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« Affaire Maillery : Le corbeau est-il le meurtrier ? » le 16/11 à 20h50 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

Pendant près de 30 ans, Marie Pichon, la mère de Christelle Maillery a mené l’un des combats les plus durs : tout faire pour retrouver le meurtrier de sa fille de 16 ans.

Un matin de décembre 1986, dans le local à vélo d’une HLM au Creusot, cette jeune collégienne a été retrouvée morte, poignardée à 31 reprises. Au départ, les policiers en charge de l’affaire ne disposent que de bien maigres indices : le facteur se souvient seulement d’avoir été bousculé près du local à vélo par un jeune homme « au look du chanteur Renaud ».

Rapidement, la clef de ce crime se révèle être dans le huis-clos de cette petite cité où tout le monde se connait. Car Christelle n’aurait jamais suivi un inconnu dans cette cave. Et puis, son corps ne présente aucune trace de lutte.

L’assassin est donc probablement un voisin ou peut-être même un proche. Est-ce son petit ami, Michel, avec lequel Christelle entretenait une relation tumultueuse ? Ou peut-être ce corbeau qui a envoyé une lettre anonyme à la jeune fille quelques jours avant sa mort ? Autant de pistes qui pourtant ne vont pas aboutir tout de suite. Il faudra attendre des années pour que l’enquête connaisse un incroyable rebondissement et qu’un suspect soit enfin identifié.

D’un point de vue de spécialiste judiciaire, c’est vrai : l’affaire Maillery est exceptionnelle, car dans les annales de la justice c’est la première fois qu’un accusé va être jugé 30 ans après les faits. Du jamais vu…

Mais ce qui rend cette histoire véritablement incroyable, c’est la détermination et le courage dont a fait preuve Marie Pichon, la mère de la victime. Une femme discrète, voire timide, qui va sortir d’elle-même pour trouver le meurtrier de sa fille.

Marie Pichon, un petit bout de femme, sans artifice, une voix fluette, se fait inviter sur les plateaux de télévisions. Elle ne veut pas que la mort de sa fille soit jetée aux oubliettes. Une association va l’épauler dans son combat, elle porte le même nom que sa fille, le fait d’un hazard douloureux. En effet, l’association Christelle regroupe 9 familles qui connaissent la même tragédie. La justice n’a pas retrouvé l’assassin de leurs enfants! 9 meurtres non élucidés, dans la même période, et dans le même département : les oubliés de la Saône et Loire… Ensemble, ils vont se battre, et trouver les moyens financiers pour solliciter l’aide d’un cabinet d’avocat qui s’est spécialisé dans la résolution des cold cases.

Jusqu’à ce que leur contre-enquête tombe enfin dans les mains d’un flic intègre et courageux qui va sortir de l’oubli le meurtre de la jeune collégienne et mettre un visage et un nom sur un présumé meurtrier…

Au delà d’une enquête très précise, ce document est le récit d’une histoire qui dépasse la fiction. Où chaque intervenant, de Marie Pichon aux flics retraités en passant par un détective privé, nous plonge dans un palpitant polar du réel qui rend hommage aux oubliés de la machine judiciaire.

« Affaire Maillery : Le corbeau est-il le meurtrier ? », réalisé par Alix Mounou, le 16/11 à 20h50 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9 (inédit -10)

« L’affaire Chabé » le 07/09 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

Le 26 février 2005, la vie de Ludovic Chabé, pompier de 28 ans, bascule dans l’horreur. Après 48h d’astreinte à la caserne, le jeune homme rentre chez lui à Humbercourt dans la Somme. Il est 10h quand il trouve son épouse Françoise, inanimée, allongée sur le sol de la cuisine, face contre sol. Elle est en pyjama, un foulard de soie noué autour du cou… Lorsque les pompiers arrivent, ils découvrent Ludovic en état de sidération, totalement tétanisé, recroquevillé sur le sol. Et pour lui, le cauchemar ne fait que commencer.

Deux jours après le drame, l’autopsie de la victime va révéler qu’elle a été violemment frappée au visage puis étranglée. Une agression incompréhensible à l’encontre de cette jeune femme, de 24 ans, discrète, souriante et qui ne se plaignait jamais. A première vue, Françoise semblait heureuse avec Ludovic. Marié depuis deux ans, le couple terminait les travaux de sa maison et projetait même d’avoir un enfant.

Seulement le jeune veuf va rapidement attirer les soupçons des enquêteurs. En effet, certains proches de la victime affirment que depuis quelques semaines la jeune femme avait changé. Il lui arrivait d’éclater en sanglots sans raison. Son mari Ludovic y était-il pour quelque chose ? Et puis surtout, une question intrigue les enquêteurs depuis le début : pourquoi ce pompier aguerri n’a-t-il rien tenté pour réanimer sa femme ?

