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Au sommaire de L’Effet Papillon du 26/01 à 13h40 sur CANAL +

Coup de sifflet, fin de la récré, c’est un sujet d’Olivier Ponthus

Un pion ça fout des colles, un flic ça fout en taule… C’est pas moi qui le dit c’est une démocrate américaine mais depuis les tueries nombreuses dans les écoles du pays et notamment celle de Newton il y a quelques semaines, la donne a changé et des policiers font leurs apparitions dans les classes et les cours de récré où ces surveillants armés jouent parfois aux cow-boys pour de vrai.

Dans la zonzon du voisin, c’est un sujet de Cyprien d’Haese

Je vous le dis souvent dans cette émission la réalité dépasse la fiction… Là encore une prison louée par un pays en surpopulation carcérale à un autre pays, on le voyait il n’y pas si longtemps dans des films futuristes qui se passait en 2149… Et bien ça y est c’est fait mais pour le moment les prisonniers sont mal barrés !

Mogadiscio année zéro, c’est un reportage exceptionnel et risqué de Caroline du Saint avec Ibar Aibar

Il y a des signes qui ne trompent pas lorsqu’un pays sort de la guerre… En Somalie, dans la capitale Mogadiscio, c’est notamment la réouverture de l’usine Coca-Cola après les années de terreur des Shebab que vous connaissez bien désormais puisque la France chasse également leurs frères au Mali… Mais là, entre deux attentats suicide, la capitale souffle un peu, vous allez voir !

Et comme chaque semaine, retrouvrez les chroniques de l’Effet Papillon : le « chiffroscope », des réponses aux grandes questions de la planète en chiffres et en dessin animé, réalisé par David Castello-Lopes et Léonard Cohen, et le « Planétarium » pour un tour de l’actu internationale, par David Castello-Lopes.

Pour revoir l’émission sur le site CANAL+ : L’EFFET PAPILLON

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« NE DITES PAS A MA MERE … que je suis en SOMALIE », un film de Diego Bunuel, le 3/07 à 15h05 sur CANAL+

Après avoir baroudé au coeur des zones de guerre semées d’embûches et s’être immergé dans les mégapoles mondiales, Diego s’aventure dans cette nouvelle saison de “Ne le dites pas à ma mère” en Somalie

Pirates, Anarchie, extrêmisme islamique, autant de funestes raisons pour la Somalie de faire les gros titres des journaux internationaux. Ce pays africain est en passe de gagner le titre “d’Etat à la dérive”. Il n’existe plus de gouvernement centralisé depuis 1991. La vacance du pouvoir a permis l’implantation de milices Islamistes dans les rues et la piraterie a pris la mer en otage.

Et comme si cela ne suffisait pas, le pays a été accablé par des sécheresses et des famines qui ont engendrées une crise humanitaire sans précédent. Quant à la communauté internationale sa présente est discrete et ses efforts pour ramener l’ordre d’un succès limité.

Dans cet épisode de “Ne le dites pas à ma mère”, Diego fait un retour aux sources en tant que reporter de guerre pour prendre à bras le corps un sujet que très peu de journalistes ont eu l’opportunité ou le désire d’explorer.

Moulé dans son gilet pareballes, Diego se frotte à quelques échanges de tirs fournis et apprend à vivre avec les obstacles infranchissables que les somaliens ont à subir tous les jours. Mais à sa grande surprise, il va également partager, en cours de route. de délicieux moments, rigoler parfois et découvrir quelques trésors cachés.

En compagnie de son guide qui assure également sa sécurité, Diego débute son voyage en rencontrant le General Inda Ade sur la ligne de Front de Mogadishu.

Entre deux balles perdues, Diego apprend que le Général dirige actuellement une milice privée. A l’heure du rendez vous, ils se battent auprès de l’Union Africaine (troupes pro-gouvernementales) et contre la milice islamiste la plus puissante, Al Shabab. Diego prend un cours intensif en accéléré sur la guerre civile qui déchire la Somalie depuis 20 ans, au cours duquel il comprend qu’il s’agit avant tout de sauver sa peau.

Diego visite ensuite le quartier géneral de la plus grosse station de Radio en Somalie et réalise que la guerre se joue à tous les niveaux, et même sur les ondes.

Il fait la connaissance de jeunes et courageuses journalistes dont Sagal Said, qui consacre sa vie à la radio afin de preserver un semblant de liberté d’expression dans le pays. Du fait des menaces de mort, Saggal et ses collègues se doivent de vivre sur leur lieu de travail. Ils ne peuvent pas rentrer chez eux, voir leur famille et Diego comprend alors qu’il ne leur est pas possible non plus d’avoir une vie amoureuse ou de rencontrer leur petit ami. Diego découvrira également un trésor incroyable dans les archives musicales et orales de la radio que les employés s’évertuent à protéger par tous les moyens.

