la chasse aux talibans.

MA FAVELA VA PAS CRACKER  de Hugo Van Offel

Il y a quelques jours, 800 policiers et 13 blindés ont fait leurs entrées dans deux des favelas les plus violentes de Rio, et oui il faut que ça brille pour la coupe du monde de foot 2014 et les JO 2016. Mais les trafiquants de drogue qui contrôlent ces territoires n’ont pas attendu la cavalerie pour faire le ménage:  trop de drogue tue la drogue, notamment le crack qui rend les gens dingues et dont le Brésil détient désormais le triste record mondial de consommation.

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

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Au sommaire de « l’Eté Papillon » le 8 août, à 20h15 sur CANAL +

SEA CRACK AND SUN Charlotte LASSALE ET JULIE MIYUKI DROZ

Rediffusion du 06/05/2012

Les revoilà ! 30 ans après Pablo Escobar, les narcotrafiquants font de nouveau main basse sur les Caraïbes, nouvelle plaque tournante de la drogue, avec vue imprenable sur le marché américain. Résultat : sur les îles, le crack fait des ravages et la criminalité explose.

GAZAWOOD de Caroline du SAINT

Rediffusion du 09/04/2011

Des films à la gloire des martyrs palestiniens, c’est la nouvelle arme du Hamas. L’Organisation islamiste investit maintenant dans le cinéma de propagande, pour encenser la lutte armée, et diffuser ses idées. Gaza n’est plus seulement le bastion de la résistance, mais un décor de film pour cinéastes encartés. Les autres réalisateurs ont le droit de la fermer, le Hamas de toute façon les censure systématiquement. A Gaza, seule la production 100% islamiquement correcte et idéologiquement orientée a droit de cité.

Pour la saison estivale, «L’Effet Papillon » se transforme pour devenir « L’Eté papillon » mais propose toujours des enquêtes minutieuses sur des sujets décalés.

Du 16 juillet au 24 août, découvrez et redécouvrez chaque jour à 20h15, 2 sujets parmi les plus fous, les plus étonnants et les plus audacieux que les journalistes de CAPA sont allés dénicher aux quatre coins du monde !

Le site officiel de l’Effet papillon sur CANAL+

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« Douaniers : au coeur de tous les trafics », un documentaire de Stéphane Bentura et Gaël Leiblang (2004), le 06/02 à 20h35 sur France 4

Les trafics de drogue, d’ivoire et les contrefaçons se développent de plus en plus depuis l’abolition des frontières au sein de l’espace Schengen. Ces frontières inexistantes compliquent la tâche des douaniers.

Ils sont aujourd’hui de plus en plus spécialisés pour faire face à de nouveaux trafics comme celui des animaux. De Nice à l’aéroport Charles de Gaulle, première place douanière de France, découvrez les nouvelles méthodes employées et le quotidien de ces professionnels passionnés.

Diffusion le Lundi 06 février à 20h35
« Douaniers : au coeur de tous les trafics »
Documentaire de Stéphane Bentura et Gaël Leiblang (2004) 120’
Production : CAPA

Au sommaire de l’Effet Papillon du 16 avril 2011

Le président CALDERON avait fait de la lutte contre les trafiquants, une priorité nationale. 4 ans après, le Mexique est un gigantesque cimetière.La guerre de territoire entre cartels rivaux a fait de ce pays l’un des fronts les plus meurtriers de la planète.

Les 50.000 militaires déployés, pour appuyer la police, sont complètement dépassés, – 116 morts le mois dernier rien. A Torréon, point de passage stratégique de la drogue vers les Etats-Unis, les flics municipaux trop corrompus ont été remplacés à 90%. Aujourd’hui, ils ont à leur tête, un ancien militaire à poigne, qui a la réputation d’être aussi dangereux que ceux qu’il combat. NETTOYAGE AZTEQUE, c’est un sujet de Stéphane VILLENEUVE.

Accuser des journalistes d’appartenir à un réseau terroriste qu’ils n’ont eu de cesse de dénoncer ? C’est acrobatique, et pourtant c’est ce qu’a fait le gouvernement turc qui a jeté en prison deux cadors de l’investigation, réputés pour leur sérieux ! Et c’est justement ça le problème. Les 2 inculpés enquêtaient sur des sujets sensibles… Et en Turquie, mieux vaut s’abstenir de s’attaquer au pouvoir, faute de quoi, c’est la taule. 61 journalistes sont actuellement sous les verrous, 4000 autres sont poursuivis. DEFENSE DE CRITIQUER, c’est un sujet de Olivier Ponthus.

En Chine, on rase quasiment gratis ! En ce moment, les paysans sont le gibier favori des autorités qui les expulsent pour récupérer leurs terres. Expansion économique oblige, Pékin bétonne à tout va, et indemnise au plus bas. Sans se soucier des résidents, et son cortège de drames humains. Des drames qu’un internaute a répertoriés sur Google Map, et sobrement intitulés «la carte du sang ». BOUGE DE LA, c’est un sujet de Aviva FRIED et Christèle JAIME. Et ce n’est pas pour tout public !

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« Passeport pour le crime, Bangkok », un doc de Sam Caro, présenté par Sarah Lelouch le 26/04 à 20h40 sur 13ème rue

Le 26 avril 2011, à 20h40, Sarah Lelouch sera aux commandes d’une soirée spéciale sur 13ème Rue.

L’animatrice présentera « Passeport pour le crime », consacrée à Bangkok. Sarah Lelouch explore la face sombre de la capitale thaïlandaise. Un film de 90 minutes, réalisé par Sam Caro, sur les faits divers qui font la Une des médias locaux.

Bangkok: ses pagodes, ses canaux… et ses crimes. Derrière la carte postale, la « Venise de l’Asie » est une ville violente. Sarah Lelouch a exploré la face sombre de la capitale thaïlandaise. Loin des circuits touristiques, elle rapporte un film choc, centré sur les faits divers qui là-bas font l’actualité.

De la banale escroquerie à l’assassinat de sang froid, du trafic de drogue à la contrefaçon, Sarah Lelouch s’est intéressée aux faits divers, grands et petits, qui alimentent les médias thaïs. Pour se tenir au plus près de l’action, elle a suivi sur le terrain les reporters spécialisés.

Dans les 90 minutes de cette surprenante immersion, la présentatrice s’aventure dans les quartiers chauds, pousse la porte d’une morgue ou part en filature avec une brigade de bonzes… Autant de séquences qui en disent bien plus long sur la société thaïe qu’un guide touristique classique.

Avec les faits divers, Sarah Lelouch a trouvé son passeport… pour comprendre la Thaïlande.

PASSEPORT POUR LE CRIME – BANGKOK
Un documentaire de 90 minutes présenté par Sarah Lelouch et réalisé par Sam Caro.
CAPA / 13ème Rue