Ludovic Chabé devient le suspect n°1. Et le jeune homme va s’enfoncer dans la culpabilité. Après une garde à vue très éprouvante et manifestement sous haute tension le mari va finir par avouer le meurtre de sa femme avant de se rétracter et de clamer son innocence. Seulement il est trop tard. Le jeune homme est mis en examen pour meurtre et écroué. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, l’affaire va même connaître, un an après le drame, un incroyable rebondissement.

En effet, les enquêteurs découvrent que Françoise avait un secret. Elle aurait eu un amant. Cette relation durait depuis plus 6 mois. Seulement, l’amant de Françoise a un alibi. Le matin du meurtre, son épouse atteste de sa présence chez eux.

« Cela ne peut-être que le mari » … Ludovic Chabé redevient le coupable idéal alors que plusieurs éléments le disculpent ….

« L’affaire Chabé », un film de Cyrielle Adam, le 07/09 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

« L’affaire Bebien » le 30/08 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

Le 30 mai 1995, en fin de journée, une colonne de fumée s’élève d’un lotissement de Saint-Andéol le Château (Rhône). Des explosions et des flammes immenses dévorent la maison de la famille Bébien. Dans le village tout le monde les connaît. Il y a Odette, aide-soignante, Vincent manutentionnaire et leurs 3 enfants. Ce sont les voisins affolés qui donnent l’alerte. Ils préviennent immédiatement, Samantha, la fille aînée de la famille qui habite à deux pas de là avec son mari Eric. Mais tous assistent impuissants au drame.

Dans les décombres, les pompiers découvrent l’horreur : les parents de Samantha et ses 2 frères et sœurs, Vincent 21 ans et Aline 17 ans, sont retrouvés carbonisés.

D’autant que le médecin légiste va faire une découverte supplémentaire. Les 4 membres de la famille Bébien n’ont pas péris dans l’incendie mais ils ont été exécutés. Ce qui pourrait être considéré comme un tragique accident domestique dû à un court-circuit ou une bougie mal éteinte, cache en réalité une véritable tuerie. Des douilles de 22 long-riffle sont retrouvées éparpillées à proximité des corps et chose étrange, les victimes ont été tuées dans des pièces séparées. Pour les gendarmes, les quatre membres de la famille de Samantha ont été abattus par la même arme, à tour de rôle, avant l’incendie de leur maison. Alors qui pouvait en vouloir à cette famille appréciée de tous ?

Rapidement, les enquêteurs parviennent à établir une chronologie des meurtres. Odette est morte la première en début de matinée, Vincent le père a été tué entre 11h15 et 12h, à son retour de l’usine, le fils entre 12h et 12h30 et la fille Aline vers 17h15, alors qu’ils rentraient du lycée. Une chose est sûre, le meurtrier connaissait parfaitement les habitudes de la famille Bébien. C’est donc tout naturellement que les enquêteurs vont commencer leur enquête de voisinage. Et dans le village les langues vont se délier.

A moins que l’explication du massacre des Bébien ne se trouve au cœur même de la famille… Ce sont finalement, des bouts de chandelles et des jerricans d’essence qui vont permettre aux policiers de le découvrir…

« L’affaire Bébien », un film de Julien Balestier, le 30/08 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

« L’affaire Michèle Even » le 01/06 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

9 mars 1991, à Bénestroff en Moselle. Il est 12h15 quand Hervé Even, menuisier de 28 ans, rentre chez lui pour le déjeuner. Dans la cuisine, le jeune homme va découvrir son épouse, Michèle, littéralement massacrée sur le sol de la cuisine. Elle gît en pyjama, égorgée, le crâne défoncé à coups de bûche et l’arme du crime, un couteau de cuisine, encore enfoncé dans le dos.

Arrivés sur place, les enquêteurs vont très vite soupçonner Hervé, le menuisier. Car la voisine du dessus, Gertrude Kremer, raconte qu’elle a tout entendu. Réveillée brusquement par un hurlement la vieille dame a regardé son réveil, il indiquait 6h05. Pensant que c’était Michèle, Gertrude est descendue chez sa voisine et a demandé à travers la porte ce qu’il se passait, de l’autre côté de la porte, une voix d’homme lui a répondu : « rien ».

Placé en garde à vue pour le meurtre de sa femme, le menuisier nie de toutes ses forces mais en vain…. tout l’accuse. Lorsqu’il est renvoyé devant les Assises de la Moselle, en mars 1996 l’homme n’a plus aucun espoir… Seulement un élément indiscutable va venir l’innocenter.

« L’affaire Michèle Even », le 01/06 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9.