Désireux d’enquêter plus avant sur le problème croissant de la piraterie, Diego rencontre le Colonel Hassan du port de Mogadishu. Le colonel est un ancien de la marine qui se souvient du temps où Mogadishu était réputée pour ses boites de nuits et non ses couvres feux. Rappelé de sa retraite pour reconstruire la marine somalienne, sa flotte n’a pas pris la mer depuis 1991 et ses barques ressemblent plus à des épaves qu’à des bateaux.

Son avant dernier arrêt sera pour la région du Puntland et ne se fera non sans peine au vue de l’état calamiteux de l’avion qui l’y mène. Le Puntland est devenu le quartier général de la piraterie. Il y rencontre le maire de la ville de Bosasso et apprend la façon dont une bande de canailles désordonnées a réussi à mettre à mal la marine marchande internationale. Au cours de sa visite dans la plus grande prison de la région, il rencontre un capitaine et son gang de pirates, emprisonnés à vie, qu’ il ne manquera pas de taquiner et eux de moquer en retour de son intrépidité insousciente.

Il achève son voyage par une visite guidée d’un sanctuaire archéologique néolithique unique, Laas Gaal, au Somaliland, un trésor méconnu que Diego découvrira en compagnie de la très charmante Sada Mire, la seule archéologue de tout le pays.

Rejoignez Diego dans une aventure dense, exaltante et à la fois choquante, une dans une des régions les plus dangereuses au monde. “Ne le dites pas à ma mere que je suis en Somalie” est un documentaire à ne manquer sous aucun prétexte.

Diego Buñuel en quelques mots

Diego Buñuel est grand reporter. Formé au journalisme et aux sciences politiques à l’Université de Chicago, il intègre rapidement la rédaction du Chicago Tribune. Spécialiste du fait divers, il y apprend l’art de raconter des histoires. En 2000, il rentre en France pour effectuer son service militaire à Sarajevo… Une expérience qui l’oriente vers le reportage de guerre. De retour en France, il intègre la rédaction de l’Agence Capa. Aujourd’hui, Diego Buñuel affirme sa position d’auteur avec la série documentaire « Ne dites pas à ma mère… » et présente Les Nouveaux Explorateurs.

Au sommaire de l’émission 1€70, vendredi 25/02 à 20h40 sur Planète

1€70, c’est désormais tout les mois. Première escale dans le Grand Londres. Pour vous, Victor Robert part à la rencontre de quatre communauté qui y vivent ou y survivent. Alors on prend son ticket et c’est parti!

L’exil et le royaume Depuis quelques années la Somalie occupe la première place pas très enviée du pays le plus dangereux au monde alors question : cela fait-il du Somalien un être dangereux ? A Londres, certains voudraient bien le croire et pointent du doigt ces immigrés somaliens que l’on retrouve nombreux dans les gangs les plus violents de la ville… « L’exil et le royaume », c’est un sujet de Mickael Beurdouche

La Jamaïque à portée d’Eurostar Pas besoin de prendre l’avion pour visiter la Jamaïque, commencez par sauter dans l’Eurostar et vous découvrirez l’autre Jamaïque celle du quartier de Brixton à Londres et ses 800000 rasta man… Brixton, c’est un petit pays dans la ville… A chaque coin de rue, on y retrouve toutes les caractéristiques du jamaïcain tel qu’on l’imagine : le rasta, le reggae et cette nonchalance désarmante sur laquelle semble s’écraser tous les soucis de la vie…  » La Jamaïque à portée d’Eurostar  » c’est un sujet de Pierrick Morel

Welcome Pour les immigrés Afghans, Londres ressemble de plus en plus à une terre promise. Pour gagner l’Angleterre, les réfugiés ont dû survivre à la traversée de l’Europe au cul du camion et au racket des passeurs, puis à la traversée de la Manche planqué dans un container puis enfin aux derniers coups de griffes de la police anglaise. Alors, comment vivent et survivent celles et ceux qui ont quitté un pays en guerre depuis plus de 30 ans.  » Welcome  » un sujet de Pierrick Morel

Le tigre qui pleure La fierté celte de l’Irlandais en prend un coup : après la crise qui a fauché le géant de papier de l’Europe financière, les Irlandais quittent à nouveau le pays pour tenter leurs chances chez le voisin anglais, et c’est un sujet de Mickael Beurdouche

Interview Plus de 400 000 français habitent Londres. Quoi de plus normal que depuis deux mois, ils aient leur propre radio : « French Radio London ». Nous irons à la rencontre de Pierre-Yves Dufresne, directeur des programmes.