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« Parlons PME » – Les entreprises de la semaine #1 !

CAPA Entreprises et BNP Paribas célèbrent le made in France et les PME innovantes au travers d’un programme court – « Parlons PME » – diffusé du lundi au jeudi, à 20h35, sur France 2, à partir du 7 avril.

Voici les PME de la semaine :

FERMOB

Fermob est détenteur du brevet de la chaise Simplex, déposé en 1889 : « LA » chaise de jardin pliante pour les déjeuners d’été sous le chêne et les cafés en terrasse !

OBUT

En Thaïlande, la pétanque est devenue le jeu national !

KERMEL

C’est le Général De Gaulle qui, dans les années 60, a fait concevoir des tenues résistantes au feu pour les équipages des chars d’assaut. Aujourd’hui, Kermel équipe les pompiers de Paris, mais aussi les armées brésilienne et canadienne et même les équipes qui interviennent sur le site de Fukushima.

AQUATIQUE SHOW

L’histoire d’Aquatique Show a débuté dans un garage où un instituteur bricolait les tuyaux d’arrosage pour une reprise de « Singing in the rain ». Aujourd’hui, l’entreprise est leader mondial des spectacles aquatiques et rêve de créer des objets… avec de l’eau !

« Parlons PME » sur Twitter
@ParlonsPME

« Apocalypse, la Première Guerre mondiale : la mémoire vive », le 01/04 à 21h35 sur France 2

Dans la galerie des Glaces du château de Versailles, Marie Drucker présente cette émission spéciale dédiée à la place qu’occupe la Grande Guerre dans la mémoire collective. Elle reçoit l’historien Stéphane Audoin-Rouzeau, spécialiste de la Grande Guerre, l’historienne Manon Pignot, Daniel Costelle et Isabelle Clarke, auteurs et réalisateurs d’«Apocalypse», le comédien et écrivain Christophe Malavoy qui a publié « Mon père, soldat de 14-18 », l’historien et le collectionneur Jean-Pierre Verney et Joseph Zimet, directeur général de la Mission du centenaire.

Un débat à voir le 1er avril à 21h35 sur France 2 | Présenté par Marie DRUCKER | Réalisé par Philippe LALLEMANT | Une production exécutive CAPA

« 21 JOURS… au couvent » à voir dans Infrarouge, le 03/12 à 22h40 sur France 2, un film de Alexandra Alévêque et Philippe Lagnier

Pendant 21 JOURS, elle va découvrir tout un monde, avec ses codes et ses difficultés. Pendant 21 JOURS, elle va vivre aux côtés de ceux qu’elle filme. Elle va partager et raconter, à la première personne.

Carnets de bord engagés, récits à nu d’une adaptation et d’un apprentissage, ces films documentaires innovants veulent saisir la vie au plus près, avec tendresse et bienveillance…

Dans cette série documentaire innovante, la journaliste Alexandra Alévèque passe de l’autre côté de la caméra, pour expérimenter pendant 21 jours le quotidien de ceux qu’elle rencontre.

À chaque fois, tous les protagonistes ont été mis au courant de l’opération. Alexandra Alévêque se présente en toute transparence.

Après 21 jours à l’usine, documentaire dans lequel la journaliste a partagé le quotidien des ouvriers chez un sous-traitant automobile, 21 jours à l’aveugle où elle a expérimenté la cécité, ou 21 jours inoubliables, dans lequel elle a travaillé avec des professionnels auprès de malades d’Alzheimer, cette collection s’étoffe de trois nouveaux films.

Pour éprouver la vie au couvent, elle partage le quotidien de la communauté de moniales de l’Abbaye cistercienne de Chambarand, en Isère. Pour comprendre l’engouement des français pour les vacances au camping, elle part travailler dans l’un d’eux à Argelès-sur-Mer. Pour mieux deviner la vie des acteurs et actrices X, elle devient assistante d’une réalisatrice de films pornographiques.

