Au sommaire de l’Effet Papillon du 11 septembre 2011

Ils sont partout et nulle part et ont inventé en 4 ans à peine une nouvelle forme de cyber-activisme. Tunisie, Égypte, Syrie, Bahreïn, Iran, les opposants peuvent leur dire merci… Sans eux, le printemps arabe n’aurait pas connu un tel impact médiatique. Eux, ce sont les Anonymous, les Robin des bois du Net. Des geeks, sans Dieu ni maîtres, mais avec une idée précise de la liberté d’expression! Qui se cache derrière ces pseudos qui font trembler le Web et les multinationales? NET ET AVEC BAVURE, c’est un sujet d’Etienne TRUCHOT.

Premier ramadan sans Ben Ali: en Tunisie, les fidèles sortent les tapis et renouent avec la liberté de culte…Les islamistes se sentent pousser des ailes et les salafistes, leur frange la plus radicale, se voient déjà instaurer la charia. Une poussée de fièvre religieuse qui inquiète les jeunes du printemps arabes: pas question qu’on leur vole leur révolution. HALTE AUX BARBUS, c’est un sujet de Hugo VAN OFFEL.

Sale temps pour les journalistes en Ouganda. Informer est devenu une mission impossible. Depuis que les révolutions arabes ont poussé plusieurs dictateurs vers la sortie, ceux qui s’accrochent, s’inquiètent. Pris d’un accès de parano, le président ougandais accuse les médias de vouloir renverser le régime. A Kampala, toute manifestation contre le régime est un crime de lèse-majesté. Critiquer, c’est passer du côté obscur de la force… Les journalistes sont désormais des ennemis d’état. RÈGNE SANS PARTAGE, c’est un sujet de Thierry PASQUET.

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