« Aliments irradiés : mauvaises ondes dans nos assiettes ? », le 05/06 à 21h30 sur France 5

C’est l’un des secrets les mieux gardés de l’industrie agro-alimentaire. Nuggets, crevettes, épices : certains de nos aliments sont irradiés.

Officiellement c’est pour notre bien : la radioactivité est efficace pour tuer les bactéries. Mais cette technologie a peut-être des effets secondaires sur notre santé. Le documentaire de France 5 révèle aussi que l’irradiation pourrait servir à recycler de la viande avariée.

Faîtes le test autour de vous: qui a déjà entendu parler de l’irradiation alimentaire ? En général personne. Il faut dire que c’est écrit en tout petits caractères sur les étiquettes, et que les fabricants préfèrent parler d’ « ionisation alimentaire ». Sur les marchés, à l’Assemblée, dans les médias : partout la même ignorance. Pour la première fois, l’enquête d’Aude Rouaux, produite par l’agence CAPA, braque le projecteur sur l’une des pratiques les plus opaques de l’industrie agro-alimentaire.

En France, il existe 5 usines d’irradiation. Filmer leur fonctionnement est systématiquement refusé. Il a fallu s’envoler aux États-Unis pour accéder à l’un de ces irradiateurs industriels. Dans le Mississippi, un professionnel convaincu a ouvert ses portes à la caméra de France 5. D’un côté, des palettes de nourriture, de l’autre, une source radio-active puissante, qui tue tous les germes. Steaks, mangues, huîtres: là-bas tout y passe.

« Aliments irradiés : mauvaises ondes dans nos assiettes ? », réalisé par Aude Rouaux, le 05/06 à 21h30 sur France 5

Mention spéciale du Jury du FIGRA pour « L’île aux enfants de l’exode » de Sarah Lebas et Cyril Thomas

Le documentaire « L’île aux enfants de l’exode » réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas et produit par CAPA Presse a reçu la mention spéciale du jury du FIGRA 2016.

Le Festival International du Grand Reportage d’Actualité et du documentaire de société s’est tenu du 30 mars au 3 avril 2016 au Touquet-Paris-Plage. Chaque année le jury récompense les meilleurs « supports de connaissance, d’information, essentiels et irremplaçables pour une télévision de qualité ».

Cette année, le jury présidé par le grand reporter Jean Paul Mari a choisi de récompenser l’équipe de CAPA Presse dans la catégorie Compétition Internationale + de 40min.

Échoués sur l’île grecque de Lesbos, ce sas entre deux vies, ces enfants nous racontent le calvaire des migrants, l’horreur de la guerre, leur rêve d’une vie plus douce. Des mots d’enfants, crus, émouvants, souvent drôles, parfois terribles, toujours désarçonnants de sincérité. Alors que la crise des réfugiés effraye l’Europe, la parole de ces enfants de l’exode vient bousculer nos consciences.

Cliquez ici pour plus d’informations sur le documentaire « L’île aux enfants de l’exode »

Direction le Japon, la Serbie et la Libye le 20/03 dans l’Effet Papillon sur Canal+

« Le tour des miracles au Japon : la fête de l’homme nu », un sujet de Nathalie Gros avec Guillaume Bression.

L’épisode 3 de notre tour des miracles, le tour du monde des fêtes religieuses les plus folles. Nathalie Gros s’est rendue ventre à terre au Japon pour la fête de l’homme nu : un bain de foule, en tenue de sumos par près de O degré, ça se passe à Okayama. Un «fesses-tival» 100% burné.

Des hommes en pagne, du saké, et des bâtons sacrés… En un mot : le bonheur !

« Serbie : Le gangster star de la télé réalité », un sujet de Julien Tridat.

En Serbie plus de 100.000 personnes ont signé une pétition contre les programmes de la télé-réalité qui inondent les chaînes du pays. Pas sûr que cela ait un quelconque impact. Ces formats sont si populaires que même la justice aménage ses sanctions.

Ainsi, le gangster multirécidiviste Kristikan Galubovic, 46 ans, a obtenu un sursis pour participer à l’émission «la Ferme Célébrités». Il devait purger une peine pour trafic d’héroïne mais la télé n’attend pas.

« Libye : le front anti-Daech », un sujet de Laurent Hamida.

De l’alibi à la Libye 5 ans après la chute du régime de Kadhafi, l’Etat Islamique profite du chaos politique et sécuritaire pour étendre son influence, notamment à l’est du pays, sur près de 300km de côtes autour de la ville de Syrte. Une zone désormais sous contrôle de Daech.