Pendant 21 jours, et quelle que soit l’expérience vécue, Alexandra Alévêque tient son journal de bord. Elle raconte, à la première personne, ses difficultés, ses surprises, ses a priori qui s’envolent ou se confirment.

Elle est pour un temps au couvent ou dans l’industrie du X, mais n’oublie jamais d’où elle vient, professionnellement et socialement. Elle est à la fois dedans et dehors, miobservatrice et mi-participante. Cet exercice d’empathie active a une durée calculée : 21 jours, c’est assez long pour prendre des marques, et assez bref pour garder du recul. En 3 semaines, et sans interruption,

Alexandra Alévêque s’adapte, perd ses habitudes et en prend de nouvelles. Vivre avec les religieuses, les actrices X ou les campeurs, apporte aussi un avantage décisif : se faire accepter en payant de sa personne, gagner le respect et recueillir les confidences.

« Envoyé Spécial – Afrique du Sud : les raisins de la honte », le 24/10 à 20h45 sur France 2

En Afrique du Sud, la route des vins est une destination de plus en plus prisée des touristes étrangers. Autour de 500 000 l’empruntent chaque année, et parmi eux, de plus en plus de Français. C’est cinq fois plus qu’il y a dix ans. Ils visitent le petit village de Franshoek fondé autrefois par des huguenots, enchaînent les dégustations, et rencontrent des producteurs.

Des producteurs essentiellement blancs, dix neuf ans après la fin de l’apartheid en Afrique du Sud. Quant aux ouvriers viticoles, essentiellement noirs, leur salaire minimum est de dix euros par jour. Une somme modique pourtant arrachée de haute lutte : en janvier dernier, à deux pas des domaines visités par les touristes, ils étaient 100 000 à se révolter… Bilan de la répression policière : 3 morts et des centaines de blessés.

La société sud-africaine a-t-elle réellement changé dans ces campagnes reculées ? Héloïse Toffaloni et Vincent Barral ont emprunté la route des vins à l’époque des vendanges. Ils ont suivi des vacanciers français et ont découvert, hors des circuits touristiques, le revers de la carte postale : des ouvriers mal payés, mal logés, et des professionnels du vin qui semblent parfois regretter le temps de l’apartheid.

Ils ont aussi suivi un syndicaliste agricole qui parvient pour la première fois à mobiliser des dizaines d’ouvriers, peu habitués à se plaindre ouvertement de leurs conditions de travail.

« Usurpation d’identité », une enquête de Marc Garmirian dans « Envoyé Spécial : La Suite », le 14/09 à 14h sur France 2

Chaque année en France, ils sont des milliers à se battre pour recouvrer leur identité. Elle leur a été volée par des malfaiteurs sans scrupules qui laissent des impayés et des délits derrière eux que les usurpés doivent assumer à leur place. Ce cauchemar peut durer de longues années.

Depuis notre premier tournage en 2010, la loi a évolué et un procès est désormais possible, car en mars 2011, l’usurpation d’identité est devenue un délit à part entière.

Mais la loi, qui prévoit un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amendes ne semble pas assez dissuasive.

Depuis 2010, nos passeports, nos cartes d’identité, nos titres de séjour sont mieux sécurisés. Leur falsification est nettement plus difficile aujourd’hui. Mais les failles administratives sont encore nombreuses.

A l’époque, nous avions suivi trois victimes d’usurpation. Deux sont toujours en galère. Charly Koissy est pratiquement au bout de ses peines, mais il doit encore batailler pour que justice lui soit rendue. Notre second usurpé préfère aujourd’hui garder l ‘anonymat. Son avocat nous explique sa lente descente en enfer depuis notre premier tournage.

Nous avons également rencontré trois sœurs dont le père adoptif a revendu l’identité à plusieurs femmes il y a trente ans… Une situation à la fois tragique et absurde dont elles vont enfin sortir. La justice a décidé de leur permettre de reprendre le nom de jeune fille de leur mère… Changer de nom pour sortir de ce cauchemar…

Voyage au pays de ceux qui ont perdu leur identité. Une enquête réalisée par Marc Garmirian, journaliste à l’Agence Capa, qui avait déjà réalisé le premier sujet en 2010. A voir dans « Envoyé Spécial : La Suite » le 14/09 à 14h sur France 2.