« L’affaire Jean Moritz : qui a tué l’artificier ? », le 25/05 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

A Louvroil près de Maubeuge, le 1er juin 2011, c’est la consternation. Jean Moritz, père de huit enfants, vient de mourir dans l’incendie de son magasin de cotillons et feux d’artifice.

A première vue, la mort est accidentelle. Elle serait due à un défaut de manipulation des substances inflammables qui servent à fabriquer les feux d’artifice.

Seulement quelques jours plus tard, l’autopsie va révéler une tout autre thèse, celle d’un assassinat. En fait, Jean Moritz, 55 ans, n’est pas mort dans l’incendie. Il a été roué de coups, étranglé et poignardé avec un tournevis, c’est l’autopsie qui l’a révélé. Pour brouiller les pistes, son assassin a ensuite mis le feu, en prenant soin d’emporter le téléphone et l’ordinateur de sa victime, avant de fermer la porte à clef.

Mais qui pouvait en vouloir à cet homme pourtant à priori aimé de tous ? Débute alors une incroyable enquête, pleine de rebondissements, qui va révéler dans l’entourage du père de famille plusieurs suspects possibles.

« L’affaire Jean Moritz : qui a tué l’artificier ? », le 25/05 à 20h55 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9.

« Hugues de la Plaza : L’impossible suicide d’un français au Etats-Unis », le 30/09 à 20h45 dans « Enquêtes Criminelles » sur W9

San Francisco, dans la nuit du 2 au 3 juin 2007, Hugues de la Plaza, un jeune Français exilé en Californie est retrouvé mort chez lui : trois blessures à l’arme blanche lui ont été fatales.

Si les causes du décès ne font aucun doute, les conclusions de la police américaine sont plus que surprenantes : les enquêteurs concluent à… un suicide ! Invraisemblable pour les proches et les parents de Hugues qui face à de nombreuses incohérences comprennent petit à petit qu’il s’agit bien d’un meurtre… Ils vont alors décider de mener leur propre contre-enquête.

Que s’est-il vraiment passé cette nuit-là ? Qui pouvait en vouloir à ce jeune homme a priori apprécié de tous ? Et pourquoi les policiers américains ont-ils bâclé leur enquête ?

Un film de Benjamin Audibert et Mickaël Royer produit par Studio CAPA.
Diffusion le mercredi 30/09 à 20h45 sur W9 dans « Enquêtes Criminelles » animé par Nathalie Renoux.

Enquêtes criminelles : «L’affaire Athanase», le 12/11 à 20h45 sur W9

Le 18 mai 2004 dans la banlieue de Nouméa…

Un policier municipal intervient sur une voiture abandonnée. En s’approchant il remarque des mouches qui volent autour du coffre. Une forte odeur s’en échappe… il fait sauter la serrure, et découvre un corps putréfié. Une femme qui présente plusieurs marques de strangulations et de coups…

D’après le légiste, elle est morte depuis 3, 4 jours.  La victime est rapidement identifiée : Il s’agit de Nadia Athanase, 33 ans, jolie opératrice en radiologie. Pleine d’idées, elle voulait ouvrir une société de distribution de perles noires de Tahiti. Elle avait même trouvé des associés…

S’agit d’un règlement de compte mafieux ? D’un crime crapuleux ? D’un crime sexuel ?

Plusieurs pistes apparaissent rapidement… D’autant que la jeune femme se sentait menacée. Nadia s’était confiée à une amie, récemment elle avait reçue des menaces de mort !

Mais les policiers découvrent aussi que Nadia avait plusieurs amants… Le nom de l’un de ses amants les intéresse particulièrement, Manuel Vilabril 52 ans. Il habite en métropole à côté de Versailles.

Juste avant la mort de Nadia, Manuel Vilabril est venu passer un mois à Nouméa. Mais il est rentré précipitamment en France… Bizarrement c’était 2 jours après la découverte du corps de Nadia…

ENQUETES CRIMINELLES : « Message prémonitoire : l’affaire Flavin », un film de Laure Bessi, le 12/06 à 20h50 sur W9

Le 14 février 2000, Patrice Moulinier découvre une scène d’horreur en rentrant chez lui : sa femme, Manuella, et sa fille de 12 ans, Morgane, gisent dans une mare de sang. Abattues toutes deux d’une balle dans la tête. Leur bébé de 5 semaines, Martin, est, quant à lui, introuvable.

Kidnapping ? Folie meurtrière ? Vengeance ? Toutes les hypothèses sont envisagées. Mais c’est en fouillant la vie privée de Patrice Moulinier que les enquêteurs vont progresser. Ils découvrent que ce paisible père de famille a entretenu, dix ans plus tôt, une étrange relation sexuelle avec une certaine Simone Van Matt. Une relation particulière puisqu’elle se faisait avec la bénédiction du mari, Jean-Marie Von Matt, un riche marchand de biens, propriétaire d’un château en Dordogne et vivant en Floride.