Sur place, certains essaient tant bien que mal de lutter et d’organiser un front anti-Daech. Comment ? Avec quels moyens ? Laurent Hamida s’est rendu dans ce nouvel eldorado terroriste. Il en revient avec un document exclusif.

Le Biopic : Frauke Petry

Comme chaque semaine, retrouvez le portrait de notre héros ou anti-héros d’un jour… Le BIOPIC c’est signé David Castello Lopes avec Mathieu Bonnet et Lola Bögelmann.

Retrouvez l’Effet Papillon sur Facebook et Twitter.
Réagissez en direct pendant la diffusion, le dimanche à 15h10 sur Canal+ : #EffetPap

« Caméléon », la nouvelle série documentaire de Sebastian Perez Pezzani pour 13ème Rue.

Sebastian Perez Pezzani est un caméléon. Il passe partout, surtout là où il vaut mieux ne pas traîner ses guêtres…

La nouvelle série documentaire « Caméléon », composée de 6 épisodes, sera diffusée à partir du mois de Juin 2016 sur 13ème Rue. Entre immersions et expériences, cette série nous plonge dans des univers hors norme, souvent infréquentables et toujours à risque.

Pour le premier épisode, Sebastian s’envole en direction de la Bolivie, où il va s’immerger dans la prison-ville de Palmasola.

Hispano-franco-anglo-arabophone, Sebastian Perez Pezzani a sillonné les bas fonds de l’Amérique en tant que réalisateur pour « Tracks » de la chaîne Arte. Il lâche le terrain pour devenir monteur (Dimanche plus, Ne dites pas à ma mère…) puis directeur artistique pour « L’Effet Papillon ».

Retour sur le terrain, mais cette fois, devant la caméra : il devient l’un des « Nouveaux Explorateurs » de Canal +. Sa spécialité : la débrouille aux quatre coins du monde. Rwanda, Colombie, Roumanie… des pays compliqués où Sebastian s’aventure avec malice pour notre plus grand plaisir.

Pour Caméléon, Sebastian s’arme de son empathie et de son sens de l’humour pour se plonger dans des univers encore plus sombres et plus durs.

Découvrez les documentaires de la série « Caméléon » sur 13ème Rue :

  • 14/06 : Prisonnier à Palmasola
  • 21/06 : Les mines d’or de Paracale
  • 28/06 : Clandestin au Mexique
  • 05/07 : Opération Zébus
  • 12/07 : Villa Miseria
  • 19/07 : Légiste au Salvador

« Caméléon » à partir du mois de Juin 2016 sur 13ème Rue.

« Se soigner à quel prix ? », le 11/02 à 20h50 dans « Envoyé Spécial » sur France 2

Un traitement contre l’hépatite C facturé 41 800 euros par patient, de nouvelles molécules contre le cancer qui dépassent les 100 000 euros, des vaccins dont le prix a été multiplié par 5 en moins de 10 ans… Le prix de certains de nos médicaments flambe. Pourquoi les Français paient-ils aussi cher pour se soigner ?

En France, au Bangladesh et aux Etats-Unis, une équipe d’Envoyé Spécial a enquêté pendant 6 mois : comment sont fixés les prix de nos médicaments ? Pourquoi certains traitements sont-ils plus chers en France que dans d’autres pays ? Et que paient vraiment les patients quand ils achètent des médicaments :  les années de recherche des laboratoires pharmaceutiques ou les dividendes de leurs actionnaires ?

Derrière les enjeux de santé publique, se cachent des pratiques dignes d’un thriller financier où médecine et profit entretiennent parfois d’étonnantes relations. Enquête sur des pilules parfois amères pour le contribuable.

« Se soigner à quel prix ? », un sujet Sophie Bonnet, le 11/02 à 20h50 dans « Envoyé Spécial » sur France 2.

Retrouvez « Envoyé spécial » sur leur site officiel, Facebook et Twitter

Paroles d’enfants de l’exode : Oussama, 14 ans, et Ayman, 13 ans

Oussama et Ayman sont les aînés d’une fratrie de 5 enfants. Ils sont tous sains et sauf à Lesbos, mais ils n’ont plus rien, ils ont tout laissé derrière eux.

Avant la guerre, leur père était chef d’entreprise dans le nord de la Syrie, leur vie était privilégiée : ils prenaient des cours particuliers d’anglais, de musique et de sport. Une enfance rêvée qui n’a pas duré très longtemps.