« Les Arpenteurs : le tourisme de la mémoire », un reportage de Renaud Lavergne et Vincent Barral le 04/07 à 20h45 dans Envoyé Spécial sur France 2

A Tchernitsi, une ville de l’ouest de l’Ukraine, Sylvie, jeune retraitée, cherche l’atelier d’un oncle tailleur dont sa famille a perdu la trace en 1941. Elle est aidée par une guide locale, Zoya, qui a retrouvé l’adresse, et s’active pour récupérer le code de la porte auprès des voisins.

Antonin, étudiant de 22 ans, devait accompagner son grand-père dans la ville de Lviv que celui-ci avait désertée enfant, dans les années 30, alors que l’antisémitisme montait. Mais le vieil homme est tombé malade juste avant le départ. Antonin va donc faire le voyage avec sa grand-tante, qu’il va apprendre à connaître dans un périple émouvant, à la recherche de leur histoire familiale.

Quant à Orane et Rémi, frère et sœur d’une trentaine d’années, ils sillonnent la Pologne sur les traces de leur grand-oncle Léon, qui n’a plus donné de nouvelles après 1941. Comme ils l’expliquent à leur guide, ils connaissent peu de choses de la culture juive et ne comprennent pas par exemple, ces cartes postales en yiddish qu’il a postées. Sur place, la traduction leur apportera des informations capitales.

Chaque année, des centaines de voyageurs consacrent parfois toutes leurs vacances à cette quête de vérité sur le destin de leurs ancêtres disparus au moment de la Shoah par balles. Ces « touristes de la mémoire » ont un nom : les arpenteurs. Ils sont aidés par des guides qui préparent le voyage, repèrent les lieux, et retrouvent parfois des témoins. C’est parce que les chercheurs et les écrivains s’intéressent depuis peu à cet épisode de l’histoire que les arpenteurs sont de plus en plus nombreux, en Ukraine, Pologne et Roumanie.

« Le Coup du lapin », un téléfilm de Nicolas Herdt, le 07/06 à 20h45 sur France 2

« Le Coup du lapin » – Téléfilm de 90 min réalisé par Nicolas Herdt

Un cadavre disparaît à la morgue et le lieutenant Joana Larsen doit pousser son supérieur le capitaine Sauvage à retrouver le légiste Salman, orphelin d’un de ses défunts qu’on vient de lui piquer la nuit précédente ! Tant mieux, pense Sauvage, qui déteste les morts !

Seule la mort troublante d’une jeune femme, Nadia, épouse d’un romancier à la noix, dans un accident de voiture maquillé, éveille sa curiosité.

Et carrément son intérêt quand il s’avère que la morte n’est pas la jeune femme en question mais une autre, et pourquoi pas le cadavre volé à la morgue !

Mais alors où est elle ? Que lui est-il arrivé ? Pourquoi cette substitution ? Pourquoi son mari si bouleversé par sa disparition, leur ment- il autant ? Pourquoi la jeune femme a t’elle basculé après la mort de son bébé à l’accouchement ? Pourquoi tant de mystère autour de cette naissance tragique ?

Seule son analyste pourrait parler, mais il tient lui aussi à ses secrets freudiens… Comme l’obstétricien qui a suivi la jeune femme jusqu’à l’issue fatale. Ou comme la sage femme qui a mis au monde l’enfant mort. Elle, pourrait parler. Mais on la retrouve assassinée à son tour. Comme la meilleure amie de Nadia, inscrite comme elle sur un site de rencontre internet quelques années auparavant, en quête d’un mari jeune, riche et beau…

Une étrange affaire pour Sauvage qui doit affronter en plus l’obligation d’une thérapie familiale par son ex femme, et la détermination de sa nouvelle compagne à lui faire assumer la paternité des deux jumelles d’un an dont il est le père…

Une production CAPA DRAMA. Avec la participation de France Télévisions, et avec la participation du CRRAV Nord-Pas de Calais. Avec Arnaud Giovaninetti et Audrey Fleurot.