Interrogé par les gendarmes, Patrice Moulinier va se souvenir d’une phrase prémonitoire prononcée par Jean-Marie Von Matt à la mort de son épouse : « Simone est morte, maintenant vous devez libérer son âme ». Qu’a voulu dire Jean-Marie Von Matt ?

Les enquêteurs se lancent alors dans un véritable jeu de piste entre la Suisse, l’Aveyron, la Dordogne et la Floride. Un scénario macabre se dessine peu à peu, celui d’une vengeance teintée de mysticisme ou le marchand de bien a décidé d’éliminer tous les membres de la famille de l’ancien amant de sa femme…

ENQUETES CRIMINELLES : « Meurtre de la banquière : Affaire Elodie Kulik », un film de Alexis De La Fontaine, le 22/05 à 20h50 sur W9

Vers minuit, le 11 janvier 2002, les pompiers de Péronne dans la Somme reçoivent un terrible appel au secours. Au bout du fil une jeune femme hurle qu’elle vient d’être enlevée. Plusieurs voix d’hommes derrière elles sont audibles, mais ses agresseurs lui arrachent son téléphone avant quelle ne puisse en dire plus…

Deux jours plus tard son corps est découvert calciné dans une décharge. C’est Elodie Kulik 23 ans, une jeune et jolie banquière de la région. Elle a été violée et étranglée. A côté de son corps les gendarmes découvrent un préservatif et un mégot.

Grâce à ces preuves l’ADN de l’un des agresseurs est identifié. Malheureusement il est inconnu des services de police… Impossible de mettre un nom dessus.

C’est le début d’une incroyable enquête qui va durer plus de dix ans. Les gendarmes ont peu de pistes. Sa famille et ses amis sont sous le choc, la jeune femme était appréciée de tous, on ne lui connaissait aucun ennemi.

Quelques heures avant le drame Élodie Kulik avait passé la soirée avec un ami au restaurant, elle avait bu un thé chez lui avant de rentrer chez elle en voiture. Son ami est mis hors de cause.

A-t-elle été suivie ? S’agit-il d’un crime de rôdeur ? A-t-elle été la proie d’un ou plusieurs prédateurs sexuels ?

L’une des pistes envisagées est celle du tueur en série Jean Paul Leconte, condamné pour deux meurtres de jeunes femmes dans la même région. Mais après vérification, l’homme est rayé de la liste des suspects. L’un des indices dont disposent les enquêteurs est le dernier appel passé par la jeune femme. L’analyse audio de cet appel permet d’affirmer que deux des hommes entendus sur l’enregistrement ont un fort accent picard. De toute évidence dans la région des gens connaissent le scénario du drame mais se taisent.

L’enquête semble dans une impasse quand en 2011 un incroyable rebondissement se produit. Pour la première fois, la justice utilise une nouvelle technique : la recherche d’ADN par parentèle. Le nom de Grégory Wiart sort. C’est bien son ADN qui a été retrouvé dans le préservatif sur la scène du crime !

Malheureusement pour l’enquête il est décédé quelques mois après le meurtre. Reste à démasquer ses complices. L’enquête sur l’entourage du jeune homme va finir par payer.

Quelques mois plus tard, Willy Bardon, un ami de Wiart est arrêté et mis en examen.

Sa voix a été reconnue par plusieurs de ses proches comme étant celle que l’on entend derrière les cris de terreurs d’Elodie Kulik dans son ultime appel à l’aide…

ENQUETES CRIMINELLES : « L’Etrange témoin du crime », un film de Dimitri Grimblat, le 20/03 à 20h50 sur W9

22 décembre 1997, sept heures du matin. Un instructeur d’auto-école découvre un corps ensanglanté en contrebas d’une route départementale à côté de Lunel (Hérault). Le ou les tueurs se sont véritablement acharnés sur lui. Il a reçu 108 coups de couteaux !

La victime est un jeune homme, Azzouz, 22 ans, connu pour être un petit revendeur de drogue. À première vue, il s’agit d’un règlement de compte lié au trafic de stupéfiants. Rapidement, les enquêteurs se focalisent sur deux suspects, les grossistes d’Azzouz : Abderrahim El Jabri et Abdelkader Azzimani. Les deux hommes nient mais reconnaissent avoir livré à la victime 5kg de résine de cannabis peu avant le meurtre.

Dans la foulée, un témoin oculaire les confond et, même s’il se trompe sur l’heure du crime, pour les gendarmes, l’affaire est entendue. El Jabri et Azzimani sont mis en examen. Ils n’ont pas d’alibi et leur passé, leur mauvaise réputation, en ont fait des coupables parfaits. Seulement personne n’imagine que cette affaire, à priori résolue, va connaître un incroyable rebondissement…