Oussama avait 11 ans quand il a vu la mort en face : « Je n’avais encore jamais vu de films d’horreurs, et là j’ai vu une tête à 15 mètres d’un corps… »

Ayman lui regrette sa vie d’avant, il aurait voulu rester en Syrie et reprendre l’affaire de son père.

Aujourd’hui à Lesbos, ils vivent entassés dans un camp dans l’attente du Ferry et du voyage vers l’Allemagne. Une destination qu’ils espèrent autant qu’ils la redoutent : « Je ne parle pas Allemand, j’ai peur de ne pas pouvoir réussir mes études ».

« L’île aux enfants de l’exode », réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas, le 2 février à 23h10 dans Infrarouge sur France 2.

Paroles d’enfants de l’exode : Mary, 5 ans

Mary a fuit la Syrie avec sa mère et ses 5 frères et sœurs. Son père est mort pendant la guerre, Sally sa maman a décidé de prendre la route de l’exil.

Le trajet de la côte turque à l’île de Lesbos a duré quatre heures. Pendant deux jours, Mary et sa famille sont à Lesbos, entre deux vies, entre douleur et espoir, ils veulent aller en Suède pour vivre en sécurité.

Du haut de ses 5 ans, Mary a un regard triste mais elle s’exprime avec poésie. Elle se raconte sa propre histoire, quand on lui demande si elle sait pourquoi elle a dû quitter son pays, Mary répond sans la moindre hésitation : « Oui, je sais pourquoi on a dû partir, parce que là-bas tout le monde fume même les enfants plus petits que moi, c’était plus possible de rester ».

La traversée en bateau, moment traumatisant, Mary l’a enfouie dans un coin de sa mémoire : « Je n’ai pas pris de bateau, j’ai marché sur l’eau et c’est la montagne qui est venue vers moi ! »

Pour la première fois, le documentaire « L’île aux enfants de l’exode » donne la parole à ces enfants, premières victimes et meilleurs témoins d’une guerre civile et totale. Ces mots d’enfants sont parfois plus crus que les mots d’adultes. Mieux qu’un discours ordonné, mieux qu’un empilement de faits, ils racontent les non-dits, les ambiances, les émotions. Ils nous disent l’indicible de la guerre.

Ces paroles font du bien. À ceux, peut-être, qui les lancent, mais aussi à ceux qu’elles percutent. Elles désarçonnent, émeuvent et questionnent. Tant elles nous ramènent d’un coup à l’humain.

« L’île aux enfants de l’exode », réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas, le 2 février à 23h10 dans Infrarouge sur France 2.

« L’île aux enfants de l’exode », un documentaire inédit le 02/02 à 23h10 dans Infrarouge sur France 2

C’est une image qui a fait vaciller le monde. Le corps sans vie d’un enfant échoué sur une plage, avec un short et un tee-shirt rouge pour linceul. C’était le 3 septembre 2015, en quelques heures la photo d’Aylan est devenue une icône. Une photo qui, pensait-on alors, allait changer le cours des choses.

Cette vision insoutenable, dont nous ne pouvons pas nous détacher les yeux, mais qui nous regarde autant que nous la regardons, nous dit aussi autre chose. Il y a des enfants dans cette histoire. Nous l’avions presque oublié.

La politique, la guerre et les médias sont affaires d’adultes, mais ils sont là, pour qui veut les voir, ballotés dans cet exode aux dimensions bibliques, dans cette odyssée qu’ils n’ont pas choisie.

Par centaines, ils débarquent chaque jour de Syrie, d’Irak ou encore d’Afghanistan. Lesbos, cette île mythologique à 8 kilomètres du littoral turc, est leur principal point d’entrée en Grèce.

La plupart voyagent avec leurs parents. Ils fuient la même guerre que les adultes, les mêmes camps, les mêmes dangers, la même misère.

Eux aussi ont abandonné une maison, un quartier, une famille et des amis. Eux aussi ont vécu la peur, la fatigue, la promiscuité, le péril de la traversée.

Parce que l’enfance reprend encore le dessus, ils oublient l’avant et l’après, et s’oublient dans l’instant en jouant sous une tente, pendant que leurs parents se démènent pour arracher un laissez-passer.

Mais derrière ces instantanés, une autre scène affleure. Des appartements éventrés, des proches disparus, des écoles clandestines… Certains n’ont connu que la guerre.

Parce que leurs visages sont autant de reproches, ces enfants n’ont pas eu droit à la parole. Ils ont été écartés par des adultes, masqués par des statistiques. On ne les a pas entendus sur les chaînes d’information.