« Intime conviction : Les jurés face au doute » un film de Sarah Lebas et Eléonore Manéglier Dessenne, le 07/05 à 22h35 sur France 2

Comment juger quand on est un simple citoyen qui ne connaît rien de la justice ? Comment se forger une intime conviction lorsqu’il y a des doutes sur la culpabilité de l’accusé ?

Ces responsabilités écrasantes sont assumées chaque année en France par plus de 20 000 personnes : de simples citoyens, tirés au sort sur les listes électorales, qui deviennent le temps d’un procès des jurés d’assises.

Ce documentaire de la collection Intime conviction suit le questionnement intime de jurés à l’occasion d’un procès d’assises qui s’est déroulé à Troyes. Convoqués pour être jurés dans une affaire de viol, des citoyens ordinaires vont découvrir qu’ils sont là pour juger un accusé qui clame son innocence depuis cinq ans, qui n’est jamais allé en prison, et qui donc comparaît libre. Cet homme reconnaît avoir eu une relation sexuelle avec une femme mais prétend ne jamais l’avoir forcée. De son côté, la plaignante prétend avoir été contrainte à une relation sexuelle, sans être consentante. Il n’y a aucun témoin, aucune preuve, c’est la parole de l’un contre la parole de l’autre.

Pour réaliser ce documentaire, nous avons obtenu l’autorisation exceptionnelle de filmer les jurés dans la salle où ils se réunissent avec le Président et ses deux assesseurs durant toute la durée du procès. Cette salle, où petit à petit, ils se forgent une intime conviction.

De cette pièce aux couloirs du tribunal en passant par le cabinet de l’avocat général et le bureau de l’avocat de la défense, nous avons pu filmer sans contrainte tous les arcanes de ce procès. Nous avons également suivi la plaignante et l’accusé durant ces deux jours de procès. Seul interdit : nos caméras n’ont pas été autorisées à filmer les débats et le délibéré.

« Les Branches esseulées : Trafic de femmes vietnamiennes en Chine », un reportage de Patricia Wong et Gaël Caron le 07/03 à 20h45 dans Envoyé Spécial sur France 2

Une récente étude chinoise montre que d’ici 2020, 35 millions d’hommes ne pourront pas trouver l’âme sœur dans l’Empire du Milieu. En Chinois, on appelle ces hommes les « Guanggun » (branches esseulées). Ils vivent pour la plupart dans des villages isolés de Chine, que les femmes ont désertés pour chercher un mari riche à la ville. Des trafics illégaux se sont organisés pour que ces célibataires se marient.

Des milliers de femmes arrivent chaque année des régions rurales du Vietnam, du Laos, de la Birmanie, d’Indonésie. Vendues comme des esclaves, “importées” en Chine, ces nouvelles épouses réalisent vite la différence entre l’homme fortuné dont les trafiquants leur ont parlé et le destin qui les attend : une vie de labeur et de reproductrice dans la Chine rurale. Certaines choisissent de s’enfuir, d’autres se résignent…

Après plusieurs mois d’enquête, Patricia Wong et Gaël Caron, de l’agence Capa, ont pu suivre Xiao Lu, un cultivateur de thé de 30 ans, dans son périple au Vietnam pour acheter une femme, à 3500 km du village de Ting Xia où il habite. L’enquête commence dans un quartier en périphérie de Ho-Chi-Minh-Ville où les trafiquants, chinois et vietnamiens, regroupent les hommes « les branches esseulées » dans des hôtels, leur confisquent leur passeport, et leur présentent des jeunes femmes. Les célibataires chinois dépensent environ 5000 euros pour « acquérir » une épouse, de préférence vierge. Celle-ci est « échangeable » en cas de problème, promettent les trafiquants.

