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Découvrez La Collection Papillon « Ils changent le monde » le 20/04 à 20h55 sur Canal +

Papillon prend son envol en prime, se déployant en grand format de 90 minutes à travers La Collection Papillon.

Sur le terrain, Daphné Roulier interviewe ceux qui inventent notre futur tandis que les reporters de la team Papillon partent filmer les répercussions à l’autre bout du monde.

Pour ce premier numéro mercredi 20 avril, Papillon propose un voyage dans le futur avec ces visionnaires qui ont fait de nos smartphones des baguettes magiques : LES SORCIERS DU PORTABLE.

 

« Se loger »

Daphné Roulier part à la rencontre de Nathan Blecharczyk, l’un des trois fondateurs d’Airbnb, devenu en quelques années le plus grand hôtel du monde.

Pour illustrer le succès d’Airbnb, direction La Havane où certains habitants voient l’application comme une école du capitalisme.

Cuba : Chronique d’une révolution annoncée, un sujet de Nathalie Gros.

 

« Se déplacer »

À Londres, Daphné Roulier a rencontré Frédéric Mazzella, le fondateur de BlaBlaCar qui compte aujourd’hui 20 millions d’usagers dans 19 pays.

En matière d’innovation sur le marché de la mobilité, on retrouve également Uber, l’application qui cartonne particulièrement au Vietnam, l’eldorado pour les entrepreneurs du VTC.

Vietnam : Pas de voiture pour Ho Chi Min, un sujet de Benoît Chaumont.

 

« Payer »

Toujours à Londres, Daphné Roulier a interviewé Nick Hughes, le fondateur de l’application M-Pesa, un système de micro financement et de transfert d’argent par téléphone mobile.

Avec son invention, il a réussi à changé la vie du continent le moins connecté : l’Afrique. Direction Naïrobi à la rencontre des utilisateurs de l’application.

Kenya : Mon téléphone est liquide, un sujet d’Hugo Van Offel.

 

« S’aimer »

Daphné Roulier a matché jusqu’à Los Angeles, à la rencontre de Sean Rad, co-fondateur de Tinder.

Pour mesurer les effets des applications de rencontre, direction Jérusalem avec notre guide … de l’amour.

Roméo a matché Juliette, un sujet de Jawar Nadi.

 

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Réagissez en direct pendant la diffusion, le Mercredi 20 Avril à 20h55 sur Canal+ : #EffetPap

« Textile : mode toxique ? », un reportage de Sophie Bonnet et Antoine Demonet dans Envoyé Spécial, le 19/09 à 20h35 sur France 2

70 % de nos habits sont fabriqués en Asie. Pendant quatre mois, une équipe d’Envoyé Spécial a enquêté sur les produits chimiques utilisés pour les confectionner : teintures, fixateurs, imperméabilisants… Elle a découvert que certaines usines asiatiques utilisaient des substances potentiellement dangereuses pour notre santé.

Elle a fait analyser de nombreux vêtements de marques célèbres fabriqués en Asie et vendus en France. Résultat : plus de la moitié contiennent des perturbateurs endocriniens.

Les normes européennes Reach, qui déterminent les substances à proscrire de l’industrie textile, sont-elles appliquées ?

Au Bangladesh, Sophie Bonnet et Antoine Demonet ont découvert que certains fabricants ne les respectaient pas, malgré les engagements officiels pris par les marques. Les journalistes ont remonté le fil des produits utilisés pour teindre nos vêtements. A Dacca, ils ont pu constater que les substances employées par les sous-traitants de l’industrie textile étaient souvent les moins chères du marché, et qu’elles pouvaient contenir des agents toxiques.

Par ailleurs, ils se sont infiltrés dans une teinturerie qui sous-traite pour de grandes marques occidentales connues, où ils ont vu travailler de nombreux enfants.

Ils manipulaient des produits chimiques sans gants ni masques. Dans le sud de l’Inde, ce sont les riverains des usines textiles qui pointent une catastrophe sanitaire.

Sophie Bonnet et Antoine Demonet ont enquêté dans des villages contaminés par les teintures et les produits chimiques, où les cancers et l’infertilité atteignent des taux record. En France, rencontre avec des douaniers chargés d’ouvrir les containers en provenance d’Asie. Ils mettent en cause les gaz toxiques utilisés pour transporter les vêtements. Rencontre aussi avec des vendeurs de vêtements malades et des acheteurs qui affirment avoir été intoxiqués par leurs habits…

A l’ère de la mode rapide, jetable et low-cost, que savent les consommateurs occidentaux des produits chimiques contenus dans leurs vêtements ?

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez Pezzani au Vietnam », le 16/07 à 13h05 sur Canal+

« Les Nouveaux Explorateurs : Sebastian Perez Pezzani au Vietnam » (rediffusion du 18/03/2012)

Les nouveaux explorateurs avec Sebastian Perez Pezzani vont cette fois nous faire connaître le Vietnam sous un angle jusqu’ici inconnu, le système D.

Dans ce pays au communisme pragmatique où le dogme du Parti côtoie sans heurt la libre entreprise, Sebastian a rencontré les rois de la débrouille, ceux que l’on croyait exclus et ceux qui refusent de baisser les bras.

Sur les bords des routes et dans les champs de thé, à Hanoï la sévère et à Hô-Chi-Minh-Ville la délurée, notre voyageur tatoué a enfourché une antique « Minsk » pour tirer le portrait des inventeurs, des récupérateurs, des soudeurs et même des tailleurs.

Avec son regard neuf et amusant, un voyage au cœur du pays le plus à l’est de l’Asie du sud-est.

