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Au sommaire de « l’Eté Papillon » le 24 août, à 20h15 sur CANAL +

BIENVENUE EN ENFER, de CYPRIEN D’HAESE

(Rediffusion du 31/10/2009 et 31/07/2011)

On les appelle les hommes en salopette. Protestants orthodoxes, les Mennonites vivent en communauté, loin du monde moderne, de ses progrès et surtout de ses perversions.
Ils n’ont pas l’électricité, roule en calèche, se disent pacifiques, travaillent la terre et le culte du secret. Ils se seraient donc bien passé de toute cette publicité, s’il leur communauté en Bolivie n’avait pas été le théâtre de viols à grande échelle. 60 avérés, mais les enquêteurs estiment à 300 le nombre des victimes.

CATCH ME IF YOU CAN, de Sabrina VAN TASSEL (2008)

(Rediffusion du 25/05/2008)

Des stéroides pour les muscles, de la coke pour le cerveau, ça y est c’est prouvé le catcheur est le sportif qui a la plus petite espérance de vie… Overdoses, suicides, attaques cardiaques, les monstres du catch américain tombent comme des mouches …

Pour la saison estivale, «L’Effet Papillon » se transforme pour devenir « L’Eté papillon » mais propose toujours des enquêtes minutieuses sur des sujets décalés.

Du 16 juillet au 24 août, découvrez et redécouvrez chaque jour à 20h15, 2 sujets parmi les plus fous, les plus étonnants et les plus audacieux que les journalistes de CAPA sont allés dénicher aux quatre coins du monde !

Le site officiel de l’Effet papillon sur CANAL+

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Découvrez les rues de Johannesburg en compagnie de Christophe Hondelatte dans « Passeport pour le crime », à 20h45 sur 13ème Rue

« Passeport pour le crime » vous montre la face cachée de certaines mégapoles qu’on pensait pourtant idylliques. Pour chaque numéro, une personnalité part dans un pays étranger pour percer à jour toute une société à travers ses faits divers et ses crimes.

Découvrez Christophe Hondelatte en immersion dans la mégapole Sud-Africaine pour un 90’ inédit produit par Capa

Christophe Hondelatte a décroché son « Passeport pour le crime »… Rendez-vous le 30/05 à 20h45 sur 13ème Rue

« Passeport pour le crime » vous montre la face cachée de certaines mégapoles qu’on pensait pourtant idylliques. Pour chaque numéro, une personnalité part dans un pays étranger pour percer à jour toute une société à travers ses faits divers et ses crimes.

Découvrez Christophe Hondelatte en immersion dans la mégapole Sud-Africaine pour un 90’ inédit produit par Capa

« PASSEPORT POUR LE CRIME : Johannesburg » avec Christophe Hondelatte, le 30/05 à 20h45 sur 13ème Rue

« Passeport pour le crime » vous montre la face cachée de certaines mégapoles qu’on pensait pourtant idylliques. Pour chaque numéro, une personnalité part dans un pays étranger pour percer à jour toute une société à travers ses faits divers et ses crimes.

Découvrez Christophe Hondelatte en immersion dans la mégapole Sud-Africaine pour un 90’ inédit produit par Capa

Johannesburg est-elle la ville la plus dangereuse au monde ? C’est la question que posait le très sérieux quotidien britannique The Guardian il y a quelques années.

Meurtres, enlèvements, viols, attaques à mains armées : les touristes qui souhaiteraient visiter la capitale économique d’Afrique du Sud font l’objet de nombreuses mises en garde par le Quai d’Orsay…

Dans ce carnet de voyage écrit à la première personne, Christophe Hondelatte, le spécialiste des faits divers, a enlevé son cuir pour nous faire découvrir la ville. Accompagné de journalistes sud-africains spécialistes du crime, Christophe Hondelatte multiplie les expériences fortes : il embarque avec des policiers lancés dans une course poursuite à plus de 200 km/h, participe à un rodéo clandestin avec des voitures volées, visite une prison où les détenus s’entassent à soixante dans chaque cellule ou encore arpente une réserve naturelle menacée par les braconniers…

Mais Johannesburg a aussi ses spécificités : crimes sataniques, viols « correctifs » de lesbiennes, sorciers qui protègent les criminels… Autant de facettes sombres de Johannesburg que nous feront découvrir Christophe Hondelatte et le réalisateur Lionel Langlade, en rencontrant coupables et victimes, criminels repentis, policiers mercenaires et voyous…
Parfois effrayantes, parfois émouvantes mais toujours fortes, ces rencontres nous en disent long sur la société sud-africaine et sur Johannesburg, ville multiculturelle qui ne s’est jamais vraiment remise de l’Apartheid…

« Passeport pour le crime : Johannesburg » – INÉDIT
Mercredi 30 mai à 20h45 sur 13ème RUE

Un documentaire réalisé par Lionel Langlade (2012) – 90’
Avec Christophe Hondelatte

A PROPOS DE … Christophe Hondelatte
Christophe Hondelatte est journaliste, principalement de radio et de télévision. Il naît en 1962 à Bayonne.
Diplômé d’Etudes politiques il débute en 1985 à Radio France, puis France Inter où il présentera le 19h et le 13h. Passé à RTL en 2000, puis à France 2 pour présenter «Les documents du dimanche» et bien sur «Faites entrer l’accusé». Son approche journalistique des grands faits divers criminels de notre époque le définiront pour longtemps dans la catégorie des chroniqueurs judicaires, dans les pas d’un Frédéric Pottecher (et bien que la télévision ne suit pas les procès en direct).