Dans sa chambre d’hôtel, Xiao Lu rencontre Thu Yen, une jeune fille de paysans pétrifiée de timidité. Ils ne peuvent pas communiquer : il ne parle pas vietnamien, elle ne parle pas chinois. Quelques jours plus tard, une cérémonie de mariage, sans valeur légale, va avoir lieu dans le petit village où habite Thu Yen, sur les bords du Mékong. Et Mme Wang, chef des trafiquants, remettra à la jeune fille un visa pour la Chine.

Quelques jours plus tard, Thu Yen découvrira son nouveau village, perdu dans une vallée, au cœur d’un pays dont elle ne parle pas la langue… Enquête exclusive sur un trafic qui n’a jamais été filmé et qui concerne, depuis cinq ans, plusieurs centaines de femmes vietnamiennes. Récit d’une odyssée, celle d’un cultivateur de thé, où le mot « amour » ne sera jamais prononcé.

« Pompes funèbres, l’obscur marché de la mort », un film de Sylvain Pierron dans LES INFILTRES le 1/03 à 22h50 sur France 2

Quatrième enquête de la saison 3 : le marché des pompes funèbres

Pour ce quatrième numéro de la saison, Les Infiltrés ont intégré le marché de la mort : celui des pompes funèbres. Entre tarifs extravagants et pratiques douteuses, certains professionnels n’hésitent pas à profiter de la vulnérabilité des familles endeuillées pour gonfler leur bénéfice.

Le malheur des uns fait souvent le bonheur des autres, une expression particulièrement adaptée aux Pompes Funèbres.

Avec environ 550.000 morts par an, le chiffre d’affaires du secteur est estimé à deux milliards d’euros. Et la facture n’a cessé d’augmenter pour les familles endeuillées, + 35% en 10 ans. La courbe des décès, stable aujourd’hui, devrait décoller d’ici les années 2030 : avec la disparition de la génération du baby boom, on comptera alors plus de 700 000 morts par an. Le marché est promis à un bel avenir.

En attendant, malgré les lois et règlements qui régissent le secteur, les infiltrés ont découvert que les tarifs pouvaient être extravagants, que les familles pouvaient être victimes de pratiques douteuses. Appliquant la loi du silence, le secteur des Pompes Funèbres ne s’est toujours pas débarrassé de cette mauvaise image.

Au delà de la dérive des prix, l’équipe des Infiltrés a découvert des pratiques scandaleuses et indignes connues par beaucoup de professionnels : des malversations financières, des affaires sordides, des fraudes, des escroqueries, alors que les familles qui viennent de perdre un proche sont particulièrement vulnérables.

Face au scandale, certains professionnels n’hésitent pas à briser l’omerta et à se battre pour que les défunts et leurs familles soient respectés, en prenant parfois le risque de perdre leur travail.

Pendant plusieurs mois, un de nos journalistes a infiltré ce milieu secret, qui préfère toujours rester dans l’ombre. Car la mort, sujet intime et tabou dans notre société, permet à certains professionnels d’abuser des familles endeuillées sans qu’elles ne s’en rendent compte, ou sans qu’elles n’osent se plaindre…

A PROPOS DES INFILTRES

Choisir de montrer ce qui est souvent resté caché, non dit ou secret. Sans parti pris, ni point de vue partisan, le magazine « LES INFILTRÉS » a l’ambition, à travers un film puis un débat, de traiter certains dysfonctionnements de notre société.

Sans jamais s’attaquer personnellement à des individus, ni porter atteinte à leur intimité, mais avec la volonté de démonter les failles d’un système, d’une institution, d’une entreprise, les enquêtes des journalistes infiltrés vont permettre de découvrir une réalité parfois préoccupante.

Parce que chaque film des infiltrés sera le fruit d’un tournage à un moment donné dans un lieu donné, le débat animé par Marie Drucker permettra de répondre d’abord aux questions directes soulevées par le film puis d’élargir plus globalement à la question de société qui en découle.