« Les Branches esseulées : Trafic de femmes vietnamiennes en Chine », un reportage de Patricia Wong et Gaël Caron le 07/03 à 20h45 dans Envoyé Spécial sur France 2

Une récente étude chinoise montre que d’ici 2020, 35 millions d’hommes ne pourront pas trouver l’âme sœur dans l’Empire du Milieu. En Chinois, on appelle ces hommes les « Guanggun » (branches esseulées). Ils vivent pour la plupart dans des villages isolés de Chine, que les femmes ont désertés pour chercher un mari riche à la ville. Des trafics illégaux se sont organisés pour que ces célibataires se marient.

Des milliers de femmes arrivent chaque année des régions rurales du Vietnam, du Laos, de la Birmanie, d’Indonésie. Vendues comme des esclaves, “importées” en Chine, ces nouvelles épouses réalisent vite la différence entre l’homme fortuné dont les trafiquants leur ont parlé et le destin qui les attend : une vie de labeur et de reproductrice dans la Chine rurale. Certaines choisissent de s’enfuir, d’autres se résignent…

Après plusieurs mois d’enquête, Patricia Wong et Gaël Caron, de l’agence Capa, ont pu suivre Xiao Lu, un cultivateur de thé de 30 ans, dans son périple au Vietnam pour acheter une femme, à 3500 km du village de Ting Xia où il habite. L’enquête commence dans un quartier en périphérie de Ho-Chi-Minh-Ville où les trafiquants, chinois et vietnamiens, regroupent les hommes « les branches esseulées » dans des hôtels, leur confisquent leur passeport, et leur présentent des jeunes femmes. Les célibataires chinois dépensent environ 5000 euros pour « acquérir » une épouse, de préférence vierge. Celle-ci est « échangeable » en cas de problème, promettent les trafiquants.

Dans sa chambre d’hôtel, Xiao Lu rencontre Thu Yen, une jeune fille de paysans pétrifiée de timidité. Ils ne peuvent pas communiquer : il ne parle pas vietnamien, elle ne parle pas chinois. Quelques jours plus tard, une cérémonie de mariage, sans valeur légale, va avoir lieu dans le petit village où habite Thu Yen, sur les bords du Mékong. Et Mme Wang, chef des trafiquants, remettra à la jeune fille un visa pour la Chine.

Quelques jours plus tard, Thu Yen découvrira son nouveau village, perdu dans une vallée, au cœur d’un pays dont elle ne parle pas la langue… Enquête exclusive sur un trafic qui n’a jamais été filmé et qui concerne, depuis cinq ans, plusieurs centaines de femmes vietnamiennes. Récit d’une odyssée, celle d’un cultivateur de thé, où le mot « amour » ne sera jamais prononcé.

« D… comme débrouille au Vietnam » avec Sebastian Perez Pezzani, c’est dans Les Nouveaux Explorateurs le 18/03 à 15h sur Canal Plus

Les nouveaux explorateurs avec Sebastian Perez Pezzani vont cette fois nous faire connaître le Vietnam sous un angle jusqu’ici inconnu, le système D.

Dans ce pays au communisme pragmatique où le dogme du Parti côtoie sans heurt la libre entreprise, Sebastian a rencontré les rois de la débrouille, ceux que l’on croyait exclus et ceux qui refusent de baisser les bras.

Sur les bords des routes et dans les champs de thé, à Hanoï la sévère et à Hô-Chi-Minh-Ville la délurée, notre voyageur tatoué a enfourché une antique « Minsk » pour tirer le portrait des inventeurs, des récupérateurs, des soudeurs et même des tailleurs.

Avec son regard neuf et amusant, un voyage au cœur du pays le plus à l’est de l’Asie du sud-est.

Au sommaire de l’Effet Papillon du dimanche 19 février

PAPY FAIT DE LA RÉSISTANCE de Olivier PONTHUS
Abdoulaye Wade, 86 ans dont 12 au pouvoir, va-t-il parvenir à se faire réélire, le 27 février prochain, à la tête du Sénégal…? Il y compte bien, en tout cas. Le chauve illustre, en bonne place dans le top 10 des plus vieux dirigeants du monde, se cramponne au pouvoir… et tant pis si l’opposition crie au coup d’état constitutionnel. Des manifestations, déjà plusieurs morts… cette présidentielle, la 10ème depuis l’indépendance, est bien loin du rêve républicain de Léopold Sédar Senghor.

GOOD MORNING VIETNAM de  Michael SZTANKE, Gaël CARON et Dung VO TRUNG
L’Effet Papillon, la suite. Plus attractif et plus compétitif que la Chine, c’est possible. Le Vietnam est en passe de devenir le nouveau dragon asiatique, un dragon qui n’arrête pas de cracher du cash et de la croissance, depuis que les communistes se sont convertis à l’économie de marché. Signe qui ne trompe pas : les investissements étrangers explosent, tout comme le PIB vietnamien. Mais concrètement, à qui profite ce miracle économique ? Papillon a rencontré quelques-uns de ces nouveaux capitalistes.

DE L’AUTRE COTÉ DU MUR de Stéphane AMAR et Hadrien GOSSET-BERNHEIM
Pour les travailleurs palestiniens, tous les moyens sont bons pour franchir le Mur qui sépare la Cisjordanie de l’état juif.  Chaque année, grâce à des failles et à des complicités, des dizaines de milliers de palestiniens viennent travailler clandestinement en Israël. Ils gagnent le double, voir le triple, dans les usines, hôtels et restaurants de leurs voisins. Des ouvriers anxieux, prêts à tout pour améliorer leur ordinaire, y compris à travailler sur les chantiers des colonies juives.

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