En 2004, alors qu’il a en route plusieurs projets d’émission radio et TV, il succède à Daniel Bilalian à la tête du journal de 13 heures sur France 2, qu’il quitte en 2005. L’année suivante, « Au-delà du crime», en prime time sur France 2.

Depuis, il cumule les émissions radio (RTL) et TV (France 2). Sous son égide, RTL redevient en 2006 la première station dans la difficile tranche du matin. A la télévision, citons «Tandem», et déjà quelques expériences dans le milieu artistique… En 2011, après 11 ans de bon et loyaux services à «Faites entrer l’accuser», Christophe Hondelatte reprend sa liberté pour d’autres chemins et d’autres expériences: dans l’entertainment, la production musicale… et à Passeport pour le crime.
Christophe Hondelatte est chevalier de l’ordre national du Mérite.

« Le Crime Invisible » un film d’Etelle Higonnet et Raynald Lellouche, le 18/05 à 20h40 sur Planète

Ce documentaire révèle, à travers les témoignages de victimes, les violences sexuelles perpétrées contre les femmes en toute impunité en Côte d’Ivoire pendant la guerre civile (2002 – 2007).

La parole de ces femmes, qui ont toutes fui leur pays, a un écho particulier au moment où la Côte d’Ivoire vit de nouveau dans un climat de guerre civile après l’élection présidentielle et la chute de Laurent Gbagbo.

Etelle Higonnet, juriste qui a travaillé pour des ONG comme Human Right Watch, a enquêté sur ces crimes de guerre, un « crime invisible », dont personne ne veut parler en Côte d’Ivoire car il a été commis par des hommes de tous les partis.

Douze journalistes femmes de renom ont accepté de prêter leur voix à ce documentaire pour que le crime invisible ne le soit plus. Un engagement pour l’information et le respect des droits humains.
C’est l’histoire d’un crime invisible. Un crime silencieux. Un crime que les hommes veulent passer sous silence. Un crime que les femmes ne pourront jamais oublier. Le viol, comme arme de guerre, en Côte d’Ivoire.

Dans ce pays divisé et ravagé par dix ans de guerre civile entre le gouvernement ivoirien et des groupes rebelles, les hommes armés dans chaque camp ont utilisé le viol comme arme politique. Ce sont les femmes qui paient. On estime qu’une femme sur dix a été violée pendant le conflit. Ce film raconte leur histoire, leur donne la parole au moment où les anciens belligérants, les Hommes, font de nouveau sombrer le pays dans la guerre suite à l’élection présidentielle contestée du 28 novembre.

Pour des dizaines de milliers de femmes ivoiriennes, pauvres ou riches, musulmanes ou chrétiennes, qu’elles appartiennent aux ethnies Mandé, Krou, Akan ou Dioula, la « paix des Hommes » ne sera jamais pour elles. Elles s’appellent Mariam, Adiala, Aminata, Rose ou encore Sabine. Avec leurs mots ou leur corps elles racontent l’indicible. Pour témoigner, pour survivre, pour dénoncer, mais aussi, parfois, pour pardonner, et accepter l’enfant né après le viol.

Cibles politiques, victimes de crimes de guerre restés impunis, ces femmes rejoignent la cohorte des millions de femmes qui chaque année dans le monde, à chaque nouvelle crise, sont les premières victimes de la haine et de la barbarie des hommes.

Ce sont aussi des survivantes et des héroïnes, se démenant pour gagner leur vie, trouvant le courage de jouer avec leurs enfants, chantant ensemble à l’église… En dépit de la dégradation et la violence qu’elles ont subies, elles nous parlent avec un aplomb et une force presque surhumaine. Ce sont elles qui font revivre leurs familles et leurs communautés après l’indicible. Leurs histoires nous amènent donc à travers les abîmes de l’horreur vers l’espoir. LE CRIME INVISIBLE révèle la force et la beauté de l’esprit humain face à la tragédie.

Douze journalistes femmes de renom ont accepté de prêter leur voix à ce documentaire pour que le crime invisible ne le soit plus.

Le commentaire lu à plusieurs voix crée « une chaîne de solidarité » entre ces femmes pour lever le voile sur ce sujet qui nous concerne tous, même si cela se passe en Côte d’Ivoire. La mobilisation de ces journalistes femmes marque leur engagement pour l’information et le respect des droits humains.

Les douze voix :
– Maïtena Biraben
– Pascale Clarke
– Florence Dauchez
– Marie Drucker
– Laurence Ferrari
– Carole Gaessler
– Isabelle Giordano
– Anne-Sophie Lapix
– Patricia Loison
– Ariane Massenet
– Daphné Roulier
– Caroline Roux