Ils sont pourtant les premières victimes et les meilleurs témoins d’une guerre civile et totale. Des désordres tragiques du monde d’aujourd’hui.

Pour la première fois, « L’île aux enfants de l’exode » leur donne la parole. Ces mots d’enfants sont parfois plus crus que les mots d’adultes. Mieux qu’un discours ordonné, mieux qu’un empilement de faits, ils racontent les non-dits, les ambiances, les émotions. Ils nous disent l’indicible de la guerre.

Ces paroles font du bien. À ceux, peut-être, qui les lancent, mais aussi à ceux qu’elles percutent. Elles désarçonnent, émeuvent et questionnent. Tant elles nous ramènent d’un coup à l’humain.

« L’île aux enfants de l’exode », réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas, sera diffusé le 2 février à 23h10 dans Infrarouge sur France 2. Réagissez et commentez le documentaire en direct sur Twitter via le hashtag #Infrarouge

« L’île aux enfants de l’exode », réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas, est en compétition au FIPA

Ils s’appellent Mary, Oussama, Ayman ou Jumana. Ils ont entre 5 et 15 ans, ils arrivent de Syrie, fuyant la guerre et l’insécurité, espérant avec leurs parents trouver un avenir meilleur en Europe.

Échoués sur l’île grecque de Lesbos, ce sas entre deux vies, ces enfants nous racontent le calvaire des migrants, l’horreur de la guerre, leur rêve d’une vie plus douce. Des mots d’enfants, crus, émouvants, souvent drôles, parfois terribles, toujours désarçonnants de sincérité. Alors que la crise des réfugiés effraye l’Europe, la parole de ces enfants de l’exode vient bousculer nos consciences.

« L’île aux enfants de l’exode », réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas, est actuellement en compétition dans la catégorie « Documentaire de création » au FIPA.

Dans le cadre de cette compétition, deux projections du film sont organisées à Biarritz :

  • Le Mercredi 20 janvier à 09h30 à la Gare du Midi – Salle Atalaya, une séance en présence du jury, avec une petite introduction au public et une session de questions/réponses d’une vingtaine de minutes après la projection.
  • Le Vendredi 22 janvier à 19h15, projection de « reprise » au Colisée, sans présentation ni questions/réponses.

« L’île aux enfants de l’exode » sera diffusé le mardi 2 février 2016 à 23h10 dans Infrarouge sur France 2. Réagissez et commentez le documentaire en direct sur Twitter via le hashtag #Infrarouge

Crédits :

  • Un documentaire inédit écrit par Sarah Lebas
  • Réalisé par Sarah Lebas et Cyril Thomas
  • Produit par Guylaine Loquet et Patrice Lorton
  • Une production CAPA Presse
  • Avec la participation de France Télévisions
  • Unité de programmes documentaires : Fabrice Puchault, Barbara Hurel, Danièle Bénichou et Anne Roucan

« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », le 25/01 à 22h35 dans « Spécial Investigation » sur Canal +

En 1980, un avion de ligne Italien assurant la liaison Bologne-Palerme s’écrase avec 81 passagers à bord. Très vite, une explication rocambolesque circule : un activiste Italien aurait fait exploser –accidentellement- une bombe à l’arrière de l’avion. Problème : cet activiste dément : il n’était pas dans l’avion !

Parallèlement, plusieurs employés des bases aériennes ayant été témoins de l’accident sur leurs écrans radars acquièrent la conviction que l’appareil a été abattu par un missile. La France, dont la base de Solenzara en Corse était proche du lieu de l’accident, rechigne étrangement à collaborer à l’enquête.

Sollicitées par la justice Italienne, les autorités Françaises vont même multiplier déclarations approximatives et contre-vérités : la base Française aurait été « fermée à 17h » le jour du drame, ce qui se révélera inexact, « aucun porte avion Français n’était en mer le jour du crash », ce qui là encore, se révélera inexact.

Pourquoi tant de mensonges ? Selon l’ancien président Italien, Cossiga, dans un contexte de fortes tensions entre le président Valéry Giscard D’estaing et le colonel Khadafi, l’avion de ligne Italien aurait été abattu par erreur par un chasseur Français lancé à la poursuite de MIG Lybiens empruntant illégalement l’espace aérien Italien. Et depuis 35 ans, Paris ferait tout pour cacher cette terrible – et inavouable – bavure.

« Crash de l’Ustica : une bavure française ? », une enquête de Emmanuel Ostian pour « Spécial Investigation« , le 25/01 à 22h35 sur Canal +